Lullaby&Callen ₰

Callen n’était pas du genre à accepter de voir son nom étalé partout, et pourtant, il était à présent propriétaire du garage dans lequel il avait travaillé. Un peu une façon de tourner la page, enfin même si voir Andriev lui rappelait inlassablement ce qu’il avait laissé derrière lui en Russie. Son affaire marchait plutôt bien, voire même très bien même s’il avait un caractère plus que trempé avec un vocabulaire de charretier et cette envie de s’envoyer en l’air avec la moindre femme qui passait. La preuve en était non seulement avec les deux blondes qui l’avaient plus qu’envoyé sur les roses, cette brune dont la peau et les cris lui revenaient inlassablement à la mémoire. Et à cette simple idée ses lèvres s’étaient étirées vers le haut. Décidément, Kelia lui laissait un plaisir incommensurable, malgré sa ressemblance plus que frappante avec celle qui avait brisé sa vie il y a des années de cela. Dans son fauteuil, la cigarette prête à être allumée, le brun tentait de travailler, en vain. En même temps, il se trouvait sur les lieux du délit, ou du moins de plaisir extrême. Un message était arrivé sur son téléphone, et il n’avait fallu qu’un seul instant de lecture du nom pour le titiller davantage. Que dire de ce qui avait été écrit, qui laissait présager d’une excellente soirée en perspective. Lullaby était tout bonnement une femme parfaite, avec laquelle il s’entendait bien sur tous les plans, et le fait qu’elle soit mariée ne le dérangeait nullement. tant pis pour le mari cocu, et avec son histoire il ne pouvait que répondre présent pour elle. heureusement pour lui, les minutes, les heures s’étaient écoulées rapidement, et autant dire que ce n’était pas ce soir qu’il allait faire des heures supplémentaires ou aller réaliser un dépannage express. Non, parce que les simples mots lui mettaient la puce à l’oreille sur le fait que cela avait dû dégénérer avec son mari. Encore une fois. Soupirant en prenant sa veste en cuir, il n’avait pu que regarder sa secrétaire, lui adresser un sourire et se diriger vers sa voiture. Le temps d’attacher la ceinture, de démarrer sans oublier le pied sur l’accélérateur pour regagner au plus vite son appartement, Callen se sentait légèrement fébrile comme à chaque fois qu’il rejoignait Lullaby. Etrange sensation, mais sa présence lui faisait du bien, aussi bien d’un point de vue moral que physique. A vrai dire, ils arrivaient à se parler, oui à parler avec des mots bien que leurs corps aient leur propre langage, celui-là même qui apaisait bien des tensions. Arrivant à la hauteur de sa porte, il n’avait pu que trouver la brune, qu’il était venu embrasser chastement au coin des lèvres, afin qu’aucun tort ne lui soit causé de par leur liaison. « Salut toi. Dépêchons nous de rentrer pour que tu me racontes tout et que je te change les idées » . Ayant posé une main sur sa hanche, il l’avait collée tout contre lui, afin de murmurer à son oreille « et ne me dis pas que tu as préparé à manger, il va falloir qu’on élimine les calories après » . Il n’avait pas pu garder son sérieux et le russe se doutait très bien qu’elle avait bien besoin de ses sous-entendus pour lui redonner un minimum le sourire. introduisant la clef dans la serrure et ouvrant sa porte, il n’avait pu que lui faire signe d’entrer, avant de la suivre et refermer derrière lui. « enfin tranquilles. J’ai très envie de prendre une douche, mais tu as certainement plus besoin de moi que ma chère salle de bain » . prenant ce qu’elle avait dans les mains, il n’avait pu que le poser sur la table la plus proche, avant de venir l’embrasser de manière plus suggestive, comme deux amants qui se retrouvaient après un long moment de séparation. Lui avait-elle manqué ? oui, sans nul doute…

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« Bien évidemment que je suis magicien. Tout l’est chez moi, aussi bien mes doigts que le reste, tu devrais bien le savoir. » . Callen n’avait pu que lancer des mots dont il avait le secret et l’habitude. Etre en compagnie de Lullaby était plaisant, voire même récurrent à présent, lui qui tenait le rôle d’amant de cette femme mariée. Aussi étrange que cela puisse paraitre, le garagiste avait appris à connaitre cette femme, avec laquelle il réussissait à parler, et pas que sur un plan. Non, ils échangeaient réellement, parlant des choses qui n’allaient plus du tout au sein de son couple. Il était évident qu’une fois de plus, quelque chose avait dérapé et il n’allait surement pas la laisser seule, pas après le message qu’elle lui avait laissé. Et puis, sa présence lui faisait du bien, au point qu’il lui offrait un visage bien différent. Certes, il accumulait les relations sans lendemain, les coups d’un soir, ou d’une journée, à vrai dire, il prenait du plaisir sans rien attendre de plus. D’ailleurs, à cet instant précis, le fait de voir la sublime brune devant lui éveillait des envies, le désir et il ne pouvait qu’espérer lui changer les idées rapidement. Il n’avait pu que venir l’embrasser furtivement par pudeur, mais également afin de préserver leur relation secrète. Néanmoins, le russe n’avait pu que sourire, en la sentant renchérir un peu plus à ce baiser et en la sentant collée à lui. Le contact était agréable, réellement. Surtout avec les sous-entendus qui étaient de rigueur, avec les plats que Lullaby avait pris soin de faire. L’odeur était plus