@Jael Feliciano ϟ Pan & Wendy c’est compliqué tous les deux, une sorte de jeu du chat et de la souris, franchir un peu toutes les limites qu’il s’était mis. Jael c’est la gamine ramassée dans la rue un soir où il faisait un peu trop froid, ange blond aux manières de princesse, il a pas pu s’empêcher. Fascination, obsession, le besoin de la garder avec lui, rêver avec elle. C’est Peter qui lui a tendu la première cigarette. C’est Peter qui lui a tendu le premier joint. C’est Peter qui lui a fait son premier garot. Hypocrise camouflée, prétendre vouloir la soigner de ses démons du passé, de sa tristesse d’ange tombé du ciel avec quelques pilules qui font rêver.
Y a quelque chose de brûlant entre eux, comme un besoin que l’autre soit là pour respirer correctement, nuits passés dans la chambre de Peter quand Jael chialait, nuits passées aussi à s’engueuler pour un pas de travers, gamine qui n’a jamais compris comment vivre hors de sa cage dorée.
Ils se tournent autour, se voilent la face ou font semblant. Y a eu des baisers, des vrais, quelque chose qui gronde quand ils se sont fracassés. Ils devraient pas. Ils le savent. Du moins lui le sait. Le reste c’est un peu plus compliqué. Gamine évanescente entre ses doigts elle a trop de problèmes derrières elles, ça lui apprendra de kidnapper une princesse de la mafia. (le lien est assez complexe, n’hésitez pas à me poser des questions si jamais vous en avez, j’ai évité de faire tout un roman ici)

  @Lenny Kucera ϟ Peter le bienfaiteur, celui qui l'envoie à l'université et lui offre des bouquins, même si Lenny n'est pas aussi naïf que ça, il n'arrive pas à lui en vouloir et ne veut surtout pas le décevoir. Dernièrement les deux se sont disputés et Lenny a quitté les Lost Boys pour se réfugier au 3eme Œil.

  @River Albarn ϟ le sauveur, entre respect, reconnaissance et déceptions, affection douce-amer, l'impression qu'ils en attendaient plus l'un de l'autre.

  @Merle Brekker ϟ Animosités entre les deux depuis le début, Peter est le premier a avoir été au courant de la transition de Merle, la corde autour du cou : la testostérone de ce dernier qu’il lui distribuait au compte-goutte. Sorte de haine réciproque, ils se tolèrent car ils avaient besoin l’un de l’autre, jusqu’au jour où Merle est tout simplement parti. Ca le ronge depuis, l’impression d’avoir laissé échapper quelque chose sur lequel il avait de l’emprise.

  @Jordan Dubois ϟ Gamin paumé, Peter sert un peu de père de substitution pour cet adolescent trop doux pour le monde. Parfois il voudrait l’endurcir un peu plus, lui apprendre à grandir, à pas se faire marcher sur les pieds.