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| Sujet: nothing in this world will break my heart again (saskia) Dim 11 Sep - 17:17 | |
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Saskia Cavalleri blind love is true creditimage|tumblr PRÉNOM|NOM Saskia, ce prénom apparemment d’origine hollandaise que mes parents ont choisi de me donner. Apparemment, c’était pour donner à celui-ci une consonance un peu plus européenne, pour me laisser un attachement à mes véritables origines. Meiko est mon second prénom, ce prénom qu’ils avaient prévu de donner à leur enfant si celui-ci s’était avéré être un garçon. Mais puisque c’était plutôt neutre, ils ont choisi de me le laisser malgré tout. Cavalleri est le nom de famille de mon père, ce nom plutôt bien connu dans l’armée américaine vu le poste qu’il occupait au moment de sa retraite. Mon certificat de naissance mentionne également l’autre nom de famille que j’aurais pu porter, soit McKinney. Cependant, je ne l’utilise pas, parce que cela donnerait un nom beaucoup trop long et susceptible d’être oublié. AGE|LIEU DE NAISSANCE Puisque ma date de naissance officielle n’est pas précisée où que ce soit, on m’a donné une date de naissance approximative, quelque part en août mille neuf cent quatre-vingt-sept. On m’a donné comme date de naissance officielle le vingt-sept août mille neuf cent quatre-vingt-sept, faisant en sorte que j’arrive à la fin de mes vingt-neuf ans. Quant à mon lieu de naissance, on me donne Kiev, en Ukraine, parce que c’était là que se trouvait l’orphelinat où j’ai été recueillie. Après, j’ai toujours vécu à Savannah et je n’en suis jamais repartie. NATIONALITE|ORIGINE Officiellement, vu mon lieu de naissance, je suis d’origine ukrainienne. Par contre, je ne me suis jamais sentie comme tel, probablement parce que j’ai quitté mon pays natal trop jeune pour me rappeler de quoi que ce soit. De plus, j’ai toujours été de nationalité américaine et je ne crois pas que cela va changer. ETUDES|EMPLOI Après avoir étudié pendant quatre ans en sciences politiques avec une mineure en relations publiques, j’ai fait un master de deux ans en administration et politique publique. J’ai travaillé comme assistante pendant un petit moment à la mairie, mais on me donnait surtout des boulots trop simples, comme répondre au téléphone et classer des documents. Bref, rien à la hauteur de ce que je pouvais vraiment faire. Puis, il y a environ un an, j’ai remplacé quelque temps un chef de cabinet d’un conseiller municipal, me permettant de me faire vraiment remarquer. Maintenant et ce, depuis environ huit mois, j’occupe le poste de chef de cabinet du maire de Savannah et je suis fière de mon boulot, même si certains disent que je suis trop jeune pour le pratiquer. Je m’en moque, puisque je connais mes capacités et je sais que je peux être à la hauteur de ce métier. STATUT CIVIL Officiellement, je suis célibataire et officieusement, je suis mariée avec mon boulot. C’est une expression pour dire que depuis ma promotion, je m’en tiens à travailler, prétexter que je n’ai pas le temps pour sortir et rencontrer des gens, et ça me va parfaitement, parce que j’aime mon boulot et je veux donner mon maximum. La vérité est que cela sert également à me protéger, parce que j’ai eu le coeur brisé il y a quelque temps et je n’ai pas envie que cela se reproduise. CARACTERE Rancunière, arrogante, (trop) franche, confiante, indépendante, déterminée, dévouée, sensible, renfermée, orgueilleuse, généreuse, perfectionniste, méfiante. GROUPE Sirocco. = Better place
