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 hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen

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MessageSujet: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyVen 9 Déc - 18:34


Dragueuse moi ? Non.
Callen & Kelia


Tu es là depuis quelques semaines à tourner dans les rues de Savannah à la recherche de ton frère. Tu fais les quartiers un à un, découvrant la ville. Même si tu ne t’attardes pas sur le charme des lieux. De  toute façon tu n’es pas là pour ça. Mais chercher ton frère, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Les derniers traits dont tu te souviens de Justice, sont les traits d’un gosse de dix ans, terrorisé et mortifié devant le cadavre de son petit frère ensanglanté. Et là quatorze années ont passées. Il est devenu un homme et avec lui des traits différents. Des traits plus murs. Surement plus marqué par la vie aussi. Ce que tu gardes en mémoire c’est surtout son regard noir et la petite flamme qui s’y glissait quand vous jouez tous les trois ensembles. Au fond de toi c’est ce que tu cherches. Un regard noir qui aurait gardé une flamme d’enfance. Même si tu n’y crois pas trop. Même si tu as la sensation que c’est une chose impossible. Voir irréalisable. Aujourd’hui tu as décidé de changer de quartier. De voir de nouveaux lieux. D’agrandir le cercle de tes recherches. Mais ta voiture n’a pas l’air d’avoir envie de te faciliter la tâche. Il faut dire qu’elle n’a pas été ménagée ces dernières semaines. Le trajet New York Savannah a été long, pourtant tu as pris ton temps. Pour te ménager et puis pour toujours repousser cet instant ou tu devras affronter Justice. Et tu voulais aussi ménager ta voiture. Même si tu as fais faire une bonne révision avant de partir. Là sur le coup le moteur fait un drôle de bruit. Et l’aiguille du compteur de tour n’arrête pas de faire le yoyo. A croire qu’elle va finir par caler. Tu as repéré en arrivant dans le quartier de River Street un garage. Pas que ce soit le genre de chose que tu cherches, ou auquel tu fais attention. Mais il se trouve que tu y passes devant quand tu rends à ton hôtel à pied. Tu n’as pu t’empêcher de remarquer que le mécano qui y bossait, était plutôt sexy. Bon tu n’es pas spécialement dans cette ville pour t’amuser, mais tu ne vois pas pourquoi tu t’en priverais si l’occasion t’en est donnée. T’amuser est aussi un moyen de ne pas broyer du noir et d’oublier un peu tes soucis. Et ta chasse à l’homme. Enfin la chasse à ton frère. Ce qui pompe souvent toute ton énergie. Te laissant larguée et perdue. Le fait que rien n’aboutisse tu donnes envie de reprendre le chemin de New York. Même si tu rentres bredouille. Parfois tu as la sensation que ce serait la meilleure des solutions. Mais quelque chose te pousses à continuer. Quelque chose qui se trouve au fond de tes tripes. Et que tu ne peux contrôler, évincer ou ignorer. Quelque chose de plus fort que toi. Alors tu continues ta quête. Espérant croiser ce regard noir. Sauf qu’aujourd’hui va falloir que tu changes ton fusil d’épaule. Et que tu reviennes à ton point de départ pour faire contrôler ta voiture. La pousser risquerait fort de rendre la panne plus importante. Et tu n’as pas besoin de tracasserie supplémentaire.

Alors tu fais demi-tour. Difficilement. Le moteur déconne à bloc. Tu te demandes bien ce qui ne tourne pas rond. Tout était parfait hier. Enfin presque parfait. Tu arrives péniblement devant le garage. Tu te gares sur le trottoir. Et tu coupes le contact. Tu te regardes dans le rétroviseur histoire de voir si ton rouge à lèvre est toujours top. Pensant au mécano que tu as eu le loisir de croiser. Et puis tu sors pour te diriger vers l’intérieur de l’établissement. Il a l’air vide. « Bonjour !! Il y a quelqu’un ? » Tu avances cherchant une présence. A croire que le mécano sexy c’est envolé. « C’est la porte ouverte au vol de laisser tout comme ça ! » Tu n’as pas l’intention de dérober quoi que ce soit. Un ce n’est pas ton genre. Et deux tu ne vois pas ce que tu pourrais faire de ce qui se trouve dans cet endroit. Encore une bijouterie. Même si cela est improbable. Cela ne fait vraiment pas parti de ta façon de faire. Tu en défends assez des petits voleurs. Des gosses à qui on ne donne pas le choix. Des gosses que l’on pousse même. Cette idée te répugne. Mais elle fait partie des réalités de ta vie à New York. Comme bien d’autre. Et puis une silhouette masculine s’avance. Tu ne te gênes pas pour la détailler. La trouvant encore plus à ton gout que les fois ou le hasard te la faite croiser. « Salut ! J’ai un petit souci avec ma voiture. Vous pourriez y jeter un coup d’œil s’il vous plait ? » Ta voix est légèrement sensuelle. Voir même trop. Il faut dire qu’il est vraiment craquant même plein de cambouis, tu imagines presque ce qui se cache sous ses fringues. Tu en ferais bien ton quatre heure. Voir plus. Oui carrément tous tes repas. Gourmande non c'est juste une idée. 




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Dernière édition par Kelia Donovan le Dim 5 Fév - 9:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyMar 13 Déc - 21:36


j'suis pas ton prince charmant...
Callen & Kelia


Les mêmes images relevaient inlassablement dans ses rêves, du moins ce qui s’avérait réellement être un cauchemar. Son passé, la Russie, la peur, l’adrénaline qui avait coulé dans ses veines lorsqu’il était parti. Cette même adrénaline, ses sensations intenses comme celles ressenties dès lors que son corps et celui de sa petite amie de l’époque ne faisaient qu’un, qu’ils passaient des nuits endiablées, ne dormant que très voire trop peu, jusqu’à ce jour, où il l’avait surprise dans une position délicate avec un autre homme. Ce corps qu’il avait serré, aimé plus d’une fois était touché par un autre, un qui la faisait hurler de plaisir, et ça, cela avait été la goutte de trop, la goutte qui avait fait déborder le vase trop plein en raison de ce qui s’était passé avec son père ainsi que ses activités illicites. Celles là même qui lui avaient couté la vie, et qui ne cessait de hanter le garagiste. D’ailleurs, il n’avait pu que se réveiller en sueur, toujours cette même sensation, ses mêmes craintes qu’il ne pouvait partager avec personne, après tout il était en exil. Et quand bien même, il avait appris à se forger une carapace, était devenu un homme sans cœur, qui se complaisait dans le plaisir charnel, ce qui n’était pas plus mal en soi. Il aimait cela, pas d’attache, juste gouter aux délices du septième ciel n’importe où, n’importe quand et surtout jamais plus d’une fois avec la même partenaire, afin de ne pas laisser cette dernière s’imaginer quoique ce soit. Soufflant et regardant la place vide à ses cotés, il ne put que s’estimer heureux d’avoir accosté cette brunette dans ce bar, cette femme qu’il avait invitée à faire un petit tour dans un coin, qui avait été le témoin de scènes très peu catholiques, avant que les deux ne se séparent comme si de rien n’était. Ça, au moins, cela lui redonnait le sourire et chassait les nuages noirs menaçants. Se pressant de rejoindre la douche, il n’avait pu que se prélasser sous les jets d’eau avant de sortir quelques minutes plus tard et de se préparer afin de se rendre au garage. Il n’avait aucune obligation, mais cet endroit était devenu une sorte de refuge, en plus d’être le piège à femmes qui aimaient bien le mythe du costume et qui s’avéraient souvent plus qu’intéressées par le dépannage et du service après réparation avec l’outil particulier dont Callen était affublé. Là, c’était lui, vraiment lui, et cette simple idée le revigorait, au point d’entrer dans son garage avec le sourire, ayant totalement oublié ce qui l’avait fait se réveiller en sursaut. Le brun avait su se rendre dans son bureau et commencer à regarder les différents papiers qui s’étalaient sur son bureau. Saleté de paperasse ! il la détestait… et il avait fini par ressortir de sa pièce dans laquelle il était le fameux col blanc, pour partir s’occuper des voitures et occuper le poste qui l’avait fait entrer dans ce garage. Oui, là au moins il se sentait à l’aise, les mains dans le cambouis, le nez dans le moteur…  Une voix avait su l’interpeler, lui faisant clairement comprendre qu’une demoiselle en détresse venait de pénétrer sur son territoire, une gazelle pour un lion qui demeurait toujours affamé sur un certain plan, celui qui était souvent horizontal bien qu’il apprécie toutes sortes de positions. Arf. Le brun soupira, essayant d’éviter ce genre de pensées s’il souhaitait rester professionnel et ne pas tout foutre en l’air. S’avançant vers la voix qui était parvenue à ses oreilles, il n’avait pu qu’avoir un mouvement de recul dès lors que ses yeux s’étaient portés sur les traits de son visage, des traits familiers qui avaient le don de lui faire monter la rage en ses veines dans un temps record. Croisant les bras sur son torse, le russe s’avança vers elle, la regardant de bas en haut sans prendre le soin de se cacher alors qu’il s’attardait sur ses formes, des atouts qui semblaient lui être familiers. « Avec la voiture, simplement ça ? Parce qu’à coté de cela, mes souvenirs me rappellent que tu avais un bonhomme entre tes cuisses, et qu’à ce moment là, tu n’avais pas de souci, et encore moins que je jette un coup d’œil ou autre chose… » . les mâchoires crispées, il n’avait pu qu’arriver à sa hauteur, attiré par sa voix, son corps, tout ce que la brune dégageait. « qu’est ce que tu fous là Catalina ? tu veux voir si tu me fais encore bander et si j’ai envie de te prendre contre un mur ou dans mon bureau ? » . les mots étaient crus, c’était du Callen Andriev, et il n’avait pu que se pencher vers elle, afin de s’imprégner de son odeur. Est-ce que quelque chose ne clochait pas dans ce tableau ? surement si, mais Callen était bien trop focalisé sur la ressemblance avec cette femme de son passé, celle qui avait été sa première fois, celle qui l’avait anéanti en trahissant sa confiance…
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyLun 19 Déc - 23:12


