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Sujet: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Sam 8 Avr - 16:02
Ariel petite Ariel... non pas dénué de voix celle ci mais bien de l'ouïe. Quelle pacte étrange avait pu passer ce petit triton pour en venir à abandonner ses jambes en échange de sa faculté à entendre ? Otto se le demandait franchement... et même de la part de la sorcière des mer qui lui avait jeté ce sort cela paraissait stupide ! À moins que son prince... sa princesse ? Il ne le savait pas. Mais donc à moins que les termes du contrat l'obligeait à entendre l'amour de l'élu de son cœur et dans ce cas c'était démoniaque, vraiment. Pourtant, à part lui, personne ne semblait s’apercevoir de ce qu'il se passait réellement autours de cet étrange personnage qui dormait avec eux, personne ne voulait se rendre compte, alors que leur chef était littéralement Peter Pan et Tinks la si jolie et violente Tinkerbell qu'à leur côté se trouvait une véritable princesse des mers. Mais ce n'était pas grave... car Otto avait l'oeil et Otto ne voulait pas partager, épiant le petit Ariel en se tenant debout devant son matelas, l'observant dormir alors qu'ils n'étaient plus que tous les deux dans l'appartement et réfléchissant à quoi faire de cette information.
En profiter ? Faire du chantage ? Le vendre à la science ou encore l'obliger à remplir tous ces désirs ? Non, en réalité sa réflexion était tout autre. Il se tourna alors vers la poupée Ariel qui dépassait de sa poche avant de lui dire « Tu ne trouves pas qu'il ne te ressemble pas du tout ? Oui Ariel, t'as raison, il faut qu'on arrange ça. » ceci tout en faisant hocher la poupée de la tête. Car oui, le truc qui tracassait le plus Otto, c'est que la sirène ne ressemblait pas à la sirène, du moins pas à celle de Disney qui était la seule qui comptait à ses yeux et il devait se faire un devoir d'arranger ça. Après tout... une fois l'illusion brisé Ariel, la version palpitante, ne pourrait qu'avouer sa véritable identité. Il se mit alors au travail, profitant du sommeil de plomb du blond qui pour le coup aurait aussi pu passer pour Aurore afin de lui retirer son drap, son haut... son caleçon... qu'importe la décence, une sirène n'avait pas de sous vêtement ! Puis Otto voulait voir ! Et il sourit, sourit car clairement notre princesse faisait de merveilleux rêves et qu'il aurait aimé l'y aider. Mais là n'était pas sa mission. À la place, à défaut d'une vrai queue de poisson, il reprit sa couverture qu'il enroula autours de sa taille, n'hésitant pas à le soulever un peu pour que ça passe, serrant si fort que même un enfant bordé aurait plus de moyen de se libérer. Il en profita aussi, car une sirène n'avait normalement pas de jambes, pour lui attacher les chevilles. Comment ? Et bien... Otto avait toujours des menottes... pour le cas où... pour rire un peu... et cela fit parfaitement l'affaire. Déjà il était beaucoup plus proche de la réalité, avec cette queue de poisson improvisée et Otto en était très fier ! Il y avait cependant un détail qui le tracassait... ses cheveux... des cheveux blond et non roux voir même carrément rouge... que faire ? Il avait déjà fait des blagues à certaines personnes, teinté leurs cheveux à leur insu, mais pas sur des gens endormit, non, à moins d'être sous somnifère même la plus endormit des princesses se réveillerais. Alors ils dû employer les grands moyens...
Otto commença alors à ouvrir sa ceinture, se débarrasser de son pantalon très lentement, révélant un boxer d'un rouge parfait. Il se dénuda, ramassant son boxer qu'il cala entre ses dents quelques minutes le temps de se rhabiller, n'hésitant pas à prendre le sous vêtement de Ariel à la place du siens, avant de s'approcher lentement et de lui enfiler son fameux boxer rouge sur la tête. Bon... c'était cheap, autant qu'on se le dise, mais au moins c'était rouge ! Et d'un coup il devenait tellement mignon... mignon au point que même Otto ne résista pas. Car Ariel avait toujours été une de ses préférée. Sauf que Ariel était une femme et qu'elle mesurait trente centimètre. Or là... c'était comme un rêve devenu réalité. Otto se rapprocha donc, se mettant à califourchon sur son triton endormit, le bassin posé contre le siens et, avant de continuer, il prit de sa poche un tube de rouge à lèvres, du noir car il n'avait que ça, avant d'en passer une couche. Il se pencha alors, presque collé au visage du bel endormit et hésita un instant. Est-ce que cela se faisait ? Avait-il vraiment le droit de l'embrasser ou devait-il laisser ce plaisir à son prince ou sa princesse charmante ? Qu'importe ! Le ou la connasse n'avait qu'à être plus attentive, il fallait être là et ne pas laisser une créature aussi belle si loin de soit car sinon oui, quelqu'un d'autre pourrait s'en emparer. Sa petite sirène à lui... seize ans comme dans les contes en plus... oui, il voulait avoir son propre conte de fée pour une fois alors il franchit le peu de distance qui les séparait encore pour le réveiller du baiser d'un prince charmant.