Votre pire souvenir (ou par défaut votre meilleur souvenir)? Mes souvenirs sont souvent d’ordre personnel et émotif, parce que je ne pense pas avoir vécu de drame assez douloureux pour dire que c’était un souvenir tirant du cauchemar. Parler de la façon que je me faisais intimider à l’école, ce n’est pas assez fort, même si évidemment, cela m’a marqué et a fait ce que je suis aujourd’hui. Parler de ces nuits où j’entendais mon père se réveiller en hurlant parce qu’il avait fait un autre cauchemar lié à sa vie militaire, puis ne pas avoir la capacité de le réconforter, c’est trop peu agréable également. Par contre, si je dois en raconter un seul qui est le pire, c’est celui de cette journée où trop de choses sont survenues en même temps. Premièrement, j’ai compris que je n’aurais pas d’autres nouvelles de Cole. Après deux semaines sans aucune réponse à mes messages, il m’a fallu lâcher l’affaire. Pour une des rares fois dans ma vie, j’avais mal, le coeur brisé, et je ressentais le besoin d’en parler à quelqu’un. Je me suis retournée vers mon père qui, déjà profondément affecté au niveau psychologique, m’a servi une attitude indifférente qui m’a laissée complètement désemparée. Je ne pouvais pas lui en vouloir, je savais que ce n’était pas sa faute, mais c’est à ce moment que j’ai compris que je ne pourrais plus compter sur qui que ce soit d’autre que moi-même. Ce constat m’a fait du mal, et jamais je me suis sentie aussi seule de toute ma vie. Quelles sont les personnes en qui vous avez le plus confiance ? J’ai pour réputation d’avoir confiance en personne. Et cette réputation, elle est totalement vraie; je fais difficilement confiance aux gens, bien souvent parce que je sais que je ne serai jamais mieux servie que par moi-même, bien souvent. C’est quelques fois un problème, parce que ça fait en sorte que j’ai beaucoup de difficultés à déléguer et ça peut être dérangeant dans mon métier, mais j’essaie de faire mon possible, quitte à déléguer ce que je n’ai pas nécessairement envie de faire ou qui, je sais, ne pourrait pas avoir un gros impact si c’est mal fait. Dans la vie en général, je ne fais pas confiance non plus, et quand je le fais, la moindre incartade me fait révoquer ma décision. Les deux seules personnes qui échappent à cette règle générale, ce sont mes parents, qui, eux, ne m’ont jamais déçue et qui méritent que je leur fasse aveuglément confiance. Avez-vous perdu un être cher au cours de votre vie ? Perdre quelqu’un dans le sens d’un décès, non, ça ne m’est jamais arrivé. J’ai la chance de ne jamais avoir vraiment perdu quelqu’un de vraiment proche. Évidemment, il y a des gens qui sont décédés dans mon entourage, je ne peux pas le nier, mais jamais au point de m’affecter grandement, soit parce que j’étais trop jeune pour m’en souvenir, soit parce que ces gens ne m’ont malheureusement pas marqué plus que ça. Après, au sens plus figuré, oui, j’ai perdu des gens précédemment. J’ai perdu celui que je pensais être l’amour de ma vie, et je me sens encore idiote aujourd’hui d’avoir pensé une chose aussi sordide. Et puis, d’une certaine façon, j’ai perdu un de mes pères. Celui-ci est encore vivant, présent, mais il n’est plus le même, si bien que je ne le reconnais pas, alors pour moi, c’est tout comme si je l’avais perdu. Je sais que je ne peux pas me plaindre, puisque je le vois quand même souvent, mais il n’en demeure pas moins que c’est une perte qui est douloureuse malgré tout. = You are a memoryPetit un | Compte tenu du nombre de fois que j’ai dû manger avec des personnes importantes, dans diverses restaurants, ou bien rapidement parce que je n’ai pas le temps de manger ou de me préparer un repas avant de partir le matin, je ne suis pas difficile. Les seules deux choses pour lesquelles je suis difficile, c’est le vin et le café. Jamais je ne vais boire un vin qui me semble de mauvaise qualité, et je bois que du café au lait. Lorsqu’il n’y en a pas, je noie mon café régulier dans une tonne de lait. Petit deux | J’ai beau être hétérosexuelle, je supporte grandement la cause des homosexuels et transsexuels, surtout lorsqu’il est question de se marier et avoir une famille. J’ai fait énormément de bénévolat dans des associations dévouées à cette cause lorsque j’étais à l’université et peu après, jusqu’à