qu’alléchante, et il pensait au moyen le plus efficace d’éliminer les calories ingurgitées. Le sourire en coin, Callen la dévisagea « c’est adorable, sincèrement. Enfin je vois quand même que tu as bien quelque chose en tête. Mais.. ». Il se pencha, venant lui mordiller légèrement le lobe de l’oreille. « J’apprécie totalement ce programme, surtout si je peux te faire tout oublier. » . Le garagiste avait fini par ouvrir la porte, afin de continuer leur conversation et leur petit jeu loin des regards indiscrets, qui auraient été capables de les surprendre. La journée de travail avait été rude, et il n’avait pu que songer et mentionner le fait d’aller prendre une douche. Mais le fait que la brune soit là venait sérieusement mettre à mal ce projet. Combiner les deux était un excellent compromis, sans compter que le plaisir allait être de rigueur. « que ce soir ? moi qui pensais que j’allais profiter de toi toute la nuit, enfin si tu veux dormir ici. Bien que dormir ne soit pas le meilleur des mots ». laissant glisser ses mains sur ses hanches et ce corps qu’il affectionnait tout particulièrement, il n’avait pu que la serrer davantage contre lui. « alors va pour la douche, avec toi, maintenant. » . s’emparant une nouvelle fois des lèvres de sa maitresse, il remonta ses mains sous le haut de la brune, caressant sa peau avec envie et empressement. Callen la souleva du sol et la porta jusqu’à la salle de bain. « toujours aussi exquise » , murmura-t-il, alors qu’il la posait au sol et qu’il se délestait lui-même de son T-shirt.

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Callen avait juste la sensation de se sentir comme libéré alors qu’il se trouvait en présence de Lullaby. C’était sans doute étrange, lui qui n’avait jamais ressenti cela, lui qui préférait grandement le plaisir de la chair d’une nuit ou d’une journée voyait régulièrement cette brune, et il en était même arrivé à devenir son amant. Et ce n’était pas sa conscience qui allait venir mettre un frein. Non à vrai dire, il se sentait à l’aise à ses cotés, se contentant de vouloir tout lui faire oublier de la plus belle des manières possibles. Alors en ayant entendu le message vocal laissé par la femme mariée, le garagiste s’était bien douté que quelque chose n’allait pas et qu’il serait l’oreille attentive de sa maitresse, une épaule réconfortante et tellement plus. il n’était pas dupe, ils s’entendaient bien sur ce domaine et même dans le monde normal qui ne se plaçait pas que sur un plan horizontal. Ayant quitté précipitamment son garage, il n’avait pu qu’être heureux de la retrouver devant la porte de son logement, bien qu’il n’ait pas pu lui montrer totalement sa joie de la voir ainsi vêtue. Décidément, tout lui allait et mettait en valeur ses courbes délicates, celles-là même qui lui donnaient inlassablement des envies salaces. La preuve en était par son petit mordillement du love de l’oreille de sa brune. Les propos de la femme mariée avaient eu le don d’étirer ses lèvres vers le haut, alors que la suite devenait de plus en plus intéressante. « Je comprends bien, et j’apprécie d’avoir cet honneur. Et tu sais qu’avec toi, j’ai toujours des idées. » . Il vint l’embrasser une nouvelle fois, avant de sourire à ses propos. S’il avait ce don, il n’en avait jamais eu réellement conscience, et si l’envie de rétorquer des mots qui lui ressemblaient, Lullaby ne lui avait pas laissé le temps, lui coupant littéralement l’herbe sous les pieds, de par le baiser fougueux qu’elle lui offrait. Le brun lui avait répondu avec intensité, alors qu’il sentait la main de la brune s’enfouir dans ses cheveux, ceux-là même qu’elle tirait. Aucune douleur ressentie, mais une envie naissante, le désir qui s’accentuait au creux de son bas ventre. Décidément, elle savait s’y prendre, comme il avait pu le constater à maintes reprises par le passé. Heureusement que la porte s’était refermée sur eux, leur permettant de laisser libre court à leur imagination, ainsi qu’à leurs pulsions les plus intimes. Et cela passa bien évidemment par la proposition faite par le garagiste, à savoir rester chez lui toute la nuit. Pour parler oui, mais aussi pour tout lui faire oublier avec le langage charnel. Se mordillant la lèvre face aux propos des plus indécents, le russe ne put s’empêcher de rétorquer sur un ton relativement chaud. « Je vais tout faire pour que tu le sois alors » . Oui, il tenait sincèrement à ce qu’elle reste. Et puis, que pouvait lui apporter son mari ? Pas grand-chose, si ce n’est de la tristesse constante. Ce sentiment le révulsait, et il préféra largement la porter pour se rendre dans la salle de bain, où il n’avait pu qu’enlever son T-shirt. Les hostilités étaient lancées, du moins le petit jeu auquel ils adoraient s’adonner. Et s’il n’avait pu s’empêcher de la complimenter, la voir se dévêtir et lui présenter des sous-vêtements sexy lui fit ouvrir la bouche alors que son regard ne pouvait que se régaler de cette vue magnifique. « toujours autant, voire même plus. tu sais que cet ensemble me donne des envies pas très avouables. ». ses doigts suivirent le contour de ce qu’elle portait, avant de la faire reculer contre le mur. « Lulla… » , murmura-t-il sensuellement, alors que sa main descendait toujours plus bas. Soupirant, il n’avait pu que se coller à elle, alors que leurs lèvres se scellaient une nouvelle fois avec fougue et passion….