Dragueuse moi ? Non.
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Tu rentres dans le garage. Tu regardes dans tous les coins à la recherche de quelqu’un qui pourrait t’aider. Ta voix résonne entre les murs une première fois. Mais elle ne reçoit aucune réponse en écho. A croire que le lieu est désert. Ce qui ne t’arrange pas vraiment. Car tu as besoin de ta voiture. Alors de nouveau ta voix s’élève. Et tu aperçois enfin une silhouette masculine. Plutôt beau gosse le mécano. Tu ne te gênes pas pour te régaler du spectacle qui s’offre à toi. Tu laisses ton regard glisser lentement sur ses formes. Pourquoi se priver surtout quand les courbes sont si sexys et attirantes. Tu lui demandes gentiment de l’aide. Alors qu’il te regarde à son tour avec intensité.  Une drôle de sensation s’empare de toi. C’est comme si quelque chose ne tournait pas rond. Comme si quelque chose clochait. Mais tu ne saisis pas quoi. Il te détaille à son tour. Tu penses que c’est de bonne guerre, après tout tu fais bien la même chose. Pourtant un truc ne colle pas derrière son regard qui s’attarde sur tes traits. C’est presque insolent. Des hommes t’ont déjà regardé, mais là c’est comme s’il te déshabillait. Tu te dis que tu t’imagines les choses. Ou alors ton regard a été trop aguichant. Mais l’attitude qui prend renforce le malaise qui s’installe. Tu as du vraiment le déranger. Tu ignores dans quelle activité mais vu sa posture elle devait vraiment être très intéressante. Surement plus intéressante que de venir à ton secours. Tu souris pensant en ton fort intérieur qu’il était peut être occupé par une belle créature. Et que tu l’avais coupé dans ses élans. Mais ses mots viennent rendre l’instant plus dérangeant. Tu ne comprends pas ses propos. Tout d’abord il te tutoie comme si tu avais le plaisir de le connaitre. Et vu ses dires cela serait même intimement. Tu le regardes interloquée. Tu as surement le visage qui se décompose ou qui pâlit sur le coup. Trop surprise pour lui répondre au départ. Tu restes aussi muette qu’une carpe. Tu te sens idiote. C’est une blague. Une caméra cachée. Il se fout de ta tronche. Tu vois son visage se crisper et il s’approche de toi, toujours avec ce regard intense. Déstabilisant même. Tu recules. « Euh ! Je ne comprends pas .. c’est une blague c’est ça … un pari débile entre ami ? » Ta voix marque l’étonnement. Tu restes sur tes gardes. Durant quelques secondes le mécano perd tout son charme. Et puis il balance un prénom enrobé de mots encore plus indécents que les premiers qu’il a prononcé. « Pardon ? » Cette fois ta voix est outré. Comment ose-t-il te dire des choses pareilles ? Même si tes pensées en le voyant n’étaient pas très catholiques, il n’a pas le droit de te parler ainsi. Il a bu ou il a fumé la moquette ou bien il est complètement cinglé. Tu n’en as rien à foutre, mais il n’a pas à te manquer de respect de la sorte. Et tu deviens plus rageuse. L’envie d’en faire ton quatre heure quitte tes veines à vitesse grand V. « On n’a pas élevé les cochons ensemble que je sache. Vous jouez à quoi là ? Je suis venue pour ma voiture et pas pour me faire baiser contre un mur ou dans votre bureau. » Tu plantes ton regard dans le sien. Si sur le moment tu as eu peur, là tu reprends du poil de la bête. Il ne va pas s’en tirer comme ça le mécano sexy. S’il est mal luné, il va se faire voir. Et tu vas trouver un autre mécanicien. Pas question de le laisser faire. « Ce n’est vraiment pas drôle monsieur. Et je n’apprécie pas ce genre d’humour. Désolé de vous avoir dérangé. Et sachez que l’on ne me prend pas contre un mur comme une vulgaire catin. Sur ce je vais vous laisser. Je pense que vous avez besoin de reprendre vos esprits .. ou une bonne douche glacée pour calmer votre agressivité et votre impolitesse. » Et tu tournes les talons. Lui offrant ton dos en spectacle. Tu prends la direction de la sortie. Et puis tu te retournes car au final tu ne sais pas où il y aurait un autre garage. Et tu n’as pas envie de perdre de temps dans cette recherche surtout que tu n’es pas certaine que ta voiture t’emmène bien loin. « Au fait je peux trouver un mécano sérieux et pas obsédé où ? » Ta voix est froide et tranchante. Il t’a mise de mauvaise humeur. Et tu n’es pas prêt d’oublier ses propos. Tu ne te demandes même pas pourquoi il t'a appelé Catalina. Surement le nom d'une fille qu'il doit baiser à tour de bras. Enfin tu t'en moques. Tu veux juste te barrer loin de ce fou.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 5 Jan - 18:23


j'suis pas ton prince charmant...
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Travailler avait toujours été la meilleure des solutions, surtout pour oublier toute la noirceur qui l’entourait et qui faisait ce qu’il était à présent. Non, il n’était pas un prince charmant, il était tout le contraire en se contentant d’enchainer les femmes comme des mouchoirs lors d’un rhume. Imagine loin d’être romantique, il fallait bien le reconnaitre, mais c’était la description parfaite pour représenter sa vision des relations qui ne se résumaient qu’à une seule fois, le risque de s’attacher étant bien trop important pour qu’il ne tente la mauvaise expérience et se faire harceler par la première venue qui n’aurait pas compris le sens du mot one shot . Certes, il y avait une exception la secrétaire, oui celle qui n’avait pas froid aux yeux et que le russe trouvait à son gout sur tous les plans, ce qui rendait le travail plus excitant. Il n’avait pas à se plaindre, ayant trouvé un réconfort dans ce garage, s’étant construit voire même reconstruit ainsi que donné une certaine stabilité, ce qui n’était pas forcément gagné d’avance. Néanmoins, l’avantage à présent demeurait dans cette possibilité d’être aussi bien dans les bureaux que le nez dans les moteurs, même si ce second aspect était d’autant plus intéressant à ses yeux. D’ailleurs, c’était en mécanicien et non en patron qu’il s’était dirigé vers la voix qui avait résonné dans son garage, une voix qui ne pouvait que réveiller la bête en lui, celle-là même qui jouait, celle qui avait un appétit insatiable après les déconvenues des temps passés. Le regard de Callen ne mentait pas en arrivant, avec le petit sourire en coin des plus charmeurs, bien décidé à ne pas subir une nouvelle fois un refus, et si les formes de la belle l’encourageaient dans cette voie, les traits de son visage avait eu l’effet d’une douche glacée, lui se croyant être en face de celle qui l’avait trahi en lui laissant une image des plus détestables, ce souvenir de cette petite amie s’adonnant à la luxure avec un autre. Les mots qui étaient sortis de sa bouche exprimaient clairement son amertume, son dégout, ce qui avait l’air de surprendre la jeune femme, un détail que le russe ne prit nullement en compte. Il s’avançait vers elle, lui crachant ce venin à la figure, alors qu’elle ne faisait que reculer. « C’est ça, fais mine de ne pas comprendre, l’innocence te va si bien... La blague, c’est surtout toi ici… » , répliqua-t-il, le menton toujours très haut. Il se refusait bien de baisser les yeux, non, c’était terminé. Le brun avait changé et ne comptait nullement retomber dans ses travers. Non, Catalina avait vu un homme qui n’existait plus, et il le faisait bien comprendre à celle qui était présente devant lui. Serrant les machoires, ses yeux ne quittaient pas ce visage alors que le ton de la voix de la brune se métamorphosait, passant de la surprise à quelque chose de plus sûr, plus vif, qui avait du répondant. Le russe souriait, fier avec ses yeux azurs plongés dans ceux de celle qui lui faisait face et qui n’était pas prête à rendre les armes. Croisant les bras sur son torse, il passa brièvement sa langue sur ses lèvres, ultime tentation avant de prononcer le ton sec « à quoi je joue ? fous toi de moi en plus… et où cette fameuse voiture ? Parce que pour le moment je ne vois que toi, toi et encore toi. Ah parce que tu préfères que je te ramène chez moi, parce qu’ici n’est pas assez bien pour ton joli petit cul » . Callen avait regardé son garage plus fier que jamais de ce qu’il avait, la seule chose qu’il possédait réellement en plus de son arrogance, ce franc parler qui avait quelque peu agacé la demoiselle qui n’hésitait nullement à répliquer avec ses propres armes. Les coups s’enchainaient, et le russe ne bronchait pas, assimilant chacune des informations envoyées, même si cela ne l’avait pas empêché d’éclater de rire. Elle se croyait si forte, mais elle n’était rien, rien face à ce qu’il était. « Monsieur ? Tu en as tellement baisé pour oublier mon prénom. Dis le, dis Callen pour savoir si tu es toujours capable de cette même sensualité qui nous a permis de passer des soirées parfaites, où nos corps ne faisaient qu’un, que ce soit avec douceur ou avec plus de brutalité. Dis le, murmure le et on verra ce qui se passe. On te prend comment alors ? si ce n’est pas contre un mur, c’est comment ? Sur un lit où des pétales de roses s’étalent. » . il s’était avancé vers elle, réduisant la distance qui les séparait. « Mes esprits ? Je les ai parfaitement, quant à la douche glacée, tu pourrais constater par toi-même que je n’en ai pas besoin, pas physiquement parlant. Et cesse de monter sur tes grands chevaux et de me prendre de haut, je te rappelle qu’on vient du même endroit, donc pas la peine de jouer les grandes dames choquées, ça te va si mal Cat » . continuer sur cette voie et la provoquer le réjouissait au plus haut point, mieux que s’il la prenait là, ici maintenant, même s’il avait envie de pousser encore plus loin et lui rendre la monnaie de sa pièce. Mais visiblement, Callen n’en aurait pas l’occasion, la brune préférant tourner le dos et s’en aller, lui laissant toutefois une vue implacable sur les atouts en sa possession, ce qui avait eu le don de le faire siffler alors qu’un certain désir commençait à s’immiscer doucement et surement dans ses veines. Bordel, ce n’était pas le moment ni la bonne personne avec laquelle il comptait prendre son pied. Le fait qu’elle se retourne et s’arrête provoqua un léger sourire sur les lèvres du russe, se doutant bel et bien qu’elle ne partirait pas. toutefois, il ne s’attendait nullement à ses paroles. Faisant claquer sa langue, il avait haussé un sourcil « tu te foutras de ma gueule jusqu’au bout ? le mécano c’est moi, et venant de celle qui se fait sauter par le premier venu quand son mec a le dos tourné, tu es très mal placée pour parler. mais vas-y, n’hésite pas à me balancer mes quatre vérités, parce que tu ne m’atteindras pas. » . il s’avança, d’un pas lent, prenant son temps et faisant durer l’attente. S’arrêtant juste devant elle, il soupira « où se trouve ton carrosse ? pour que tu puisses repartir et quitter ma vie définitivement ? » . parce qu’il n’attendait que cela au final, qu’elle disparaisse et ne réveille pas le passé….
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyMer 11 Jan - 18:15