ce que le travail me prenne trop de temps. Je n’ai pas oublié le tout pour autant et une fois par six mois, je fais un don que je relativement généreux. Petit trois | Je n’aime pas me déplacer autrement que si je conduis. Et ça, ce n’est pas dû seulement au fait que j’aime mieux faire les choses moi-même, c’est seulement parce que si je suis assise à l’arrière d’une voiture, dans un train ou quoi que ce soit du genre, j’ai tendance à avoir des haut-le-coeur et éventuellement être malade quand le trajet est trop long. Petit quatre | Lors de moments où je me sens plus tendue qu’à la normale, je cède à la tentation et je fume une cigarette ou deux. Je ne me crois pas dépendante, mais quand l’envie me prend, j’ai beaucoup de difficulté à résister. Petit cinq | Il n'est pas surprenant que je n'aime pas les sports d'équipe. Par contre, lorsque mon emploi du temps me permet, j'aime bien m'adonner à certaines activités comme le tir au pistolet, la boxe et la natation. Bref, le genre de choses qui me permettent de me défouler un peu. Petit six | Enfant, je n’étais pas ce genre de personne qui voulait se concentrer sur sa carrière. Plus encore, je faisais partie de celles qui voulaient se marier et avoir une famille. Mes plans ont changé quand je me suis rendu compte qu’il y avait tant à faire que ce n’était juste pas possible de rester les bras croisés à faire son petit bout de chemin en solitaire. Petit sept | Ma série préférée de tous les temps est House of Cards. J’ai vu tous les épisodes et malgré tout, je me les passe en rafale avant qu’une nouvelle saison sorte, ou quand l’attente devient insupportable. Petit huit | À défaut d’avoir le temps de m’occuper d’un chien, je suis maîtresse d’un chat que j’ai secouru à la SPA. Son nom est Rocky et il le porte très bien. J’adore ce chat qui se prend pour un dur à cuire mais qui est en fait un coeur tendre. On se ressemble, lui et moi. Petit neuf | J’ai un tatouage en forme de boucle formée par les prénoms de mes parents à l’arrière du cou. Ils sont les personnes à qui je tiens le plus dans la vie. Petit dix | Je porte un anneau en or blanc à l’index gauche. Il s’agissait de la bague de ma grand-mère, que mon père devait donner à la personne qui allait marier, mais celle-ci ne faisait pas pour l’occasion, donc j’en ai hérité. Je ne m’en sépare jamais, qu’importe les circonstances. Petit onze | Mon péché mignon, c'est les viennoiseries en tout genre; muffins, danoises, je ne suis pas difficile. Si elles contiennent des fruits, c'est encore mieux.
Petit douze | Comme n’importe quel enfant, je ne me souviens pas grand-chose de ma naissance mais plus encore, je ne me souviens même pas une seule seconde de mon pays natal. Tout ce que j’en sais, c’est que je suis née dans sa capitale, soit Kiev. Ou peut-être même pas, parce que si cette ville est indiquée comme celle où je suis née, c’est parce que c’était là que se trouvait l’orphelinat où j’ai été recueillie alors que j’avais huit mois, par un couple d’origine américaine, ce couple qui ne pouvait pas avoir d’enfant, mais certainement pas pour les raisons classiques que maintes gens pourraient évoquer en apprenant cette triste réalité. En effet, mes parents n’étaient pas stériles ou désireux d’adopter plutôt que de ce concevoir un enfant de façon naturelle, histoire d’avoir l’impression de sauver le monde ou quelque chose du genre. Ils ont procédé à une adoption parce que concevoir des enfants entre deux hommes, malgré tous les efforts du monde, ce n’est juste pas possible. Contrairement à la normale de l’époque donc, je n’ai pas été élevé par une maman et un papa. J’ai été élevée par deux papas, le premier étant un militaire plutôt reconnu et le second, un avocat tenant son cabinet à domicile, donc ayant un emploi du temps flexible. Et franchement, je n’aurais pas échangé mes pères pour quiconque au monde et je sais que jamais je n’aurais eu droit à une