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Les compliments qui sortaient de la bouche de Lullaby avaient le don de flatter l’égo de Callen, lui qui était connu pour être le parfait Don Juan qui n’envisageait jamais rien de sérieux si ce n’est le désir et le plaisir. alors oui, avec la brune tout était différent, ils alliaient aussi bien la discussion que le reste, et cela était quasiment inédit et réellement magique en soi. Il avait dévisagé la brune, un sourire s’étendit sur ses lèvres. « Mais tant de belles paroles. Je suis unique, que veux-tu ? mais j’aime tout autant tout te donner » . Une allusion supplémentaire qui arrivait comme cela, en suite à ce qui avait été déjà dit par la femme mariée. Le fait de la retrouver lui faisait clairement du bien, le faisant se sentir comme sur un petit nuage bien que le septième ciel ne soit pas encore atteint. Enfin, il était évident que leur manière respective d’agir, de se chercher et se provoquer aurait un final en apothéose, comme à chaque fois. Et dire qu’il n’y avait qu’avec Lullaby qu’il agissait de la sorte, sans doute parce qu’elle était différente et que malgré son passé, le russe en faisait abstraction pour ne se concentrer que sur le meilleur. La suite risquait d’être intéressante, surtout avec l’imagination plus que débordante de la femme mariée. « Je suis tout ouïe, et qui sait, on peut toujours réaliser ces fameuses idées, en combinant nos deux esprits, on peut passer une agréable nuit, voire même plus. »  . Ses lèvres s’étirèrent, alors que ses yeux brillaient d’une lueur intéressée, avant que la discussion ne s’arrête pour laisser place à une autre forme de langage. Leurs lèvres s’étaient retrouvées en un baiser passionné qui traduisait leur envie de se retrouver, d’oublier pendant un laps de temps les soucis du quotidien. Et si leurs moments permettaient que Lulla se sente mieux, il était normal qu’il lui propose de rester toute la nuit, bien qu’il y ait une arrière pensée derrière tout cela, enfin surtout un des sept péchés capitaux qui parlaient. Le fait qu’elle ne dise pas non était un bon point pour lui, même s’il n’était pas du genre à douter de ses capacités de persuasion, surtout avec ce qu’il avait en sa possession. Tant pis pour le mari trompé ! il n’allait surement pas ressentir des remords à changer le quotidien de la brune et lui donner ce qu’il n’était pas ou plus en mesure de lui apporter. D’ailleurs, en parlant de cela, les deux amants avaient rejoint la salle de bain où leur provocation habituelle était revenue au galop. En enlevant son T-shirt pour mieux dévoiler son torse et ses abdos, Callen n’avait pu qu’attiser le désir de sa maitresse, même si celle-ci avait joué également avec les dessous sexy qu’elle avait achetés. Elle l’incitait à lâcher prise, à succomber à la tentation. Le désir grandissait dans ses veines et pas simplement, au point qu’il sentait que les prochaines minutes seraient difficiles à rester sage et calme. S’il avait envie de lui donner plus, il aimait également la faire languir pour faire durer le plaisir. Le brun n’avait rien répondu, se contentant de la plaquer au mur et de laisser glisser ses doigts sur cette peau douce comme la soie. Les mots qui sortirent de cette bouche délicate le firent sourire en coin. « Je vois ça. et j’ai très envie de toi également » , rétorqua-t-il suavement, avant que leurs lèvres ne se retrouvent avec fougue. Le contact se rompit bien rapidement, avant de reprendre pour mieux aboutir à une invitation des plus brûlantes. Il se recula légèrement, l’observant dégrafer son soutien-gorge, pour mieux découvrir cette poitrine qui l’excitait un peu plus. passant sa langue sur ses lèvres, il commença à déboutonner son jean qu’il descendit avant de l’enlever, puis il joua avec l’élastique de son boxer avant de se résigner. Non, il préféra revenir près de sa maitresse et embrasser son cou pour commencer à descendre encore plus bas sur cette poitrine dénudée alors que ses mains descendaient le seul vêtement qu’elle portait encore. « maintenant, tu es prête pour la douche » , glissa-t-il, se sentant vraiment de plus en plus à l’étroit dans son boxer..