Dragueuse moi ? Non.
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Tu ne t’attendais pas en rentrant dans ce garage à te retrouver face à un ours mal léché. Voir même pire. Il est vrai qu’il est sexy  le mécano, mais tu trouves qu’il pousse le jeu un peu loin. Même trop loin. Alors que c’est la première fois que tu le vois. A croire qu’il a pété un câble ou bien qu’il a trop fumé la moquette. Tu es déstabilisée au départ, difficile de ne pas l’être vu le ton et les mots qu’il emploie. Mais tu te ressaisies rapidement pour lui faire face et surtout lui faire comprendre que tu n’es pas celle qu’il croit. Mais cela à l’air de lui passer au dessus de la tête. Il continue comme si de rien était. Comme s’il n’avait pas entendu ce que tu venais de lui dire. Comme s’il n’en avait rien à foutre. Complètement bloqué dans son délire de psychopathe ou de mec en manque. Tu ne sais pas trop quoi penser au final. Pourtant dans ton boulot, même s’il touche plus les enfants. Tu en as vu des lourdingues mais lui il dépasse le lot d’une bonne hauteur. Il est même au dessus du panier. Un fou hystérique échappé d’un asile. Il devait même avoir une camisole de force vu son délire. « Si vous le dites, je ne vais pas vous contrariez car cela risquerez fort de nuire à votre santé mentale. » Tu essaies de rester calme. Alors que lui reste fier. Aucunement gêné par ce qu’il  te balance à la figure. Cela pourrait donner à rire dans d’autre circonstances mais vu son regard tu penses qu’il est plus que sérieux. Après reste à comprendre le pourquoi du comment. A comprendre ce qui pousse un étranger à te traiter de la sorte alors que tu es juste rentrée dans son garage pour un problème de voiture. Tu le regardes sourire, une bonne paire de gifle, c’est tout ce que tu as envie de lui mettre en pleine figure. Car le jeu commence vraiment  à devenir un peu trop cru à ton gout. Presque personnel. Presque intime. Tu frissonnes sans trop savoir pourquoi. Surement légèrement perdue par toute cette animosité.  De plus le mécano campe sur ses positions. L’ignorer serait la meilleure des solutions mais tu n’es pas ce genre de femme. Tu n’as pas l’habitude de t’écraser face à un mec et encore moins face à un mec qui divague et t’insulte. « Ma voiture est juste garée devant. Logique que vous ne la voyez pas. Putain mais vous êtes vraiment qu’un pauvre obsédé. » Tu as presque envie de lui cracher au visage. Toi qui le trouvais sexy et bien tu regrettes d’un coup toutes tes pensées. C’est le genre de mec qui aurait pu t’avoir d’un claquement de doigt. Dans son bureau comme chez lui mais là l’envie est passée. Et vu comme il enchaine elle n’est pas prête de revenir. Non elle meurt d’avantage à chacune de ses remarques acides. « Si vous êtes aussi con avec tous vos clients vous ne devez pas en avoir des tonnes. » Mais rien ne le fait plier. Tu as la sensation de te battre contre un mur inébranlable. Mais tu ne comptes pas céder non plus. Cela le rendrait encore plus fier. Alors que tout ce que tu as envie c’est de le faire taire et lui faire mordre la poussière. S’il continue à te brusquer tu vas finir par sortir les crocs et les griffes. Et il risque fort de se retrouver sur le cul. Ou bien de vouloir filer la queue entre les jambes. Mais pour le moment tu restes polie et courtoise. Tu continues même à le vouvoyer alors que lui utilises le tutoiement depuis le départ.  Et le voilà qui renchérit. Il continue à divaguer. A se faire plus intime dans ses dires. Tu comprends de moins en moins ou il veut en venir. Quel message il reste à faire passer. Callen c’est qui ? C’est lui ? Tu n’as pas l’intention de lui demander. Parce que tu n’as pas l’intention de prononcer ce prénom de n’importe quelle manière que ce soit. Et en quelques secondes il est tout prêt de toi. Tu peux même sentir son souffle venir caresser ta peau. Cela te révulse même. Tu te mords la lèvre pour ne pas lui répondre. Pour ne pas lui envoyer une phrase du genre que cela te trouerait le cul que vous veniez du même endroit. Et puis il y a encore ce prénom de femme qui glisse entre ses lèvres. « Vous êtes vraiment taré. » Et tu lui tournes le dos, bien décidée à sortir de cet endroit et surtout à ne plus entendre les palabres de ce mec. Si c’est sa manière de faire du rentre dedans à une femme, elle est loin de marcher sur toi. Elle fonctionne peut être sur les filles faciles de Savannah. Mais toi cela te laisse froide. Glaciale même. Pourtant la colère est là juste à fleur de peau. La colère et les mots horribles que tu as envie de lui cracher en pleine gueule. Tu te demandes comment ils ne sont pas encore sortis de tes jolies lèvres. Peut être parce qu’il n’en vaut même pas la peine. Lui c’est juste de la merde qu’il devrait prendre dans la figure.  Tu te diriges vers la sortie, mais tu te retournes parce que tu as besoin d’une chose faire réparer ta voiture. Alors tu lui demandes, même si cela  t’arraches les lèvres.  Tu soupires en entendant sa réponse. Il est vraiment borné et buté. « Vos quatre vérités. Allez-vous faire soigner. Foutez-moi la paix. Vous n’êtes que connard et un obsédé. Et surement un mec mal baisé. Cela vous va. » Et tu le toises du regard alors qu’il s’avance lentement vers toi. Fuir mais fuir où ? Ta voiture ne démarrera pas. Et puis tu te retrouves bloquée sur place sans trop comprendre pourquoi. Comme paralysée, mais pas de peur. Par curiosité peut être. Tu as envie de savoir ce qui le pousse à te traiter de la sorte. Envie de voir jusqu’où il va pousser la plaisanterie, qui n’en est plus une pour toi maintenant. Et il stoppe face à toi. Ton regard ne le lâche pas, il est plein d’arrogance et de provocation. « Ma voiture est là juste devant votre taudis. Et je n’ai pas besoin de sortir de votre vie car je n’y suis jamais rentrée. Faut que je te le dise en quelle langue pour que tu comprennes ? Vous êtes vraiment atteint.  L’asile c’est le seul endroit où vous devriez être. Callen c’est ça. » Et à ton tour tu le provoques. Prononçant même son prénom avec sensualité alors que les autres phrases étaient pleines de colère. Mais là il t’a sérieusement chauffé. Et au final tu as envie de lui faire payer son arrogance et son impolitesse. Tu as envie de jouer à ton tour et de le mettre à mal puisque c’est ce que tu as toujours sur faire vu ses dires. Alors pourquoi ne pas en abuser et enfoncer le couteau encore une fois dans la plaie. Cela pourrait être amusant. Voir très amusant. « Tu es certain au moins de savoir réparer une voiture. Parce que vu comme tu es doué pour parler aux femmes j’ai de sérieux doutes là. » Et tu lui souris tout en lui faisant un clin d’œil. Après tout vu qu’il pense que tu te fous de sa gueule autant aller au bout des choses. Et titiller d’avantage son honneur mal placé de mâle viril. Ou pas.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyDim 15 Jan - 21:36