vie comme j’ai eue avec eux si j’étais restée en Ukraine, parce qu’ils sont uniques irremplaçables. Petit treize | Si moi, je n’ai jamais eu de problème avec ma réalité familiale, bien des gens, par contre, ce sont montrés rapidement réticents à tout cela. Au début, trop jeune, je ne m’en rendais pas compte, parce que de toute façon, tout adulte le moindrement raisonnable n’aurait jamais eu l’audace de me dire en plein visage quelque chose de mal par rapport à mes papas. J’ai commencé à le sentir lorsque je suis arrivée à l’école. Naïve, lorsque la maîtresse me le demandait, je disais que j’avais deux papas, je parlais de leurs métiers, et j’en étais fière. Puis, les regards des enfants de ma classe changèrent, dégoûtés tandis que tout adulte était inconfortable avec cela. Petit quatorze | Cette situation a provoqué plusieurs conflits au sein de mon école qui, au fond, n’était pas si grande, donc n’avait pas vraiment connu ce genre de situation avant que je débarque, semblait-il. Même la direction ne savait pas vraiment quoi faire par rapport au fait que bien souvent, les autres élèves se moquaient de moi, disaient que je n’étais pas normale, que je ne savais pas ce que c’était, des parents, et d’autres atrocités qui, au final, ont développé une grande frustration. Cette frustration, je l’ai portée jusqu’à l’adolescence. Bien sûr, j’ai commencé à mieux accepter le fait que j’étais différente, et me moquer des opinions des autres. Par contre, j’ai aussi appris à forger mes opinions et, de ce fait, ne plus me gêner pour remettre quelqu’un à sa place. Cela ne se limitait pas qu’aux commentaires attaquant moi ou bien mes pères, mais aussi tout ce qui pouvait dégrader l’homosexualité. Cela m’a valu la réputation comme quoi je l’étais, moi aussi, mais je suis passée outre, n’ayant besoin de l’avis de qui que ce soit pour avoir mes opinions et m’y tenir. Petit quinze | Si j’ai développé une conscience qui me pousse à aider les autres et les défendre en raison de ma réalité familiale, celle-ci est devenue encore plus présente et devint un point tournant de ma vie lorsque j’avais seize ans. Suite à son retour d’Afghanistan, mon père commença à se comporter de façon particulièrement étrange. Cela commença par des cauchemars le réveillant au milieu de la nuit, puis le tout vint à envahir son quotidien, si bien que la vie à la maison devint de plus en plus difficile. Le médecin lui a diagnostiqué un profond traumatisme, mais outre lui prescrire des médicaments et quelques séances chez le psychologue, il ne fit rien de plus. Pourquoi ? Parce qu’apparemment, il ne pouvait faire mieux. Dégoûtée par le manque de soutien aux militaires qui ont besoin d’aide pour se réinsérer en société suite à des missions, c’est là que je compris que ce que je voulais, c’était tenter de faire quelque chose de bien, quelque chose de mieux. Petit seize | Bien décidée à poursuivre ce but, je me suis donc inscrite en sciences politiques à l’université, choisissant de rester à Savannah pour être présente pour aider mes pères, le premier parce que son état psychologique se dégradait à vue d’oeil, le second pour le soutenir dans cette difficile épreuve où il voyait grandement souffrir une personne qu’il aimait grandement en étant totalement impuissant. Ne pas fréquenter une université de grande envergure ne fut toutefois pas ce qui me gêna le plus, au contraire. Là, je ne me privai pas de donner mon avis en classe, relancer le professeur, voire même confronter certains élèves de ma classe avec qui je n’étais pas d’accord. Maintes fois, trop de fois, je suis intervenue en cours, mais aucune intervention n’est plus mémorable que celle que j’ai faite envers ce jeune homme, Cole, fils de riche, arrogant qui se croyait tout permis. Le pire dans tout cela ? C’est que je n’ai même pas commenté ses opinions par rapport au cours, mais simplement son comportement, à croire qu’il allait me