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Ne pas être seul et se retrouver en la compagnie de cette femme mariée étaient le programme rêvé pour Callen, qui n’avait pu que ressentir une pointe d’excitation en recevant ce message plus tôt dans la journée. Autant dire qu’il n’avait pas trainé au garage, attendant presque un dépannage avec impatience. Non, c’était tout le contraire, il voulait juste retrouver Lullaby, lui montrer qu’il était présent pour elle dans les bons comme dans les mauvais moments. et après tout ce qu’ils s’étaient mutuellement confiés, le russe avait rapidement compris qu’elle aurait besoin d’une oreille ce soir et avec un peu de chance de son épaule et bien plus. D’ailleurs, il fallait croire que les allusions faites lançaient la soirée de la meilleure des manières possibles. Il s’était mis à sourire, en rétorquant d’un ton suave « mais totalement » . et encore, elle n’avait pas conscience de toutes les pensées qui affluaient à son esprit en la voyant jouer devant lui. la séduction faisait partie de leur habitude, et il ne s’en lassait jamais et il en profitait. Parce que personne ne savait de quoi demain était fait et qu’il savait très bien que Lulla retournerait un jour auprès d’un homme qui pourrait la combler entièrement, chose dont il n’était absolument pas capable. Non, lui était tout simplement bon à s’envoyer en l’air, à laisser des moments en mémoire et à allumer le désir. D’ailleurs, Callen n’était pas dupe et se doutait que Lulla devait déjà être impatiente qu’ils se retrouvent seuls et ne laissent parler leurs corps. « Hum, tu me fais rêver. Et tu te doutes bien qu’une nuit ne sera pas suffisante pour assouvir tous nos fantasmes. Hum excellent point, au moins on aura de quoi en réaliser » . La simple idée de cette nuit lui donnait déjà tellement envie, surtout en la passant avec elle. C’était sans compter sur le fait qu’ils se dirigent vers la salle de bain, où la soirée allait commencer sans qu’une réelle discussion n’ait eu lieu. Pour le moment, elle ne voulait pas parler de ce qui l’avait poussée à venir, enfin même si pour l’instant c’était le cadet de ses soucis. Non, il préférait se délecter de ce qu’elle lui offrait, y compris cette lingerie sexy dont elle se délesta rapidement. Ses yeux se portèrent sur la partie de ce corps dénudé qui avait le don de lui montrer à quel point il avait raison de se lancer dans une telle relation. Il était sans doute temps de passer sous la douche, de ne faire qu’un, mais lui préférait faire durer le plaisir en lui laissant entrevoir ce qui lui revenait de droit. Callen s’en amusait, préférant faire frissonner la brune en embrassant ce corps qui n’était pas loin de s’embraser pour lui. « si tu savais à quel point » , murmura-t-il, se sentant plus que prêt à s’unir à elle, à lui donner ce qu’elle voulait tant et qui les conduirait sur le chemin de l’extase et de la béatitude. Les mains de Lulla dans son dos, puis les baisers qu’il lui prodigua encore et encore l’emplissaient un peu plus de désir, qui était encore caché par le boxer qu’il portait. Dernier rempart, dernier élément avant de partir sous la douche que la brune avait pris le soin d’allumer en l’intimant de le suivre. il avait passé sa langue sur ses lèvres, alors qu’elle lui prenait la main avant de venir lui ôter ce vêtement qu’il lui restait. Callen la dévisagea, une lueur lubrique dans le regard alors qu’il vint se coller à elle, en s’emparant de ses lèvres avec fièvre. La soulevant légèrement, le russe la conduisit sous le jet d’eau. C’était tellement bon, tellement plaisant. Relâchant son étreinte, Callen la plaqua contre la paroi de la douche, en se frottant en elle doucement et que ses mains la caressaient. Il lui mordilla le lobe de l’oreille, en lui murmurant « hum alors le programme ma belle te convient ? et en effet, tu es très prête » . il enfouit son visage au creux de son cou, n’attendant qu’un mot de sa part…
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