Dernière édition par Otto Hard le Sam 1 Juil - 21:18, édité 1 fois
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Mer 26 Avr - 18:27
La Petite Sirène version 2.0
Otto & Ariel
Ce n’est pas ma faute, je déteste dormir seul. Parce que j’ai peur du noir et que parfois ma veilleuse ne suffit pas. Parce que ce vide autour de moi, cette absence de chaleur finit par me réveiller. Au fond, je me suis vite habitué à la présence de River, allongé à mes côtés. Mais quand son matelas reste vide, je me réveille en sursaut. Parce qu’il manque quelque chose, quelqu’un, et je le ressens, je ne peux pas m’endormir profondément. Je ne veux pas l’admettre, mais je me suis attaché à lui, aux lost boys de manière générale. Peut-être pour combler le vide laissé par mon frère. River est arrivé pratiquement en même temps que moi et depuis, il a pris ce visage fraternel, rassurant qui devait sûrement me manquer. Alors, j’ai mal dormi la nuit dernière, parce qu'il n'était pas là. Et après avoir couru partout dans la ville pour livrer de la poussière de fée aux habitués, je suis rentré épuisé. M’allonger m’avait semblé être une bonne idée au début. Parce que je devais simplement lire le dernier cours que m’avait donné Lenny dans l’espoir qu’il rentre enfin dans mon esprit. Mais avant même d’avoir lu la moitié, j’ai sombré dans un profond sommeil, rassuré par la lumière du jour qui filtrait encore par la fenêtre. Parfois, je me dis qu’il serait sans doute plus simple pour moi que je dorme le jour et que je me mette à vivre la nuit. Cette une idée que je devrais creuser, même si je me sentirais sans doute un peu seul à la longue, en décalé avec le reste du monde. Et puis dormir la journée a quelques désavantages… Déjà quelqu’un peut vous surprendre et vous réveillez subitement. Non pas que ce soit toujours désagréable. Sentir des lèvres sur les miennes, sollicitées par des caresses inhabituelles, ça a quelque chose de doux et d’enivrant. Je crois encore rêvé, même si les sensations me semblent réelles. Alors j’ouvre doucement les yeux et le visage d’Otto se dessine peu à peu. Surpris, j’écarquille brusquement les yeux, les joues en feu. « Tu… tu m’as… embrassé ?! » J’hésite, je bégaie. Est-ce que c’était réel ? Je n’en suis plus très sûr.
Déboussolé, je tente de me dégager légèrement mais mes pieds sont attachés entre eux par ce qui semble être des menottes. Mais ce n’est pas tout… Mes jambes sont coincées dans une couverture comme si elles étaient collées l’une à l’autre, ce qui entrave d’autant plus mes mouvements. « Pourquoi je suis ligoté de cette façon… ? C’est toi qui a fait ça ? Pourquoi…. ? » Bien sûr, j’ai toujours su qu’Otto était un type un peu bizarre, mais j’ai toujours trouvé ça marrant. Il a son propre style, ses propres lubies et si elles peuvent paraître effrayantes, elles font partie d’un monde qui le rendent unique en son genre. Et je l’apprécie pour ça, parce qu’il a quelque chose de spécial. Mais jamais il n’a tenté de s’en prendre à moi auparavant et après le baiser qu’il vient de me donner, c’est encore plus incompréhensible. Est-ce qu’il cherche à se venger ? Je ne me souviens pas avoir fait quoi que ce soit pour le mettre en colère mais peut-être que je l’ai blessé sans le vouloir. Je ne comprends pas, je suis perdu. Et pour couronner le tout, lorsque je passe mes doigts dans mes cheveux, je m’aperçois qu’il y a un boxer rouge posé sur ma tête… un boxer usagé qui doit sans aucun doute appartenir à Otto. « C’est dégoutant ! Pourquoi tu m’as mis ça sur la tête ?! Qu’est-ce que je t’ai fait ? Pourquoi tu t’en prends à moi de cette façon… ? » Une grimace sur le visage, je balance le sous-vêtement dans sa direction avant d’essayer de mettre de la distance entre nous. Ce qui n’est pas si simple vu que mes jambes et mes pieds sont entravés. Et je ne sais même pourquoi il m’en veut de cette façon. J’aimerais comprendre, afin d'avoir une chance d’arranger les choses. « S’il te plait, détache-moi… » Pour être honnête, je ne suis pas très rassuré, j’ai du mal à supporter d’être attaché. L’idée de ne pas pouvoir bouger réveille un sentiment de panique que j’ai du mal à contrôler. Pourtant, je sais qu’Otto n’est pas du genre à me faire du mal et peut-être qu’il voulait seulement me faire peur, me donner une petite leçon ou simplement s’amuser un peu. Mais c’est plus fort que moi, j’ai de plus en plus de mal à respirer.
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Otto Hard
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Mar 2 Mai - 18:00
Et la princesse, hybride entre la belle au bois dormant et la petit sirène, a enfin ouvert les yeux, sortant de sa torpeur sous le baiser de prince Otto et rejoignant de nouveau le monde de la lumière. Bien sûr la réaction n'est pas tout à fait celle que Otto avait envisagé... plutôt que de tomber d'amour et de reconnaissance petite princesse Ariel panique. Il sursaute, s'indigne, tente de prendre la fuite mais se déplace avec autant d'agilité qu'un poisson hors de l'eau. L'a-t-il embrassé ? Otto sourit mais ne dit rien, car au fond il sait qu'il n'a rien à dire, la réponse est évidente. Il sourit plus encore quand Ariel se demande pourquoi il est ligoté, si c'est lui qui a fait ça et pour quelle raison. Pour quelle autre raison que de donner à cette princesse qui s'ignore une apparence plus digne de ce qu'elle est réellement sensé être ? « Car je voulais voir à quoi tu ressemblais avec ta queue de poisson. » Il a envie de l'embrasser à nouveau sa princesse effrayé, il a envie de lui caresser le visage pour la rassurer et lui dire que tout va bien, qu'il va en prendre soin. Il a envie de lui dire qu'il va l'emmener avec lui dans son royaume où il sera en sécurité. Mais il n'en a pas le temps, il n'en a pas le temps car Ariel continue de s'éveiller.