sauter à la gorge ou quelque chose du genre. Petit dix-sept | Faire en sorte que Cole se taise m’avait fait du bien, mais cela ne m’avait pas aidé à l’apprécier pour autant. Au contraire, je le détestais, ayant envie chaque fois de rouler les yeux et sortir de la pièce quand je le voyais. Puis, il est arrivé cette fois où je me suis retrouvée dans un faux pas, au milieu du couloir de l’université. Personne n’a cherché à m’aider, sauf lui. Dans un premier temps, je ne sus pas comment le prendre, parce qu’orgueilleuse, je n’aimais pas qu’on m’aide, mais j’ai marché sur mon amour-propre pour le remercier. À mon grand étonnement, il m’a invitée à aller boire un verre, une seule fois, sans promesse de quoi que ce soit. Si jamais il me dégoûtait vraiment, j’avais la liberté de ne plus lui parler par la suite. Petit dix-huit | J’étais persuadée que cette sortie serait un total désastre et qu’en fait, ce serait une excuse parfaite pour me débarrasser de lui une bonne fois pour toutes, mais ce ne fut pas ce qui arriva. Au bout du compte, je découvris une autre facette de sa personnalité qui me ressemblait, que je commençai à apprécier. Au final, Cole et moi commençâmes à sortir ensemble. Notre couple pouvait sembler chaotique vu de l’extérieur, vu nos tempéraments bouillants, mais nous étions amoureux. À cette époque, j’étais même persuadée que je pourrais passer ma vie avec lui, puisqu’il acceptait mes ambitions, comme j’acceptais ses projets. En fait, je les acceptais tellement qu’il y a environ un an, alors que je travaillais comme assistante à la mairie, quand il m’a annoncé devoir partir en voyage pour l’entreprise tenue par sa famille, je l’ai accepté. Cela ne m’a pas plu, mais parce que je l’aimais, parce que je croyais que notre relation pourrait mener à quelque chose de bien par la suite, j’ai accepté qu’il parte, que nous entretenions une relation à distance pendant son absence. Petit dix-neuf | Le fait que je commençai à occuper le rôle de chef de cabinet de façon supposément temporaire n’affecta pas notre relation dans un premier temps ou du moins, je n’en eus pas l’impression jusqu’à peu de temps après, quand soudainement, je commençai à avoir de moins en moins de messages, d’appels de la part de Cole, pour finalement avoir droit à un silence radio. Dans un premier temps, j’insistai, probablement plus qu’il ne le fallait, puis quand j’ai compris que cela ne menait à rien, je l’ai mal pris, encore plus que je ne l’aurais cru dans un premier temps, à un tel point que je ne sus même pas comment composer avec ceci jusqu’à il y a environ huit mois de cela. Petit vingt | Au début de l’année, il me fut proposer de continuer à offrir mes services en tant que chef de cabinet, mais de façon permanente, pour le maire de la ville de Savannah. Voyant non seulement là une opportunité professionnelle en or, mais également une façon pour moi de tourner la page sur Cole qui, clairement, m’avait effacée de sa vie, j’ai accepté le contrat sans regarder les longues heures de boulot qui m’attendaient, les tâches exigeantes et tout ce qui venait avec. Aujourd’hui, je ne saurais regretter cette décision. J’ai l’impression de faire un boulot qui me rend utile, qui me donne envie de faire quelque chose de différent, même si ce n’est qu’à l’échelle de cette ville que j’ai toujours connue. C’est dans ce boulot que je me suis renfermée, comme une huître, et pour le moment, je n’ai pas l’intention d’en sortir.
☆ ☆ ☆BEHIND THE DOORPRÉNOM|PSEUDO Marilyne/Mayiie. AGE Vingt-cinq ans. PAYS Canada. AUTRE COMPTE Jordan Oakley (anciennement j'étais Tommy avec ce compte ). AVATAR Marie Avgeropoulos. MOT DE LA FIN Je vous aime très fort beaucoup . - Code:
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<pp>MARIE AVGEROPOULOS</pp> saskia cavalleri
Dernière édition par Saskia Cavalleri le Dim 11 Sep - 18:49, édité 2 fois |
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