j'suis pas ton prince charmant...
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Entre ses pulsions et son caractère de merde, Callen ne pouvait que réagir vivement en voyant cette femme arriver dans son garage et se montrer relativement timide, ce qui le mettait clairement hors de lui, comme son vocabulaire pouvait le témoigner. Néanmoins, il en avait plus que marre, marre qu’elle se foute ouvertement de sa gueule en jouant les prudes, alors qu’il savait pertinemment qui elle était, à savoir la femme qui l’avait trompé sans vergogne et qui avait décuplé davantage sa manière d’agir, qui, soit dit en passant, laissait quelque peu à désirer. Mas il s’en foutait royalement, comme de sa première couche culotte, et le fait que cette brune se montre détachée, limite hautaine à lui demander de se calmer avait tendance à engendrer tout le contraire et le faire monter encore plus en pression. Les yeux lançant limite des éclairs, le russe fit mine de rire, alors qu’il bouillait littéralement « ma santé mentale va beaucoup mieux depuis qu’on ne partage plus les mêmes draps » . Il s’en amusait, même si intérieurement, ce n’était pas du tout ça. il en avait tout bonnement marre qu’elle fasse comme si de rien n’était, comme si elle ne le connaissait pas. Merde, elle ne manquait pas de toupet, surtout en débarquant comme ça, come une fleur dans son garage, avec soit disant une voiture en panne. Normalement, c’était l’homme qui faisait le coup de la panne, pour séduire une femme, voire même plus. Mais là, ce n’était tellement pas crédible son coup de la pauvre cliente que ça en était pathétique. Il croyait dur comme fer se retrouver face à celle qui lui avait enfoncé davantage la tête sous l’eau, et le brun ne pouvait que cracher son venin, alors qu’il recevait des insultes à la figure, des mots qui ne l’atteignaient nullement, ne faisant que renforcer sa rage à son égard. « Ah ben tiens, réponse facile, tu crois toujours avoir le dernier mot en me faisant passer pour le dernier des cons ? C’est ça, si j’étais l’obsédé que tu prétends, je ne me serais pas arrêté à ces simples paroles, mais en te donnant un peu plus de détails » . Il rêvait de lui balancer des envies, des fantasmes qu’il assouvissait avec toute femme qui passait entre ses bras et ses draps. Mais tenait-il réellement à se sentir envahi de désir subitement alors que la brune ne méritait plus une seconde qu’il ne se mette dans de tels états pour elle, et lorsqu’il pensait à cela, il pensait bien évidemment à son entrejambe qui ne devait en aucun cas se retrouver plus qu’à l’étroit dans son boxer. Et vu les répliques cinglantes, il n’y avait aucun risque pour le moment, même si les femmes de caractère avaient toujours eu sa préférence, enfin à condition qu’elles n’aient pas les traits de Catalina. Levant les yeux au ciel, le russe n’avait pu qu’éclater de rire. « il se porte à merveille… mon garage bien évidemment » . pour une fois, aucune grossièreté n’avait franchi la barrière de ses lèvres, à sa plus grande surprise, mais c’était peut-être mieux pour le coup. Au moins, il ne se laissait pas abattre, se rapprochant indéniablement de la demoiselle, même si celle-ci continuait à le traiter de taré. Oui il l’avait été de s’emmouracher d’une telle garce qui avait montré son visage en se tapant le premier venu. Alors quand sa fameuse cliente lui avait tourné le dos avant de faire volte-face et de lui dire ses pseudos quatre vérités, Callen avait croisé les bras sur son torse, le menton toujours très haut, « mal baisé ? non surement pas, ma libido se porte à merveille et je peux te dire que j’en fais jouir quelques unes, et pas qu’une seule fois » . puis la distance qui les séparait était devenue plus que minime, lui permettant de la jauger davantage. Seulement, elle était en train de lui donner une leçon, à entrer dans le jeu en prononçant son prénom d’un ton qui avait le don de lui faire dresser les poils sur les bras. Bordel, mais qu’est ce qu’elle foutait, d’abord à lui parler comme un chien et à limite le chauffer ? se pinçant les lèvres, il la dévisagea sans broncher, sans laisser transparaitre la moindre émotion. « mon taudis est toujours mieux d’où tu viens, et ça t’écorcherait sincèrement la bouche de le reconnaitre, et je reste poli afin de ne pas froisser madame la prude. Et arrête de jouer, tu n’as pas conscience de celui que je suis devenu » . non, il n’était plus le petit garçon qui avait peur de son père, celui qui revivait inlassablement les mêmes cauchemars. Sa carapace s’était endurcie, et rien ni personne ne viendrait la lui fissurer, et surtout pas elle, surtout qu’elle s’en prenait à présent à son travail et ses capacités à exercer correctement le métier qui l’avait poussé à posséder ce garage. Callen n’était pas né de la dernière pluie et comprenait aisément ce qu’elle voulait, l’atteindre et le mettre à terre. Sauf qu’on ne mettait pas un Andriev à terre aussi facilement, non pour cela il fallait une arme. La regardant à nouveau de haut en bas, il serra les mâchoires brièvement avant de répliquer « je ne serais pas en haut de l’échelle si je ne savais pas. pourquoi ? ton fantasme est de me voir les mains pleines de cambouis, ou alors torse nu le nez dans ton moteur ? ». la détournant, le russe s’était placé derrière elle, son torse venant se coller à son dos. Elle tenait à jouer, soit. Il s’était penché légèrement, de manière à lui murmurer à l’oreille « tu crois réellement que me parler comme à un chien va me faire bondir ? Tu te plantes… par contre, si je ne sais pas leur parler, je sais très bien les baiser » . Déplaçant une mèche de cheveux afin d’avoir accès à son cou, le brun n’avait pu que sourire légèrement et souffler sur la partie de son corps qui était à sa merci. « tu aurais envie que je fasse plus que cela, que mes mains glissent sur ton corps, lentement pour que ta respiration se fasse plus saccadée que jamais, que je descende plus bas, toujours plus bas en te faisant languir. Que je m’empare d’un de tes seins dans une main alors que ma seconde se faufilerait jusque dans ton sous-vêtement pour te titiller, pour te faire mouiller. Oui, tu aimerais ça, tu me supplierais de continuer et si tu étais assez sage, ce serait ma bouche qui viendrait les remplacer, d’abord sur tes seins parfaits puis… » . Bordel, le fait de lui dire ce qu’il pourrait lui faire l’emplissait de désir, de la prendre dans son bureau, de la faire hurler de plaisir malgré tout le passé. se reculant légèrement, il éclata de rire « pour la suite, il aurait fallu que tu viennes me sucer la queue, et encore, ça, tu aurais été capable de te louper » . à son tour de piquer là où cela faisait mal, et ça, ça lui faisait du bien, à limite lui faire prendre son pied d’enfoncer celle qui avait eu le malheur de le tromper…
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 26 Jan - 11:31


Dragueuse moi ? Non.
Callen & Kelia


Tu restes calme face à la réaction du mécanicien. Face à ses mots et  à ses provocations douteuses. A croire qu’il a pété un câble ou perdu l’esprit. Un fou en cavale qui aurait trouvé asile ici. Et que tu viendrais tout simplement déranger. Un tas d’idée te passe par la tête pour comprendre ce qui le fait réagir ainsi. Pourtant tu ne l’as pas provoqué. Ni par ta tenue. Ni par tes mots. Ni par tes regards. Non tu l’as juste un peu reluqué quand tu l’as vu. Il est quand même très sexy malgré sa grande gueule et le fait qu’il aboie sans raison valable. D’ailleurs l’idée de le museler te passe par l’esprit. Privé de parole tu pourrais t’en occuper à ta manière. Cela te fait sourire. Tu ne vois pas où tu as fauté pour mériter pareil traitement. Pour une fois que tu restes sage et que tu ne fais pas du rendre dedans. C’est toi qui te fais incendier. Comme si vous aviez déjà croisé le fer ou partager une joute des plus torride. Voir pire. Quel homme bien élevé parlerait de la sorte à une femme qu’il ne connait pas ? Et en plus une pauvre innocente qui vient pour solliciter son aide suite à un problème mécanique. Tu te demandes comment ta main n’est pas encore partie rejoindre sa joue. Tu te demandes comment tu ne lui as pas cracher au visage. Peut être parce qu’au fond son délire t’amuse. Tu veux voir jusqu’où il va pousser son jeu. Va-t-il oser te faire ce que ses mots laissent entendre ?  Va-t-il oser te toucher ? Ou bien ce n’est que du chiquer ? Peut être une preuve d’impuissance. Qui sait avec les hommes ils usent de tellement de stratagème pour obtenir un peu d’attention. Il a juste besoin que l’on s’intéresse à lui. En tout cas tu ne comptes pas te laisser faire et tu lui dis clairement ta façon de penser. Tu le provoques légèrement même. Entre tes regards et tes piques aussi acides que les siennes. Ce qui emballe parfois ton cœur d’une drôle de manière. Après tout pourquoi il n’y aurait que lui qui prendrait plaisir à ce drôle de jeu. Un jeu qui pourrait être plaisant si tu connaissais les règles. Car tu ne maitrises toujours pas tout du pourquoi de sa colère. Tu te doutes qu’il en veut à une femme. Cat d’après ce que tu comprends. Et vu ce qu’il te dit cela devait être assez sauvage entre eux. Avant de prendre fin salement. Mais pourquoi te balancer tout cela à la figure. Comme s’il faisait une fixette. Comme s’il la voyait elle à travers toi. Cette idée te parait tellement irréelle. Tellement conne même. Ou alors elle l’a tellement laminé que maintenant toutes les femmes prennent pour elle. Drôle de façon de régler le problème. Mais même si le jeu est amusant. Presque excitant par les chemins qu’il prend, tu as autre chose à faire. Notamment t’occuper de ta voiture. Du coup tu décides de t’en aller, sans oublier de l’asticoter histoire de finir de faire prendre la mayonnaise. Il a l’air assez chaud et tu es certaine qu’il ne lui faudrait pas grand-chose pour qu’il perde pied. Le jeu pourrait alors se retourner contre lui. Cette idée te ravit. Tu l’imagines bien avec sa pauvre virilité prête à exploser, laissé en plan après qu’elle est pensée fini entre tes cuisses. Ah les hommes ils ont tous le cerveau au même endroit. Et il te le confirme en parlant de toutes celles qu’il a faite jouir insistant sur le plusieurs fois. Tu te mords la lèvre en retenant les mots "gros vantard". Et encore une fois tu rebondis sur sa dernière phrase au lieu de partir. Ce qui serait surement plus sage. « Et je crois que tu n’as pas conscience de qui je suis vraiment … Callen. » Tu laisses à nouveau glisser son prénom entre tes lèvres. Savoureusement. Généreusement.  Il veut la guerre il va l’avoir même si à la base tu n’es pas l’enjeu de la bataille. Même si c’est Cat qu’il veut. Cat ou une autre. Tu vas lui montrer comme toi aussi tu peux le démonter. Et la distance ce réduit d’avantage. Et en quelques secondes il se retrouve derrière toi. Son torse collé à ton dos. Tu sens son souffle contre ton oreille. Et ses mots viennent te percuter encore. Laissant un frisson se former le long de ta colonne vertébrale. Quel salopard. Il joue avec tes cheveux accédant à ton cou. Le traitre. Tu essaies de rester calme. Tu fermes les yeux pour contrôler ta respiration. Tu as envie de le tuer et pourtant à cet instant il te fait saliver. Il te donnerait même envie de mettre toutes ses idées en pratique. Tu imagines ses doigts, sa bouche contre ta chair. Mais tu es sure que l’effet inverse se produit également. Tu es sure qu’il se sent à l’étroit dans son putain de pantalon. Puis il recule et éclate de rire. Avant de finir en beauté par rapport à ton expérience. Comme si tu avais déjà eu le privilège de lui faire une pipe. Tu attends quelques secondes qui paraissent éternelles. Et puis tu te retournes et plantes ton regard dans le sien. Un regard provocant et terriblement envoutant. Ta main vient choper son entre jambe dans un mouvement rapide. Tu ne serres pas. Puis tu te colles à lui. Ta voix se fait sensuelle. « Tu as beaucoup de gueule Callen. Et je pourrais porter plainte pour harcèlement avec tout ce que tu viens de me balancer à la figure. Je crois que tu fais erreur sur la personne. Mais tu as l’air d’aimer ça te planter en beauté. On a rien partagé tous les deux. On n’a pas baisé. Pas sur que tu puisses me satisfaire de toute façon. Les mecs qui ont une grande gueule on en principe une petite queue. » Ta main se fait plus ferme sur son entre jambe. Tes lèvres frôlent son cou. C’est à ton tour de jouer. « Dommage parce que tu es sexy et j’aurais pu avoir envie de jouer. J’aurais pu laisser ma langue trainer sur ton corps. Ta queue aurait pu gouter à ma chatte humide. Mais je suis venue ici pour ma voiture. Pas pour une partie de jambe en l’air. Et puis je ne suis pas certaine que tu en vailles la peine. » Tu laisses ton regard glisser le long de son torse avant de stopper net sur son entre jambe. « Sauf si tu as les couilles de me montrer la marchandise histoire de juger si je peux t’autoriser à profiter de mon corps. » Tu te mets à rire. Tu ignores comment il va réagir de toute façon tu peux toujours te mettre à gueuler si les choses tournent mal. Ou bien lui planter un coup de genou direct dans sa virilité de quoi le faire gouter au plaisir d’une autre manière. Mais tu ne peux t’empêcher de la provoquer d’avantage. Il faut dire que tout ça t’a un peu, voir beaucoup excité. Même si l’envie de le frapper et aussi forte que celle de te faire posséder. En tout cas peu importe la suite cela t’amuse de le rendre plus dingue. Qui sait au final il pourrait être un bon coup.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 26 Jan - 15:30