Ariel attrape le boxer, l'arrache et lui balance à la figure. Il geint, il se plaint et il se pose beaucoup trop de question. Il n'arrête pas de parler, parler parler, au point que Otto fini par froncer les sourcils : Il est en train de tout gâcher. Alors Otto attrape les côtés de son visage, il le force à le regarder et plonge son regard dans le siens, il attend quelques seconde, histoire qu'il arrête de s'agiter et qu'il soit sûr qu'il puisse lire sur ses lèvres « Pourquoi tu casses la magie ? Je t'avais transformé en Ariel, le petit triton. Et Ariel a les cheveux rouge ! Et j'avais rien de rouge à part ça et je suis pas dégoûtant d'abord. » Il tire la moue, il est un peu triste que son jeu ait prit fin trop vite. Il voulait être le prince Eric... mais il se fait une raison, il sait que Ariel ne voudra pas continuer le jeu. Il fini donc par le relâcher, l'observe, caresse un peu son torse nu avec ses mains d'une manière tout sauf sans sous entendu puis soupir, frustré. Il commence donc à libérer Ariel, il tire sur la couette pour la desserrer et la lui retire, révélant le corps complètement nu et... dressé de son camarade, le faisant sourire de nouveau « Bonjour ! » il rit, il rit beaucoup en le voyant comme ça et décide de le titiller un peu. Il lui caresse les jambes, se rapproche de plus en plus de l'intérieur de ses cuisses et, au bout d'un moment, viens juste tripoter du doigt l'extrémité de son intimité.
Il éclate alors de rire car il sait que cela va mettre son petit compagnon mal à l'aise puis, sans prévenir, l'attrape par les jambes et le tir à lui, forçant Ariel à s'allonger de nouveau tandis qu'il tiens ses jambes très fermement à la verticale. Il prend alors la clé de menottes et commence à les lui défaire, les retirant et lui chatouillant en passant les pieds avant de laisser ses jambes retomber de chaque côté de son corps, se retrouvant bassin contre bassin, se penchant sur lui et lui souriant. Il lui sourit, sourit encore, mais très vite le sourire s'estompe « Fuis pas s'teuplait... je te trouvais juste tellement mignon là endormit, j'ai pas résisté. Je voulais jouer au prince et à la princesse, pas te faire flipper ou quoi que ce soit. » Otto se dégage lentement, il lui laisse de l'espace puis s'installe à genoux comme un enfant sage à une bonne distance du plus jeune. Il l'observe sans rien faire, sans rien dire... Puis au bout d'un moment il fini par lâcher un « Tu veux bien jouer avec moi ? Oh ! Tu veux bien me montrer tes paillettes et me laisser t'en mettre ? T'es tellement beau... je suis sûr que tu serais encore plus beau avec des paillettes ! S'il te plaiiit ! »
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Mer 17 Mai - 3:24
La Petite Sirène version 2.0
Otto & Ariel
Au fond, je sais qu’Otto n’est pas du genre à donner une véritable réponse, quelque chose qui a du sens, quelque chose de logique. Mais je ne m’attendais pas du tout à ça. « Car je voulais voir à quoi tu ressemblais avec ta queue de poisson. » Je reste sans voix, je ne sais pas quoi répondre à ça et peut-être qu’il n’y a rien à dire. Parce que ça n’a aucun sens et que je ne comprends pas. J’étais tranquillement en train de dormir quand il m’a réveillé et j’ai encore du mal à réaliser ce qui se passe. Pour être honnête, je dois prendre sur moi pour ne pas laisser la panique s’installer et je respire profondément pour me calmer. C’est ce moment qu’Otto choisit pour prendre mon visage entre ses mains, me contraignant à le regarder. Son regard croise le mien et un instant j’en oublie mes angoisses. Je sais que je n’ai rien à craindre avec lui, ma peur est irrationnelle. Et alors que je respire plus facilement, je laisse mon regard se reporter sur ses lèvres. « Pourquoi tu casses la magie ? Je t'avais transformé en Ariel, le petit triton. Et Ariel a les cheveux rouge ! Et j'avais rien de rouge à part ça et je suis pas dégoûtant d'abord. » Sa moue me déstabilise. Parce que même si je soutiens que c’était dégoûtant, je ne voulais pas non plus lui faire de la peine ou le contrarier. Juste l’empêcher de me poser des sous-vêtements sales sur la tête – ou n’importe où ailleurs. Mais il semble déjà être passé à autre chose puisque ses doigts glissent sur mon torse, caressant ma peau de façon si suggestive que j’en oublie presque que je suis attaché. Du moins jusqu’à ce qu’il commence à me libérer, tirant sur la couverture dans laquelle il m’a emmailloté. Ce que je n’avais pas prévu c’est qu’il dévoilerait mon corps complètement nu. Surpris j’écarquille les yeux alors que je réalise qu’il m’a déshabillé pendant que je dormais. Aucun autre scénario n’était possible puisque je portais un tee-shirt et un boxer quand je me suis endormi. Mais ce n’est pas vraiment ma nudité qui me met si mal à l’aise – je ne suis pas quelqu’un de pudique – Non, ce qui me fait violemment rougir, c’est cette érection qui traduit l’effet qu’il m’a fait en me touchant et en m’embrassant de cette façon alors que j’étais à peine réveillé. « Bonjour ! » Amusé, il rit encore et encore, augmentant mon mal être alors que je rêve de pouvoir disparaître et ne plus être ce petit puceau qui s’excite pour un rien. Mais visiblement, Otto a décidé de me torturer aujourd’hui et il caresse mes cuisses, s’aventurant jusqu’à l’intérieur de ces dernières jusqu’à m’en donner des frissons. J’aimerais pouvoir me contrôler mais j’en suis incapable. Je ne peux que me mordiller la lèvre, laissant même échapper un couinement lorsqu’il vient tripoter l’extrémité de mon membre. Ce n’est pas de ma faute, c’est fourbe de sa part de me titiller à un endroit aussi… sensible. Et lui, ça le fait rire en plus !
