• IVY MEISTER - Famine La beauté de ses traits déformés tantôt par les larmes et tantôt par les rires, que de ses doigts sans fin il parcourt avec amour. Ivy, c'est les montagnes russes avec le japonais, c'est une soif de je t'aime jamais rassasié. Il aime l'habiller, s'amuser avec elle sans n'oser se jouer d'elle. Petit à petit, il tente de reconstituer les morceaux de la poupée cassée, mais c'est la famine qui sans cesse domine et il le sait.
• WINIFRED WELLS - Mort Fascination, passion, abstraction, des ailes noires dans le dos en attendant que ces yeux soient éternellement clos. Il n'est rien face à la mort, Kizuki, pas même l'ombre de qu'il pourrait être et il le sait. Il la laisse l'absorber tout entier, se nourrir de ses péchés sans ne jamais chercher à l'impressionner. Il veut juste sonder l'insondable, s'amuser et souffrir jusqu'à que mort sans suive.
• SETH INUZUKA - Guerre Des coups, Seth lui en a donné, des mots tranchants comme des lames de rasoir, il lui en a lancé. Serait-ce l'obsession destructrice qui le fait rester et persévérer ? Ou peut-être est-ce le fait que lui aussi est un cavalier, aussi dépravé que dérangé ? Après tout, quelqu'un disait : les maux du poète ne sont rien face aux malheurs de la guerre.
• BABY INUZUKA - La vie en rose Baby, bonbon qui croque sous la dent, qui parfois la casse mais qui laisse malgré tout toujours un goût de reviens-y. Yeux de poupée, moue adorable, des poèmes sur elle, il en écrirait bien des milliers. Pourtant, elle, n'en a pas tout à fait l'idée, pas autant qu'il le faudrait mais l'avoir entre ses bras, c'est déjà bien assez pour le japonais. Ce n'est pas qu'il en cracherait des fleurs mais presque. Ha, l'Amour.
• NIAMH BRANNIGAN - Les fils de l'anarchie Montez sur une moto un jour et vous n'en descendrez plus jamais, telle serait la leçon qu'il aurait à partager. Il s'était promis pourtant de cesser ses errances tant en société que sur la route après l'accident mais c'était bien avant certaines rencontres. Depuis que la jeune femme est arrivée dans sa vie, il semblerait d'ailleurs qu'il ait à nouveau croqué dans la pomme - ah, terrible serpent assoiffé de sensations fortes.
• NINEL KIDA - Le pays des merveilles Ensemble, ils ont à eux deux exactement trois ans et demi. Bonbons, peluches et coup foireux sont toujours de la partie. Quoi de mieux pour oublier les soucis ? Plutôt que de se prendre la tête comme un adulte, autant se poser devant un dessin animé, un pot de glace fraîchement entamé. Non franchement,
grandir, c'est un piège bien trop surestimé.
• ALICE RIVERA - Le squat " T'ouvres vraiment ta porte à n'importe qui. " Pas faux, mais il est comme ça Kizuki, les bras grands ouverts parce que putain qu'est-ce qu'il fait froid dans son cœur. Avoir une blonde sur son canapé, à moitié défoncé(e), ça ne le dérange pas plus que ça d'ailleurs - n'allez pas croire non plus qu'il en fantasmerait, c'est juste... ainsi.
• ATTICUS HORNIGOLD Le sous-marin jaune - De longues discussions, la tête dans les étoiles et les pieds dans l'eau, sous l'emprise de la nuit : c'est ainsi que Kizuki voit Atticus. Et parfois le ton monte - conflit d'intérêt artistique de deux entêtés - mais il demeure toujours le chant de la sirène japonaise comme échappatoire.
• WILLIS BRANNIGAN Le coco câline - Ça manque d'amour dans ce monde de brutes. Willis, c'est celui qui impressionne par sa carrure mais Kizuki, il s'en fiche de ça, c'est le cœur tout doux qu'il recherche en quelqu'un. Face à des animes et avec quelques bonbons, il trouve l'ami idéal en ce géant qui pourrait même l'aider à reconquérir son ex (si Baby n'était pas arrivée dans sa vie du moins).
• NEMO HORNIGOLD La haine - Les frères de mes amis ne sont pas nécessairement mes frères amis, ça, il l'a appris bien à ses dépends. Atticus lui en a beaucoup parlé de Nemo pourtant et même qu'il l'intéressait, dommage que cet intérêt soit loin d'être réciproque ; en réalité, c'est justement cette amitié qui dérange le frère. Tant pis.
• PEADAR BRANNIGAN L'âne et Shrek - Sans grandes surprises. Kizuki admire l'aura mystérieuse de Peadar, ce qu'il dégage et en l’occurrence, c'est le japonais qu'il tente sans cesse de dégager, guère motiver à s'occuper d'un hirsute de quelques années plus jeune à peine. Ce n'est sans compter sur le fait que ce dernier n'est pas du genre à abandonner aisément.
Et demain matin, j'te fais des gaufres au sucre !