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Se retrouver face au pire fantôme de son passé avait fait monter la moutarde au nez de Callen et pas que. Il commençait sérieusement en avoir assez des remarques piquantes de cette femme dont les traits étaient les mêmes que ceux de son ancienne petite amie, et ce détail ne le faisait nullement douter qu’il s’agissait de celle qui avait couché avec un autre. A vrai dire pourquoi aurait-il pu douter un seul instant qu’il ne s’agissait nullement d’elle, elle qui était capable du meilleur comme du pire et même dans le pire, elle excellait. Si la fameuse cliente en question semblait avoir crié au loup ou monté sur ses grands chevaux aux premiers abords, il était évident qu’à présent, elle semblait vouloir se jouer de lui en essayant de l’exciter, un des péchés capitaux dans lequel le russe se complaisait. A vrai dire, il ne jurait que par ça, le contact physique de deux corps, de cette joute qui se livrait laissant les deux amants fatigués mais avec ce même besoin limite animal. Oui, il aimait cela, sentir sa partenaire lâcher prise, la sentir s’agripper à lui, l’entendre crier son nom après un orgasme digne de ce nom. C’était le délice à l’état pur, celui dont il ne pouvait pas se passer, et le fait que la brune commence à avoir des gestes qui le faisaient généralement monté en pression, virilement parlant bien évidemment. Le garagiste serra les dents, fixant son regard sur la jeune femme, plus froid que jamais, surtout à la prononciation de son prénom. « T’es devenue la reine d’Angleterre ? » , ironisa-t-il, en se disant qu’elle ne l’avait pas volé pour le coup. Pourtant, s’il menait la danse, il avait l’impression qu’elle se rebellait et dévoilait ses armes progressivement, des armes avec des atouts qui ne pouvaient que lui faire monter la salive à la bouche. Seulement, il ne comptait pas rendre les armes, non, il reprenait le contrôle en venant se positionner derrière elle, à se coller à son dos, lui donnant un certain avantage sur elle. et même il s’était amusé à souffler dans son cou, à lui faire part de ce qu’il pourrait lui faire, lui donner envie pour la faire céder ou du moins qu’elle l’implore de lui donner ce qu’il énonçait. Et à ce moment précis, il prendrait un malin plaisir à lui dire d’aller se faire voir, à moins qu’il ne cède. De sa position, Callen sentit parfaitement que cela la travaillait, il ne suffisait que de constater sa respiration qui se faisait plus rapide, au point que ses lèvres s’étiraient en un sourire de satisfaction, avant qu’il ne recule et ne se mette à rire en parlant de gâteries. Néanmoins, s’il croyait gagner la partie, c’était sans compter sur la demoiselle qui s’était retournée, avec un regard qui lui faisait monter la pression et une main qui s’était emparée de son entrejambe à sa plus grande stupeur. Bordel, mais qu’est ce qu’elle foutait à faire ça ? Elle voulait vérifier si elle le faisait bander ou quoi ? à ce rythme là, oui elle risquait de le constater, surtout qu’elle était venue se coller à lui, un détail qui le fit déglutir, alors qu’il plaquait sa main dans son dos, malgré ses menaces d’aller porter plainte contre lui. il s’en foutait littéralement, ce n’était pas un tour en prison qui lui faisait peur, surtout qu’il avait déjà vécu un enfer bien plus intense que ce dont elle le menaçait. Il ne pouvait que serrer les mâchoires alors que sa main s’était voulue plus ferme sur ses précieux bijoux de famille et que les lèvres de la brune frôlaient la peau de son cou. Non, qu’elle arrête sinon elle allait vraiment le sentir. Se reprenant et descendant sa main sur ses fesses en la collant bien à lui, il était revenu lui murmurer à l’oreille « tu as beaucoup de gueule également, parce que tu n’as aucune preuve, mes paroles peuvent avoir été dites sous l’agacement ou l’excitation… » . Il se mordilla la lèvre, avant de poursuivre « réellement, on n’a pas baisé ? Je dois avoir la mémoire qui déraille alors. Les principes sont parfois faux, il faudrait que tu le saches » . Et voilà qu’elle avait renchéri, le faisant fermer les yeux brièvement. Il devait se contrôler, sinon il risquait de lui montrer qu’elle atteignait le but qu’elle s’était fixé. Le brun la laissa finir, même lorsqu’elle le provoqua de manière ultime. La dévisageant, Callen contrôla sa respiration, et rétorqua, provocateur « tu as déjà envie de jouer, sinon tu ne m’aurais pas pris dans tes mains. Tu aimerais vraiment la tenir, et je suis persuadé que tu es déjà humide, mouillée et tu n’attends que moi, à moins que tu ne sois adepte des plaisirs solitaires, ce qui m’étonnerait fortement. Qui me dit que tu en vaux la peine et que je prendrais mon pied avec toi, dans n’importe quelle position possible. ». il aurait pu lui donner plu de détails, mais il préféra s’emparer de sa main, et l’emmena à l’écart dans son bureau en prenant le soin de baisser les stores qui auraient pu dévoiler la scène actuelle à d’éventuels voyeurs. Le russe s’était avancé vers elle, la soulevant du sol pour venir la faire s’asseoir sur son bureau. Non, il ne comptait pas la prendre, là, maintenant. Déboutonnant son pantalon, il avait fini par faire descendre son boxer lentement sans la quitter des yeux. il savait parfaitement que sa virilité se dressait fièrement, et il se foutait totalement de ce qu’elle allait pouvoir dire ou faire. « alors, madame est contente ou faut-il plus ? » . il fit un pas, alors que sa main se saisit de son membre. « tu aimerais que ce soit ta main, n’est ce pas ? tu aimerais ça, me sentir réellement plutôt que de regarder ? tu aimerais que je m’enfonce en toi… et tu peux serrer tes cuisses comme tu veux, je sais que ça te travaille et que tu le veux » . de sa main libre, il remontait sur la cuisse de la brune de manière lente. Autant dire que là, il ne pourrait plus rien cacher, mais il espérait grandement qu’elle allait craquer, il le sentait…
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 2 Fév - 9:17