Je reprends à peine mes esprits lorsqu’il attrape mes jambes afin de me tirer vers lui. Paniqué, je crie avant de me vautrer à nouveau sur mon matelas, les jambes en l’air. C’est plutôt inconfortable, mais surtout très flippant. Pourtant, contre tout attente, il en profite pour retirer les menottes qui entravaient mes pieds et, pouvoir enfin bouger mes jambes séparément me libère de cette peur incontrôlable qui me paralysait jusque-là. Cependant, avant que je n’ai pu faire le moindre mouvement, il chatouille mes pieds m’obligeant à me débattre pour y échapper, avant de laisser retomber mes jambes de chaque côté de son corps. A présent nos bassins sont collés l’un contre l’autre et il se penche vers moi, un sourire aux lèvres. La scène a quelque chose d’inquiétant et j’ignore si je dois me réjouir à l’idée qu’il veuille de moi ou si je devrais au contraire avoir peur. Et peut-être qu’il perçoit mon hésitation parce qu’il cesse peu à peu de sourire. « Fuis pas s'teuplait... je te trouvais juste tellement mignon là endormit, j'ai pas résisté. Je voulais jouer au prince et à la princesse, pas te faire flipper ou quoi que ce soit. » Effectivement, c’est plutôt raté. Mais tandis qu’il se dégage, me laissant de l’espace, je réalise que s’il avait voulu me forcer la main, il l’aurait déjà fait puisqu’il en avait l’occasion lorsque j’étais attaché. Alors il est évident qu’il me dit la vérité et que tout ceci n’était qu’un jeu dans son esprit tordu et fantasque. Un jeu que je n’avais pas pu comprendre puisqu’il a tout mis en place dans mon sommeil, sans que je ne sois mis au courant. Au fond, ce n’est que de la maladresse qui lui ressemble bien. « Tu veux bien jouer avec moi ? Oh ! Tu veux bien me montrer tes paillettes et me laisser t'en mettre ? T'es tellement beau... je suis sûr que tu serais encore plus beau avec des paillettes ! S'il te plaiiit ! » Maintenant que mon angoisse s’est dissipée, je ne me vois pas refuser. Surtout lorsqu’il se montre aussi mignon… Il a quelque chose d’attachant quand il agit de cette façon. Et je suis faible. Peut-être parce qu’il me parle de jouer avec des paillettes, ou qu’il me dit qu’il me trouve beau. Dis comme ça, c’est assez vaniteux, mais en réalité, il est rare qu’on me dise ce genre de choses. Alors, j’ai du mal à ne pas rougir bêtement face à un compliment, même s’il est sûrement prononcé dans le but de m’amadouer pour que je lui pardonne. « D’accord ! Bouge pas, je vais attraper mes paillettes. » Sur ces mots, je rampe en dehors de mon matelas afin de fouiller dans une boîte posée près de mon lit. Avant de l’ouvrir, je retire la veilleuse en forme de dragon qui est posée dessus et qui m’aide à contrôler mes angoisses la nuit. Puis, à l’intérieur, je trouve un énorme sachet de paillettes multicolores. Elles brillent sous les rayons du soleil et je ne peux pas m’empêcher de sourire, parce que c’est beau.
Lorsque j’étais plus jeune, les autres enfants du quartier se moquaient de moi et de mes paillettes. C’était un truc de fille, comme le rose et la danse. Sauf que j’ai toujours aimé ces trucs-là justement, sans jamais ressentir le besoin d’être une fille. Alors je n’ai jamais vraiment compris, j’ai juste dû me défendre, encaisser les brimades et décider que je m’en fichais de leur avis. Parce que ça me rendait heureux, au fond. Et aujourd’hui, je tends fièrement mes paillettes vers Otto, prêt à jouer avec lui, parce que je sais qu’il me comprend. Parce qu’il aime les poupées et que beaucoup le trouvent bizarre à cause de ça. Entre autre. « Par contre, tu vas devoir me laisser t’en mettre aussi ! » Ben oui, ya pas de raison que je ne joue pas un peu moi aussi, après tout. Et puis, si je peux en profiter aussi au passage... Après tout, je n’ai pas souvent l’occasion de toucher un autre corps masculin. Pour être honnête, je ne suis pas seulement puceau, je n’ai jamais eu de petit ami ou même d’histoire d’amour. Pourtant, je tombe amoureux. Non, pour être plus précis, je suis amoureux. Mais personne n’a jamais été amoureux de moi. Je ne sais pas vraiment ce qui cloche chez moi. Ou plutôt si, je pense le savoir mais des fois, je me dis que je me trompe peut-être et qu’on m’embrassera pour de vrai. Pas juste par jeu ou dans un but précis. « Je dois t’en mettre sur la peau… alors euh… Tu vas devoir… enfin tu vois quoi… » Gêné, je reviens sur le matelas en essayant de cacher mon érection avec ma main. « Je devrais enfiler un boxer… » Ne trouvant pas celui que je portais lorsque je me suis endormi, j’en attrape un propre sur la pile de vêtements entassés dans un sac à côté de mon lit de fortune. Mais même une fois couvert, il est facile de deviner ce qui se cache derrière la bosse qui déforme le tissu moulant. Conscient que je ne pourrais pas faire mieux que ça, je souris timidement avant de m’asseoir face à Otto. « Dis… Tu le pensais vraiment… ? Que je suis beau... Ou tu as dit ça pour me faire plaisir ? Je comprendrais si c’était le cas et ça me paraîtrait logique… Je ne suis pas vraiment comme toi ou Lenny… » Je rougis malgré moi en pensant à lui, parce qu’il y a quelque chose chez Lenny auquel je suis plus sensible. Quelque chose de différent qui me fait sourire bêtement et me donne l’air idiot quand je lui parle. « Ou même River et Merle. Enfin tu vois ce que je veux dire. » Je ne sais pas s’il comprend où je veux en venir. Je m’embrouille moi-même et je bégaie un peu en cherchant mes mots. Peut-être que je n’aurais pas dû lui poser la question, parce qu’il est évident qu’il ne va pas me dire qu’il m’a menti et qu’il me trouve moche. Même si c’était vrai, il ne le dirait sûrement pas et c’est sûrement mieux ainsi.
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Otto Hard
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Dim 21 Mai - 17:50
Il est beau... le petit Ariel... Voila ce que pense Otto, voilà ce que savait déjà Otto quand déjà il l'avait observé par le passé, quand déjà il l'avait déshabillé pour commencer son petit jeu et quand maintenant il le voit... nu devant lui, totalement vulnérable, gêné et excité. Délicieuse petite vision qu'est-ce là pour Otto, un Otto qui aurait bien envie de le dévorer, en faire son quatre heure lui avec sa jolie bouille, son joli corps, son joli tout. En vrai Otto n'a plus que des pensées lubriques ! Surtout maintenant que le jeu est fini, surtout maintenant que Ariel l'a stoppé dans son délire de petite sirène. Il n'y a plus rien pour lui occuper l'esprit... à par l'envie dévorante de l'étreindre, le toucher, le caresser. Il a envie de le refaire couiner comme il vient de le faire à l'instant car ça le fait bander. Mais il ne veut pas le brusquer... même si c'est déjà ce qu'il fait. Il ne veut pas lui donner l'impression que c'est forcé ni commettre un viol car Otto n'a rien d'un violeur et malgré le fonctionnement bizarre de son cœur il ne le supporterait pas. Alors il reste là, au départ un peu inquiet à l'idée qu'il prenne la fuite, puis ensuite souriant et taquin. Il veut pas juste partir et le laisser là, laisser cette opportunité s'échapper.
Alors Otto tente une nouvelle tactique, un nouveau jeu, une nouvelle stratégie. Il lui parle de ses paillettes, ses célèbres paillettes et il lui propose ce qu'il aime le plus... jouer à la poupée avec les autres. Il veut le recouvrir de paillettes, surligner ses formes pour le rendre plus beaux encore mais surtout... surtout il veut le toucher... il veut terriblement le toucher et il espère que par ce « jeu » il sera plus enclin à accepter. Et il le fait justement, il donne son accord après une petite hésitation et Otto sourit plus grand encore. Du coup il l'observe... il l'observe ramper, pousser sa jolie veilleuse car oui, Ariel a peur du noir et c'est adorable, il l'observe attraper sa petite boite à trésor et en tirer un sachet qui brille plus encore que de la poussière de fée. Et il a ce sourire... ce si beau sourire que Otto a envie de voler sous la forme d'un baiser. Mais il se retient pour le moment, il reste patient et l'observe gentiment. Et il est heureux Otto... car au lieu de simplement flipper et se laisser faire Ariel propose quelque chose, Ariel propose de lui aussi participer, d'en profiter « ça marche ! Mais tu as intérêt à me rendre beau. » Dit-il d'un ton taquin. Et il a envie de sourire plus Otto, même si il sourit déjà à fond, quand il entend ce que son camarade lui dit, ce qu'il lui demande et tente de sous entendre par gêne de le dire à voix haute. Oh oui... cela promet réellement d'être intéressant. Cependant Ariel veut se rhabiller... et ça Otto ne voulait pas mais il n'a pas le temps de le rattraper que déjà il a un nouveau boxer sur les fesse... il tire la moue Otto... puis hausse les épaules. Ce n'est pas grave, il lui retirera juste lui aussi au bout du compte.
Du coup Otto commence à se déshabiller. Il retire son haut, une certaine impatience dans le regard, puis il commence à déboutonner son pantalon avant de s'arrêter à mi chemin en entendant les paroles d'Ariel. Si il était sérieux ? Il pensait pourtant que cela était clair. Mais il comprend en l'entendant parler, il comprend que Ariel n'a pas confiance... qu'il n'a pas confiance en lui même et semble tourmenté par mille insécurités. C'est absurde pourtant car il est magnifique ce con. Et Otto ne sait pas trop quoi lui dire... il ne sait pas comment lui montrer que c'était sincère... puis il lui vient une idée. Il fini d'ouvrir son pantalon, le retirant comme il peut étant donné à quel point il est serré, n'ayant plus à présent que ses chaussettes, une rose et une bleue dans des tons pastels, et son boxer... enfin plutôt le boxer d'Ariel... Et dont le tissu est suffisamment tendu pour montrer l'état de Otto. Il prend alors les paillettes, en met un petit tas dans la main de Ariel puis la plaque contre son entre jambes « Tu le sens ça ? Ça... c'est l'effet que tu me fais et je ne pense pas qu'il y ait plus sincère comme façon de le montrer. » Il se rapproche un peu, gardant la main d'Ariel plaqué contre son intimité et se mettant assit face à lui, les jambes par dessus les cuisses de son camarade et enserrant ses hanches. Il prend alors des paillettes, en met plein ses mains puis, du bout de ses pouces, traces des lignes sous les yeux de Ariel, glisse ses mains sur son cou puis... avec ses doigts... trace le contour de ses muscles, de ses pectoraux, de ses abdominaux. Il l'observe à mesure que son corps se met à briller sous l'effet des paillettes puis le regarde droit dans les yeux, un sourire aux lèvres « Tu vois tout ça, tout ton corps, tous tes traits... Je trouve ça sublime, magnifique, attirant, tout ce que tu veux. » Puis il se rapproche, colle leur torse et lui murmure à l'oreille car il sait qu'il n'entendra pas « Puis j'ai envie de te faire jouir... rien que pour voir si tu jouis des paillettes. Mais ça, c'est un secret ! » Il rit, laisse de grandes traînées de paillettes dans son dos puis se recule, l'air de rien, toujours aussi souriant. « Ton tour ! À toi de me mettre des paillettes où tu veux, comme tu veux, autant que tu veux et de me dire... euuuh... bah ce que tu veux ! »
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Jeu 15 Juin - 21:55
La Petite Sirène version 2.0
Otto & Ariel