Dragueuse moi ? Non.
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La tension monte. Le jeu devient plus brulant. Tu ne sais pas exactement comment il finira. Ni quand il s’arrêtera. Mais tu y prends un réel plaisir au final. Et tu n’es pas la seule. Callen se délecte aussi. Cela se voit dans son regard, même s’il veut laisser penser le contraire. Ta vision lui retourne la tête. Tu n’as pas compris au départ et puis peu à peu le voile se lève. Il croit qu’il a la main mise sur toi. Enfin sur celle qu’il croit que tu es. Mais c’est pure illusion. Et tu rentres dans sa danse. Tu pourrais lui sortir ton passeport. Lui prouver que tu n’es pas celle qu’il pense. Mais tu laisses le doute planer. Se glisser entre vous comme une caresse. Tu sèmes juste des indices pour le perturber. Le déstabiliser. Peut être pour en abuser plus facilement. Peut être pour le perdre. Peut être pour te perdre. Peu importe en tout cas c’est grisant. Les mots crus. Les mots durs. Cela ne te fait pas peur. Tu en entends si souvent dans ton milieu professionnel. Et les images qu’il détaille par rapport à ce qu’il pourrait te faire. Par rapport à ce qu’il voudrait te faire. Sont juste un appel de la chair. Une envie qui grandit en lui depuis que tu lui tiens tête. Et tu rends coup pour coup. Ripostant sans aucune gêne à ses provocations. Un peu ivre des frissons qu’il distille et contre lesquels tu n’as pas envie de lutter. Il te provoque d’avantage en ce collant derrière ton dos. En se faisant plus intime dans ses mots. Et son souffle au creux de ta peau comme une caresse offerte. Un début de promesse. Une entrevue de la suite. Érotique et torride. Cela te remue les tripes. Et chauffe tes reins. Et en retour tu viens le cueillir dans un geste qui se veut déroutant. Tu lui fais face. Tu l’affrontes. Corps contre corps. Regard contre regard. Et la main de Callen vient se plaquer dans ton dos. Rendant le contact plus envoutant. Tu essaies de maitriser tes émotions.  Et tu joues. Charmeuse. Aguicheuse. Tu t’approches de la flamme, prête à te bruler les ailes. Tu resserres l’étreinte de tes doigts. Formant un étau autour de sa virilité presque aux abois. Tu sens le désir l’enflammer. Mais tu sens aussi sa main descendre sur tes fesses. Tu te mords la lèvre machinalement. Et son corps finit contre le tien. Tu te demandes qui fera craquer l’autre en premier. Qui laissera la pulsion animale prendre le dessus. « En effet je n’ai pas de preuve. Mais les preuves ça se fabriquent et j’ai de l’expérience dans ce domaine. » Tu le nargues d’avantage. Cherchant le point de non retour. « Et oui tu as la mémoire qui déraille. Je ne suis pas du genre à oublier les mecs que j’ai eu dans mon lit. » Et le jeu continue. Toujours sur le fil du rasoir. Augmentant aux grès de vos mots, de vos gestes. C’est à la fois sensuel et indécent. Et encore une fois il riposte. Cherchant à te déstabiliser également. Cherchant à savoir ce qu’il provoque en toi. Difficile de rester de marbre quand les mots se font plus directs. Plus charnel. « J’ai toujours envie de jouer quand un mâle vaut le coup. Et avoue que cela te plairait de vérifier si je suis humide. Aucun de mes amants ne sait plein de mes performances pour le moment. » Mais tu n’as pas l’intention de t’arrêter là et tu lui balances que tu voudrais juger la marchandise. Sa réaction ne se fait pas attendre. Il t’entraine par la main dans son bureau et baisse les stores. Callen t’attrape par la taille et en un rien de temps tu te retrouves assise sur son bureau. Ton regard se plante dans le sien. Tu  te demandes ce qu’il va faire. Tu obtiens rapidement ta réponse à ta question. Il se défroque devant toi sans te quitter des yeux. Te laissant seul juge de sa virilité plutôt bien réveillée. Ton regard alterne entre son visage et son entre jambe. « Je vois que je te fais de l’effet. C’est plutôt flatteur. Et pas mal pour un mécano. » Il s’avance et prend son sexe dans sa main. Il se caresse. Tout en venant encore te provoquer avec ses mots. « Tu aimerais que ce soit ma main. Comme tu aimerais t’enfoncer en moi. N’inverse pas les rôles. Moi je n’ai rien demandé .. je venais juste pour faire réparer ma voiture. » Ta voix se fait charmeuse. Tu l’allumes tout en te jouant de lui. Après tout tu es rentrée dans son garage au départ pour un problème mécanique. C’est lui qui a cherché l’embrouille, tu n’as fais que répondre à ses attaques. Et puis tu sens sa main sur ta cuisse. Tu sursautes surprise par ce geste légèrement intime. Une brulure vive se distille jusqu’au bas de tes reins. Jusqu’au creux de tes entrailles. « Tu crois que je suis incapable de te résister. C’est ça. Tu peux vérifier si tu veux, mes cuisses sont loin d’être serrées. » Tu les écartes même d’avantage. Juste pour lui prouver que tu n’as pas peur de ce qu’il pourrait découvrir s’il s’aventurait plus haut. « C’est quoi qui t’effraie Callen ? Moi ? Ou le fait que tu ais envie de moi ? » Ton regard plonge à nouveau dans le sien. Un regard incendiaire. Tu attrapes sa main et la fait doucement glisser le long de ta cuisse. Stoppant juste contre ton aine. Tu approches ton visage du sien. Tes lèvres frôlent ses lèvres. « Avoue que tu crèves d’envie d’y gouter. Avoue que tu crèves d’envie de me prendre. » De ton autre main tu effleures sa virilité. Juste pour le titiller. Pour le rendre plus affamé. « Alors Callen tu vas faire quoi maintenant ? Et je m’appelle Kelia je ne connais pas de Cat. » Tu laisses ton souffle mourir contre sa peau. Tu frissonnes.  Brulante de désir. Impatiente. Offerte.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 2 Fév - 13:26


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Le franc parler, les mots crus, voilà ce qui caractérisait tout simplement Callen, qui faisait une nouvelle fois honneur à sa réputation avec cette cliente qui lui semblait plus que familière. Il n’avait pas pu s’empêcher de jouer, de venir la provoquer que ce soit par ses gestes ou ses paroles. A vrai dire, il n’arrêtait pas de se dire qu’il avait les cartes en main, qu’il dominait la partie, en raison du comportement de la jeune femme qui ne semblait qu’aboyer sans mordre. La brunette s’apparentait grandement au genre de princesse, magnifique mais qui n’était pas en mesure de rétorquer à la hauteur de ses espérances. Du moins, cela avait été son premier ressenti, un ressenti qui s’était montré erroné dès lors qu’elle était entrée dans la danse en se montrant relativement féroce, au point qu’il avait bien du mal à voir le jeu placé entre ses mains féminines. Seulement, il était clair qu’il en fallait bien plus pour qu’il ne capitule, un mot que le russe ne connaissait nullement, même lorsque leurs corps s’étaient rapprochés, que le garagiste la collait à lui afin de montrer qu’il ne la craignait nullement, le désir s’emparant de lui, de manière de plus en plus concrète. La vision de cette brune qui se mordait la lèvre avait le don de le faire sourire, la dévisageant davantage. « Certaines preuves ne peuvent pas être créées » . Il parlait bien évidemment sur un point de vue physique. Et sa petite pique provoqua chez lui un léger rictus. « Ah parce que tu ne te contentes que du lit ? Quelle tristesse quand même » , ironisa-t-il, en songeant à tous ces endroits qui pouvaient être le lieu adéquat pour des ébats fusionnels, où la sensualité et la bestialité pouvaient s’unir afin de les mener dans un monde où le plaisir était le point culminant. Oui, et visiblement à se chercher autant, à se provoquer inlassablement, il était évident qu’ils risquaient de se brûler, mais peu importait. Le russe avait connu des batailles plus rudes, et ce n’était pas sa virilité ou cette petite ingénue qui allait le changer, non. Elle se montrait féroce, faisant naitre dans son regard une lueur lubrique dès lors que les mots plus crus étaient revenus au galop, surtout de cette bouche à laquelle il avait de plus en plus envie de gouter. « Et visiblement, tu t’éclates énormément avec le potentiel jouet que tu pourrais avoir entre tes mains voire même plus, ou ailleurs. Je n’ai pas forcément besoin de vérifier, ton comportement me dit que je ne me trompe pas. Et en plus, madame se vante, généralement il faut vérifier pour confirmer les dires » . À lui également de jouer, avant que Callen ne finisse par l’attirer à l’écart dans son bureau pour lui montrer la fameuse marchandise en sa possession. Le brun l’avait soulevée du sol pour la déposer sur le mobilier pour mener à bien ses projets, à savoir descendre son pantalon et son boxer afin de libérer sa virilité, visible alors pour celle dont le regard alternait entre son visage et ce qui se dressait fièrement. Il ne pouvait qu’être satisfait de cette réaction, la provoquant un peu plus. « Et encore… » . Il laissa sa phrase en suspend, préférant s’amuser d’elle, aussi bien de par son acte et ses paroles. Il déglutit légèrement, sans pour autant baisser sa garde ou son regard « et tu aimerais que je le fasse, cesse de faire ta prude en faisant croire que je suis le seul qui est excité entre nous deux. Ta respiration est saccadée, je le constate, et tu peux faire tes numéros de charme, il est évident que tu es quand même contente que ta bagnole soit tombée en panne » . Car même si elle ressemblait étrangement à celle qui avait provoqué sa chute, la demoiselle n’en demeurait pas moins désirable, et le fait qu’elle continue sur sa lancée avait le don d’accroitre un désir déjà plus que présent. Il soupira alors qu’il posa une main sur elle, et qu’elle écartait les cuisses doucement, rien que pour lui prouver qu’il avait tort. Sauf que si elle songeait au fait que cela l’arrêterait, c’était se tromper. « Invitation ultime? » , murmura-t-il suavement, alors qu’il remontait ses doigts toujours plus haut et était prêt à venir titiller son intimité, pour prouver qu’il avait raison. Seulement, elle s’était emparée de sa main et l’avait arrêtée juste contre son aine. Bordel, ça en devenait limite indécent, du genre peu tolérable ou complètement dur à gérer de son coté. « Rien ne m’effraie, je peux te l’assurer » , assura-t-il, alors que la distance entre eux deux se réduisait, et qu’elle était venue effleurer ses lèvres. Il en avait assez de jouer, avait juste envie de fermer la bouche à cette femme et s’appliquer à la faire gémir et crier de plaisir sur ce bureau. « avoue que tu as envie que je te baise, ici et maintenant » , rétorqua-t-il, alors qu’il poussa un léger râle en sentant les doigts de la brune frôler sa virilité. Certes, elle l’avait déjà tenue, mais là il avait envie qu’elle s’en empare, qu’elle fasse des mouvements précis et qu’elle constate de quoi il était capable. Venant lui mordiller la lèvre, il avait soufflé « Kelia, encore mieux… » . Callen laissa glisser ses doigts sur elle, reprenant le chemin interdit, ou du moins celui qui l’intéressait grandement, glissant sous son sous-vêtement pour la caresser habilement, doucement, subtilement. Ses lèvres s’étirèrent vers le haut, alors qu’il vint lui mordiller le lobe de l’oreille. « je constate juste que j’avais raison, Kelia » , glissa-t-il avant de replonger son regard dans le sien, et de s’efforcer à la titiller un peu plus de par un doigt d’abord. « tu as envie de moi, dis le, murmure le moi » , murmura-t-il suavement, sa voix empreinte de désir, alors qu’il se délectait de sa vue, et qu’il s’empara de ses lèvres avec passion, limite sauvage…
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyDim 5 Fév - 10:35