Au fond, je ne me sens pas très à l’aise, mais l’idée de jouer avec des paillettes me détend un peu. Même si j’ai conscience de la tension sexuelle qui s’est installée, et je sens l’inquiétude me faire douter de moi, de mes capacités. « ça marche ! Mais tu as intérêt à me rendre beau. » Un léger rire s’échappe de mes lèvres, pensant qu’il me fait une blague, parce qu’il est déjà tellement beau que je ne vois pas ce que je peux faire de plus. Même si à mes yeux, les paillettes ont un effet tellement érotique que je ne peux que confirmer d’un hochement de tête. Juste avant que mon regard ne se pose sur son corps qui se dénude peu à peu, dévoilant son torse. Et soudain, je ne peux plus regarder ailleurs, je suis ses mains alors qu’il commence à déboutonner son pantalon, avant de s’interrompre subitement. Surpris, je l’observe sans comprendre ce qui se passe dans sa tête. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Je m’attends clairement à ce qu’il m’explique ce qui se passe dans sa tête, parce que je ne comprends pas ce que j’ai fait. Mais à la place, il finit de se débarrasser de son pantalon, réveillant brusquement le désir qui me tiraille le bas ventre depuis qu’il m’a réveillé. Pourtant, un détail attire mon attention… Son boxer ! Ou plus exactement mon boxer, celui que je ne portais plus à mon réveil. Et avant que je n’aie pu réagir, Otto s’empare de ma main afin de la remplir de paillettes et de la poser sur la bosse qui déforme le tissu du sous-vêtement. « Tu le sens ça ? Ça... c'est l'effet que tu me fais et je ne pense pas qu'il y ait plus sincère comme façon de le montrer. » C’est la première fois que je touche le membre d’un autre mec, même si le tissu me prive d’un contact plus direct, plus intense. J’en reste néanmoins paralysé, partagé entre excitation et inquiétude. Parce que je ne sais absolument pas ce que je dois faire, mais il semble prêt à agir pour moi alors je me laisse guider. Sans lâcher ma main, il se rapproche, collant son intimité contre la mienne alors que ses jambes – passant par-dessus mes cuisses – viennent enserrer mes hanches. Émoustillé par cette proximité, par la chaleur de son bassin contre le mien, ma respiration s’accélère et je me tortille malgré moi. Pendant que de son côté, il recouvre ses mains de paillettes, commençant par tracer des lignes sous mes yeux avec ses pouces, avant de descendre dans mon cou. Malgré moi, je frissonne sous le passage de ses doigts, alors qu’il s’attarde à présent sur mon torse, redessinant le contour de mes pectoraux et de mes abdos comme s’ils cherchaient à les imprimer, à les mémoriser du bout des doigts. Et si ses caresses m’avaient déjà rendu fou, ce n’est rien à côté de son regard qui vient accrocher le mien et de son sourire qui illumine ses yeux. « Tu vois tout ça, tout ton corps, tous tes traits... Je trouve ça sublime, magnifique, attirant, tout ce que tu veux. » Mes joues s’enflamment, je peux sentir la chaleur qui s’y attarde bien trop longtemps à mon goût, mais heureusement, il ne semble pas le remarquer, puisqu’il se rapproche déjà, collant son torse contre le mien.
Ses doigts se glissent alors dans mon dos, y laissant également quelques paillettes que j’aurais sûrement beaucoup de mal à enlever. Mais ça m’est égal, j’aime jouer avec Otto, dessiner sur nos corps, sur nos peaux. Et lorsqu’il s’écarte à nouveau légèrement, toujours souriant, je sens que mon tour est venu, et j’ai déjà hâte de pouvoir le toucher. « Ton tour ! À toi de me mettre des paillettes où tu veux, comme tu veux, autant que tu veux et de me dire... euuuh... bah ce que tu veux ! » Quelque peu nerveux, je plonge mes doigts dans le sachet de paillettes avant d’observer le corps à demi nu d’Otto. Il est si beau, si bien dessiné. Et c’est la première fois que je peux vraiment toucher un corps masculin qui n’est pas le mien. Du moins de façon aussi… intime. Ne sachant pas vraiment ce que je suis censé faire, ce qui pourrait lui plaire, je laisse mes mains effleurer son torse. C’est étrange, mais ça me plait, de sentir la chaleur de sa peau sous mes doigts alors qu’ils laissent une trainée de paillettes sur leur passage. Aventureux, je redessine ses épaules et ses pectoraux avant de descendre plus bas, sur son ventre… Encore plus bas, alors que je m’arrête à la lisière du boxer. Mon boxer. « Pourquoi est-ce que tu portes mon sous-vêtement ? » ça m’intrigue, j’aimerais comprendre ce qui lui est passé par la tête pendant que je dormais. Mais ce n’est pas vraiment le tissu qui attire le plus mon attention. Mon regard s’égare sur la bosse formée par son érection et je n’y peux rien mais ça réveille vivement mon désir, déformant mon boxer. « Tu sais, je n’ai jamais… » Je rougis légèrement, mordillant ma lèvre inférieure, nerveux à l’idée d’aborder ce sujet-là avec lui. « Vraiment jamais… » Au fond, je n’ai pas besoin d’en dire plus, je pense qu’il a compris ce que j’essaie de lui dire le plus maladroitement du monde. Encore mal à l’aise, je laisse mes doigts errer sur ses hanches, rajoutant quelques paillettes sur sa peau, intrigué par la chaleur que dégage son corps au contact du mien. Sans interrompre mes caresses, je lève un instant les yeux vers lui, pour lui confirmer que malgré tout, je me sens prêt à essayer. « Alors je suis rassuré de voir que je te fais de l’effet… Parce que j’en ai très envie. » Un léger sourire s’étale sur mes lèvres, comme pour lui assurer que je suis sérieux et que je ne compte pas me défiler au dernier moment. Et comme pour lui prouver, je me rapproche encore, jusqu’à ce que mon souffle se mêle au sien, jusqu’à ce que mon regard se trouble. Alors, je ferme les yeux, la gorge nouée par l’appréhension. Je ferme les yeux et je penche légèrement mon visage, à l’aveugle en espérant toucher ses lèvres et non son nez. Je suis maladroit, je le sais et j’aimerais savoir quoi faire, ne pas agir bêtement, ne pas me ridiculiser dans un moment pareil. Mais lorsque mes lèvres effleurent enfin les siennes, les cherchant doucement jusqu’à les capturer peu à peu, je sens que je prends de l’assurance, que ça me paraît plus naturel. Pourtant, ça ne l’est pas, parce que je n’ai que très peu eu l’occasion d’embrasser réellement quelqu’un et autant dire que ça ne s’est pas toujours bien fini. Mais c’est une autre histoire. Parce que cette fois, j’ai une chance de faire les choses bien.