Dragueuse moi ? Non.
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« Qui te dis que je me contente que du lit ? J’ai dis cela pour généraliser. Ne t’en fais pas il n’y a aucune tristesse dans ma vie sexuelle .. au contraire elle est plutôt incendiaire. Peut être même plus que la tienne. » Tu viens doucement lui souffler ces mots contre son visage. Le provoquant d’avantage de ton regard. Lui laissant imaginer les lieux où ton corps avait pu se perdre dans une joute charnelle. Penser à tout cela ne fait qu’augmenter le désir qui te taraude de plus en plus. Le fait de lui résister. Rend au final l’envie plus cuisante. Plus dévorante. Tu aimes ce jeu. Il prend une saveur des plus particulières. Peut être parce que tu sens au fond de son regard qu’il pourrait frôler le danger. Que lui céder pourrait signer ta perte. Mais tu n’es pas à ça prêt. De toute façon tu adores quand la complication se glisse entre ton corps et celui d’un homme. Tu n’aimes pas ce qui est facile. Gagner d’avance. La saveur en est souvent des plus fades. Alors que là, la difficulté donne à cet échange une saveur torride et terriblement grisante. Presque euphorisante. Mais tu gardes les pieds sur terre même si l’envie de couler effleure ta chair avec plus de force à chacune de ses phrases toujours plus provocantes. Il te donne envie de sentir ses mains sur ta peau. Il te donne envie de sentir ses lèvres emprisonner les tiennes. Cela rend les battements de ton cœur plus vif, plus rapide. Comme ton souffle. « Disons que le jouet et dés plus intéressant. Reste à savoir jusqu’où il est capable d’aller. Ou jusqu’où j’ai envie de jouer. » L’échange se fait plus intense. Plus intime. Insolent. Et en un rien de temps tu te retrouves dans son bureau. A l’abri des regards. Et le jeu s’accélère. Tu finis assise sur son bureau et lui le sexe à l’air pour te provoquer d’avantage. Tu apprécies le spectacle. Ce qui renforce ton désir d’aller plus loin. Beaucoup plus loin. Les mots de Callen ont fait leur effet sur ton corps. Et le feu qui brule au creux de tes reins a envie de s’enflammer d’avantage. « Et encore quoi beau gosse .. » Tu sens ton sang bouillir dans tout ton corps. Ta poitrine se soulève provocante et impatiente. Tu te laisses glisser, happer par ce que la vue de sa virilité éveille. Même si Callen avait déjà bien mis à mal ton désir par ses mots indécents et salaces. Et il continue et tu suis. « Peut être .. je suis peut être une bonne comédienne .. ou je simule … toi par contre difficile d’ignorer ton envie vu l’état de ta queue. » Et tu le provoques d’avantage, voulant le faire douter sur ton état d’excitation. Tu l’invites même à vérifier ses dires. Sans aucune gêne. Tu cherches à la troubler, à lui faire perdre pied. Tu as envie de l’affamer pour le rendre plus gourmand. « J’aime les hommes qui n’ont peur de rien. C’est très excitant je trouve. » Ta voix se fait plus chaude. Vos corps se rapprochent. Et la chaleur entre tes cuisses se fait plus intense. Tu as envie qu’il se fasse plus conquérant.  « Avoue que tu as envie de sentir mes doigts glisser contre ta queue. » Tu continues à retourner le jeu contre lui. Tu ne veux pas céder tout de suite. Tu veux le pousser à bout et rendre son désir plus vorace. Tout en accentuant le tien. Ton souffle se mêle au sien. Tu passes ta langue sur ta lèvre inférieure. Tu veux l’affamer mais tu as aussi faim que lui. « Contente qu’il te plaise Callen .. » Son prénom vient encore une fois rouler contre tes lèvres avec sensualité. Sa main se fait plus curieuse. Tu gémis lorsque ses doigts passent la frontière du tissu de ton sous vêtement. Tu te cambres pour gouter d’avantage à la caresse. Tu fermes même les yeux appréciant son toucher délicat et délicieux. « Et le constat te ravi à ce que je vois. » Tu laisses trainer tes lèvres sur son cou. Laissant ta langue incendier sa chair. Tu le mords lorsque ses doigts viennent titiller avec plus d'insolence ta féminité. Mais il reste doux. Ta main prend alors possession de sa virilité. Et tu commences à la caresser. Laissant la chaleur de tes doigts enivrer sa chair tendue et terriblement réceptive.  Son regard se perd dans le tien. La flamme du désir habite vos yeux. Tu te laisses couler avec délice dans cet abime. Tu souris à sa demande. Tu vas pour répondre mais ses lèvres s’emparent des tiennes. Avec passion. Et tu réponds à son baiser avec la même fougue. Ta langue vient s’enchainer à la sienne. Ton autre main se glisse dans sa nuque. Ton corps se colle d’avantage contre le sien. Ta poitrine contre son torse durcit sous l’excitation qui augmente. Ses doigts continuent de titiller avec habilité ta féminité soumise qui s’offre à chaque caresse avec plus d’envie. Ta main s’active avec dextérité sur sa virilité. Oui tu as envie de lui. Tu as envie qu’il te prenne là sur son bureau avec toute sa fougue. Avec toute son impatiente. Le baiser prend fin vous laissant à bout de souffle. « Tu as envie de moi dis le .. murmure le moi. » Encore une fois tu retournes le jeu contre lui ne voulant pas céder la première. De toute façon le constat est des plus évident vous avez envie l’un de l’autre. Une envie animale. Bestiale. Une envie qui ne demande qu'à être satisfaite et comblée. Tu entoures sa taille de tes jambes. Le rapprochant dangereusement de toi. Et surtout de ta féminité brulante encore voilée dans son écrin de tissu.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 9 Fév - 15:31


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« La mienne se porte à merveille également, et je serai curieux de voir ce que tu ajoutes au lit, laisse moi deviner ? Le canapé, ce qui wahoo s’apparente à un total changement » . Callen ne pouvait que la provoquer, venir à lui faire avouer ce qu’elle avait pu connaitre comme pour renforcer leur phase de séduction qui était quand même plus qu’avancée à en croire leur façon de faire, la distance plus que réduite entre leurs visages respectifs. Il avait vu assez de lieux également pour imaginer ce qu’elle avait pu faire et surtout où, parce qu’elle n’avait pas froid aux yeux, cela se voyait clairement de par son attitude, ses mots. D’ailleurs, le russe se sentait de plus en plus intéressé, sentant clairement le désir battre de plus en plus fort dans ses veines. Les choses n’étaient pas simples, et les deux partis en présence s’amusaient, se délectaient de ce sentiment grisant, puissant et tout simplement excitant. Et honnêtement, il avait envie de se perdre en elle, de sentir ses ongles s’enfoncer dans sa chair, mais pas tout de suite, le jeu en valait la chandelle, les minutes rendraient l’apothéose encore plus mémorable, il en était persuadé. Haussant un sourcil quant à la mention du jouet, il s’était raclé la gorge, avant de rétorquer « tu es plus qu’envieuse, gourmande et la luxure coule dans tes veines, tout comme cette envie de tester le fameux jouet en question. Et le jouet peut aller loin, très loin, avec plus ou moins d’intensité », lui murmura-t-il, le ton suave, tenant à faire travailler l’imagination de la demoiselle, en tenant des propos à double sens. Puis, il avait fallu que l’intimité soit choisie, et de ce fait, le garagiste avait entrainé Kelia dans son bureau afin qu’ils soient plus à leur aise et surtout nullement dérangés par une visite impromptue. Surtout que si elle songeait réellement qu’il n’était capable de rien, elle se trompait et pas qu’un peu, parce qu’il avait sorti le grand jeu, enfin façon de parler. La brune pouvait voir de ses propres yeux l’effet qu’elle lui procurait, et il n’avait pas besoin d’aller vérifier dans sa zone intime pour savoir qu’elle était dans le même état que lui. « Rien… » . Certes, la réponse était trop simple, et il s’attendait à ce qu’elle ne revienne à la charge, mais il s’en fichait royalement, préférant se concentrer sur les atouts de la demoiselle, sur cette poitrine qui témoignait d’une impatience folle. Bordel, elle était plus que désirable, il avait envie de stopper le jeu et de passer aux choses sérieuses. « Tu ne simules nullement, arrête de vouloir me faire croire le contraire. Et alors ? Elle te fait quoi ma queue ? Elle t’a fait mouiller ta petite culotte ? » . il avait glissé ses mots subtilement, même si l’envie d’aller constater par lui-même devenait de plus en plus forte, ce besoin bestial de la prendre maintenant, d’arrêter la conversation qui n’avait pour but que d’attiser ce feu. Kelia était bonne, très bonne, excellait dans ce petit jeu au point que Callen avait passé sa langue sur ses lèvres, témoignage du fait qu’il était affamé, compétiteur. «  Et j’aime les femmes qui n’ont peur de rien » . Oui, c’était d’autant plus excitant que les femmes qui se donnaient facilement, trop facilement. Le défi attisait le désir, et avec cette femme, il ne pouvait que remarquer à quelle hauteur avait été placée la barre. Ce qui s’était confirmé par ses propos relativement crus, et qui étaient vrais. Bien évidemment qu’il les voulait ses doigts glisser sur sa virilité, gémir à ce contact grâce à Kelia, un prénom qui ne ressemblait nullement à celui de son ex, bien que leurs visages aient les mêmes traits. Et si elle avait roulé son prénom de manière sensuelle, le brun n’avait pu que se montrer gourmand en laissant glisser ses doigts sous son sous-vêtement, ce qui avait eu le don de la faire cambrer à son plus grand plaisir. Oui, il était ravi, et encore le mot était faible. « Oh que oui, tu ne peux pas savoir à quel point. Et toi, tu apprécies à ce que je vois » . Les lèvres de la demoiselle dans son cou eut le don de provoquer un grognement de sa part, surtout lorsqu’elle l’avait mordu alors qu’il s’amusait à la titiller gentiment, doucement. Il ne tenait pas non plus à la faire venir trop vite et lui faire perdre la tête rapidement. Leurs regards s’étaient perdus l’un dans l’autre, le sourire s’était étalé sur leurs lèvres, avant qu’elles ne se retrouvent en un baiser passionné, leurs langues s’adonnant à une danse effrénée, se caressant avec délectation, témoignage de leur impatience. Mais c’était sans compter sur la main de la brune qui s’adonnait à des mouvements plus accélérés sur son membre en érection, alors qu’il avait inséré un doigt en elle pour des mouvements plus lascifs. « bordeeeeeeel … » , glissa-t-il en un souffle, alors que le baiser avait pris fin. Leurs corps étaient collés l’un à l’autre, les jambes de la demoiselle entourant sa taille. Il ne lui restait qu’une chose à faire, il le savait, mais le besoin de jouer de la demoiselle lui donnait envie de prolonger son supplice, surtout qu’elle était plus que prête à l’accueillir en elle. Retirant son doigt, Callen avait déchiré ce morceau de tissu qui l’entravait dans sa démarche. « Oups » , glissa-t-il, les yeux teintés de désir. Simple formule de politesse, parce qu’il n’était en rien désolé d son geste. Approchant son bassin du sien, sa virilité vint frôler son intimité, et il savait qu’il lui fallait juste un mouvement pour ne faire qu’un avec elle, pour assouvir leur pulsion. S’enfonçant légèrement en elle, le russe était venu lui mordiller la lèvre, avant de se retirer, se reculer et de s’asseoir dans son fauteuil, l’œil plus brillant que jamais. « Pas un peu frustrée ? Viens là, viens me chevaucher, si tu l’oses » . Les mots crus étaient de rigueur, et il était venu caresser sa cuisse subtilement. Invitation ultime, parce qu’il comptait bien qu’elle ne cède, surtout qu’il comptait bien faire parler sa fougue après…
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyMar 14 Fév - 10:09