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Otto Hard
comme ma bite
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Sam 1 Juil - 21:18
Cela fonctionne... le petit jeu de Otto fonctionne. C'est délirant bien sûr, totalement absurde et très certainement dérangé et pourtant... pourtant sa petite sirène a bien l'air encline à remuer la queue pour lui. Il a beau avoir agit comme un taré, comme un cinglé, comme un putain de pervers il n'empêche qu'ils sont là à présent, l'un contre l'autre, l'un collé à l'autre alors que leurs corps se recouvrent peu à peu de paillettes au bon plaisir de leurs mains. Et les mains de Otto profite réellement de se plaisir, touchant son visage, redessinant les courbes de son corps... Il n'a aucune gêne, ne ressent aucune culpabilité dans ce qu'il fait. Non, il en a envie, c'est tout ce qu'il sait. Et ce qu'il voit c'est que Ariel... eh bien Ariel a de fortes chances d'être consentant. Alors franchement, de là, pourquoi se priver ? Ce sont tous des garçons bien assez grands pour prendre leurs propres décisions, ils n'ont de comptes à rendre à personne hormis Peter peut être mais que pourrait-il bien avoir à faire de qui couche avec qui ? Et surtout la majorité d'entre eux, à défaut d'être gays, sont au moins bi. Ce serait dommage tout de même de ne pas en profiter, non ? Alors forcément il l'allume parce que c'est marrant, il l'allume parce qu'il est beau et excitant et il l'allume car il aime bien Ariel, assez pour vouloir passer sous ses draps.
Mais cela devient particulièrement intéressant quand les rôles s'inversent, quand c'est au plus jeune, à la princesse des océans masculin de prendre la parole, de prendre la main. Et Otto réagit à ses mains, se cambre et se place en suivant leur tracer pour toujours se présenter d'une manière désirable et il le regarde rendre son corps aussi beau qu'une œuvre d'art. Mais il sourit surtout, rit aussi légèrement à ses premières paroles. Pourquoi il porte son sous vêtement ? « Car ça me fait bander. » il n'y va pas par quatre chemins Otto. Il n'y va pas non plus avec des pincettes quand il commence à se frotter l'entre jambes avec un plaisir certain, reprenant la parole « Car ça m'excitait de porter ton boxer. Fétichiste des sous vêtements. Les chaussettes me font avoir des orgasmes, les boxers des autres des fantasmes. Cela me fait un effet monstre de porter le sous vêtement du mec que j'ai en face, surtout quand ce dernier est aussi petit et serré que le tient. » Et il sourit et il est fier car il sait... il sait que cette simple explication devrait suffire normalement à lui faire monter plus de rouge encore à ses joues et à le faire se sentir serrer dans le nouveau boxer qu'il a enfilé. Et c'est encore plus délectable quand il apprend que, comme il se doutait, Ariel est encore pur, vierge, jamais touché par qui que ce soit avant. Il a envie de le faire venir, comme ça, avec des mots, avec des caresses, souiller ce bout de tissu qu'il n'aurait jamais dû remettre. Mais surtout il est satisfait quand il l'entend dire, cet air tout timide, que lui aussi il en a très envie, oubliant totalement que ce qu'ils faisaient là ne devait être rien d'autre qu'un jeu de paillette. Il se rapproche donc de son oreille, lui mord le lobe et se remet en face pour lui dire « J'en ai très envie aussi. » avant de reprendre sa position initiale.
Alors un baiser viens sceller leur contrat, un baiser donné par Ariel et dont Otto profite car même si son but est de coucher il aime la tendresse dans ses ébats. Il prolonge ce baiser un moment, parcours son corps, passe ses mains dans ses cheveux qu'il couvre de paillettes avant de se stopper, le sourire aux lèvres « Ne t'inquiète pas d'ailleurs, vis à vis de l'avoir jamais fait, je ferais ce qu'il faut. A commencer par te demander... »[/color] Il se rapproche alors, se penche vers lui avant de formuler ces mots « Dis moi ce qui te ferait envie. La première chose que tu as envie de tester. Qu'importe ce que c'est, qu'importe le rôle, qu'importe que ce soit bizarre ou classique. Tu n'as qu'à le dire et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te l'exaucer ma petite sirènes. » Et à cela Otto plonge sa main dans le boxer d'Ariel, se disant qu'à présent il n'a plus besoin de se retenir afin de passer ses doigts autours du membre du plus jeune que normalement personne d'autre avant lui n'a touché de la sorte.
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel] Lun 7 Aoû - 1:12
La Petite Sirène version 2.0
Otto & Ariel
« Car ça me fait bander. » Je ne m’attendais pas à une telle réponse. Pourtant, venant d’Otto, j’aurais dû le voir venir mais je ne sais pas, je dois être un peu naïf parce qu’il me surprend toujours et cette fois, je pourrais même dire que ça m’excite. Et pas seulement ses mots, mais aussi la façon dont il se frotte l’entrejambe… Le geste en lui-même est déjà très tentant, mais il sait le rendre encore plus érotique, sans que je ne sache vraiment comment il s’y prend. « Car ça m'excitait de porter ton boxer. Fétichiste des sous vêtements. Les chaussettes me font avoir des orgasmes, les boxers des autres des fantasmes. Cela me fait un effet monstre de porter le sous vêtement du mec que j'ai en face, surtout quand ce dernier est aussi petit et serré que le tient. » A la fois gêné et émoustillé par ses explications, je ne peux m’empêcher de rougir et de baisser un instant les yeux. Non pas parce que j’ai honte, mais parce que c’est la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation et je ne sais pas vraiment ce que je suis censé faire. Malgré le désir qui se fait de plus en plus pressant, gonflant dans mon boxer, jusqu’à ce que je me sente à l’étroit, je me sens tout de même perdu, démuni. Et alors que j’allais relever la tête, je sens Otto se rapprocher, se pencher vers mon oreille et avant même qu’il ne mordille mon lobe, rendant mon érection presque insupportable, je sens son souffle effleurer ma peau. Même cette sensation toute simple est à présent grisante. Et alors qu’il répond à mon baiser, caressant mon corps et mes cheveux, les recouvrant davantage de paillettes, je me détends doucement. L’excitation chasse un peu l’inquiétude, suffisamment pour que je puisse sourire à mon tour. A moins que ce ne soit son sourire qui soit contagieux. « Ne t'inquiète pas d'ailleurs, vis à vis de l'avoir jamais fait, je ferais ce qu'il faut. A commencer par te demander... » Doucement, il se rapproche un peu et mon regard ne quitte pas ses lèvres. Elles sont encore humides et tentantes, elles m’appellent, mais je me retiens de les embrasser, parce que j’ai besoin de savoir ce qu’il va me dire, je ne veux pas en perdre une miette. « Dis moi ce qui te ferait envie. La première chose que tu as envie de tester. Qu'importe ce que c'est, qu'importe le rôle, qu'importe que ce soit bizarre ou classique. Tu n'as qu'à le dire et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour te l'exaucer ma petite sirènes. » Et sur ces mots, il glisse sa main dans mon boxer, effleurant mon membre de son doigt. C’est plus fort que moi, je ne peux pas retenir le couinement qui franchit mes lèvres. Pour une fois, je suis presque heureux de ne pas l’avoir entendu. A coup sûr, cela n’aurait fait qu’augmenter ma gêne. Personne d’autre que moi n’avait touché mon érection auparavant et j’aimerais qu’il recommence. C’est plus excitant lorsque je ne suis pas aux commandes, lorsque je laisse une autre main me surprendre.
« Awh…. Je… Je ne sais pas… Je ne sais pas ce qui pourrait me plaire. » Je ne m’imagine pas vraiment faire quelque chose d’extravagant pour ma première fois. En réalité, parvenir à passer à l’acte sans paniquer serait sans doute un bon début. Parce que, je ne sais pas, naïvement je pensais sûrement que le mec avec qui je passerais ce cap aurait des sentiments pour moi et qu’il serait en quelque sorte mon petit ami. Mais je ne suis pas le genre de mec dont on tombe amoureux. Et au fond, je crois que c’est pour ça que j’ai peur de mes propres sentiments, j’ai peur de souffrir, de découvrir que mon beau-père avait raison. Du coup, c’est peut-être mieux de ne pas attendre ‘le bon’, parce qu’il ne viendra sûrement jamais. Après avoir esquissé un sourire gêné, je lui avoue la vérité, ce qui me rend si indécis. « En vrai, j’ai peur… Je ne sais pas à quoi m’attendre alors, je n’imagine rien de bien compliqué pour le moment… Je ne sais pas, je me sens trop perdu pour ça… » Je dois avouer que j’aimerais bien disparaître ou devenir invisible, mais j’ai déjà tellement peur qu’il parte et qu’il me laisse là, ne voulant pas s’encombrer d’un gamin puceau qui ne sait même pas ce qu’il fait. Alors j’attrape son poignet, qui n’a pas bougé d’un pouce, juste par réflexe et par crainte aussi. Comme pour le supplier de rester, de ne pas me laisser seul. Parce que j’ai subi trop de rejet et je ne sais pas si j’en supporterai un nouveau, là tout de suite, alors que je me sens si vulnérable face à lui. Lentement, ma main descend pour se poser sur la sienne, dans mon boxer. Rassemblant tout mon courage, je l’incite à continuer le mouvement, parce que ça me fait du bien, parce que j’aime cette nouvelle sensation donnée par une main qui n’est pas la mienne. « Continue à me toucher… C’est nouveau, mais j’aime ça… J’aime que ce soit toi qui choisisses ce qui va se passer et que je ne sache pas à l’avance. » Et comme pour l’encourager, j’ondule légèrement, afin de remuer mon bassin contre sa main. Puis, ne tenant plus, je capture à nouveau ses lèvres avec fougue. Parce que malgré la peur, je suis tellement excité que je pourrais sûrement jouir avant qu’il n’ait fait quoi que ce soit. Mais je prends sur moi pour me calmer au maximum. Enfin, pour contenir ce désir qui menace d’exploser sans prévenir. « Je veux que tu me montres, Otto… Montre-moi ce que ça fait… Je veux essayer mais je ne sais pas quoi faire… » Reprenant mon souffle, je mordille légèrement sa lèvre inférieure. Parce que ça fait longtemps que je rêve de faire ça et je n’ai qu’une envie, recommencer, mordiller un autre endroit de son anatomie, peu importe lequel.
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Sujet: Re: [18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel]
[18+] La Petite Sirène version 2.0 [Ariel]
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