Dragueuse moi ? Non.
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« Le canapé !! Oui mais il n’y a pas lui que lui. Je suis sure que cela te ferait saliver  d’avantage si je te parlais des autres. Mais je vais te les laisser imaginer histoire de t’exciter encore plus ou bien … de te frustrer. » Le jeu devient de plus en plus brulant. Et tu aimes tout ce qu’il déclenche en toi. Callen au fond te fascine parce qu’il attise ta peur comme ton désir. Parce qu’il te donne envie de lui résister comme de lui céder. Un dilemme délicieux qui ne fait qu’éveiller d’avantage ton corps. Surtout quand le sien est si prêt. Tu voudrais avoir la force de l’envoyer bouler pour le frustrer d’avantage. Mais tu ressentirais autant que lui cette frustration. Tu voudrais lui céder là tout de suite. Mais faire durer le plaisir augmente l’envie. Alors tu continues de jouer comme il continue de le faire. Ce qui rend le feu plus incendiaire et le moment plus sensuel. Tu as envie de le sentir en toi, de sentir tes lèvres marquer sa chair. Et ses mots ne font qu’accentuer la faim qui te dévore. « Envieuse et gourmande ! Hum .. et toi tu te sens comment ? Quand à la luxure elle coule autant dans tes veines que ce qu’elle coule dans les miennes. J’adore avoir des jouets qui repoussent les limites. Cela rend le jeu beaucoup plus intense. » Tu lui réponds sur le même ton. Laissant ton regard rendre tes mots plus insolents. Pour le pousser d’avantage et cela marche, puisque rapidement vous vous retrouver dans son bureau. Et le jeu prend une tournure beaucoup plus charnelle. Beaucoup intime. Mais encore une fois vous prenez votre temps. Vous laissez les mots vous enivrer. Rendant vos corps plus réceptifs à la suite qui se fait prometteuse. La flamme qui s’intensifie dans vos regards ne fait qu’accroitre votre envie. Tes mains ont envie de gouter à sa virilité qui se fait imposante devant ton regard affamé. Tu as envie qu’il te touche. Envie que ses doigts fassent frissonner ta chair. Envie que ses lèvres s’enlacent aux tiennes. Tu as envie de céder là assise sur son bureau. Mais pas tout de suite. Pas encore. Alors tu continues à le provoquer. A le rendre fou. Et en retour lui aussi te provoque. C’est délicieux et grisant. Terriblement excitant. « Ta queue elle me donne peut être des idées obscènes. Et pour le reste tu n’as qu’à venir vérifier. » Tu voudrais qu’il te prenne là tout de suite. Qu’il oublie le jeu pour apaiser le feu qui coule dans tes veines avec plus de force. Tu pourrais tout simplement lui demander de te faire sienne, mais tu ne comptes pas céder la première. Pas question de lui faire croire que tu es faible à cet instant et que l’envie te dévore bien plus que tu ne laisses paraitre. Même si ton regard te trahit. Comme ton corps car il répond avec impertinence à chacune de ses attaques. De toute manière vu son état tu te doutes que lui aussi ne désire qu’une chose. Se perdre en toi. L’envie est là à caresser vos chairs avec violence et indécence. Mais chacun à sa façon retarde l’issue fatale pour attiser d’avantage la gourmandise et la faim de l'autre. Sa main se glisse enfin au creux de ta féminité ce qui te rend plus offerte. Et tu te laisses emporter par la chaleur que ces caresses te procurent. Ton corps s’enflamme sous ses doigts. Alors toi aussi tu viens titiller sa chair. La rendant plus affamée.  Usant d’abord de tes lèvres avant d’user du pouvoir de ta main. « J’apprécie surtout ce que je touche. » Tes vas et viens sur sa virilité se font plus intenses. Vos bouches se perdent dans un baiser sulfureux. Vos langues s’apprivoisent et s’abandonnent. Vos souffles accélèrent comme les battements de vos cœurs. L’envie vous terrasse. Vous emporte. Tu veux le sentir en toi. Et tu te cambres. Tu le sens au bord de l’abandon et tu aimes cette sensation. Tu veux qu’il cède le premier. Qu’il craque. Tu le colles contre toi. Le dernier obstacle est vite balayé. « C’était ma préférée. Quel dommage. » Tu mords son cou avec douceur comme pour te venger. Tes mains se posent sur ses fesses pour l’attirer d’avantage. Tu gémis quand il se glisse en toi d’un coup de bassin. Il te mordille les lèvres. Et puis il se joue de toi encore une fois en se retirant. Il t’a fait gouter à sa chaleur et voilà qu’il t’en prive pour te provoquer d’avantage. Mais tu es joueuse aussi. Il s’installe dans son fauteuil, l’œil brillant de malice. T'offrant un spectacle des plus torride. « Frustrer moi non et toi ? Te chevaucher ? » Tu descends doucement du bureau et tu plantes ton regard dans le sien. Tu défais ton chemisier et tu le quittes sensuellement. Pour te retrouver en soutien gorge, tu lui laisses le loisir d’admirer la vue. De le faire baver. Et puis tu t’avances vers lui. Mais tu restes debout passant juste une jambe de chaque côté de ses cuisses. Tu lui enlèves son haut et laisse tes ongles marquer sa peau. Ta féminité vient frôler sa virilité avec insolence et tu l’affames d’avantage. Tes doigts s’amusent sur son torse glissant jusqu’à sa taille, effleurant son soldat au garde à vous. Tu le frustres car toi aussi tu es joueuse. Tes lèvres s’attardent sur sa peau, sur sa bouche. Avec douceur et sensualité. Tu lui murmures contre son oreille. « Dis-moi que tu as envie de moi. » Parfois ta féminité s’attarde d’avantage sur sa virilité lui laissant penser que tu vas craquer. Ce qui augmente ton désir. Et puis tu te ravises voulant voir combien de temps il va tenir avant de te dévorer toute crue. Mais cette idée te plait alors tu continues à la provoquer. Ce qui rend ton désir de plus en plus impatient. Qui des deux craquera le premier et fera de l'autre sa proie ? En tout cas tu résistes même si cela devient difficile.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 9 Mar - 13:21


j'suis pas ton prince charmant...
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Le besoin constant qu’avait la brune à enfoncer le clou où cela faisait mal ou du moins sur un détail qui ne faisait qu’attiser le désir ardent qui brulait dans les veines de Callen. « Me faire saliver ? Tu crois sincèrement que je me contente de la tradition ? Ne t’en fais nullement, que ce soit pour l’excitation ou la frustration, parce que je pourrais aussi t’évoquer quelques lieux qui te mettraient l’eau à la bouche et bien plus, je pense » . Elle le faisait languir, s’amusant clairement de l’atmosphère électrique et sexuelle qui régnait entre eux. La colère et la haine ressentis dès lors que le regard du mécanicien s’était posé sur cette femme dont les traits ressemblaient étrangement à ceux de sa petite amie, celle là même qui l’avait trahi en s’envoyant en l’air avec un autre homme, avaient disparu. Non autre chose de tout aussi intense avait vu le jour, et ça en était d’autant plus intéressant. Oui, il avait trouvé des femmes qui avaient une certaine répartie, mais jamais à ce point. La brune semblait vouloir avoir raison à tout prix, à les entrainer toujours plus loin, sans qu’il ne sache quelle en sera l’issue. Les mots s’enchainaient, étant de plus en plus crus, ce qui avait le don d’attiser le désir brulant qui coulait dans leurs veines respectives et accroitre cette tentation ultime. « Parce que tu crois réellement que le jouet va rester passif et attendre gentiment que mademoiselle la gourmande ne se décide enfin à succomber. Comment je me sens ? Tu me poses réellement la question ? » . Oui, la luxure coulait dans ses veines, et il n’en avait pas honte, tout comme elle. Et si le jeu était de plus en plus intense, le regard du garagiste témoignait à la perfection de toutes les idées lubriques qui lui traversaient l’esprit. Malgré la puissance des mots, les actes avaient su faire leur apparition, rendant la partie encore plus intéressante. Le fait de se rendre dans un endroit exposé avait un but précis, eux qui pouvaient laisser libre court à leurs pulsions, leur imagination plus que débordante et un geste des plus provocants qu’il avait pu faire, à savoir descendre pantalon et boxer afin de laisser sa virilité libre aux yeux de cette brune incendiaire. Ainsi, elle pouvait avoir connaissance de l’envie qu’il ressentait. Certes, il aurait pu la prendre directement sur ce bureau, sur lequel elle était assise. Mais cela aurait été simple, bien trop simple, et il ne tenait pas non plus à la forcer. Non, il préférait tout simplement l’entendre le supplier de ne faire qu’un avec elle. Fierté oblige. Le pire était qu’elle le titillait encore et encore, inlassablement. Kelia le mettait en appétit, et il la dévisagea, avant de reporter son attention sur le reste de ce corps si sublime. « Tu ne crois quand même pas que je vais te donner entière satisfaction aussi facile. Et venir vérifier de quelle manière ? Qu’est ce que tu veux ? ma queue elle-même, mes doigts ou bien encore ma langue » . Callen n’avait pu que passer sa langue sur ses lèvres, en lui adressant un clin d’œil. Il s’amusait clairement, même s’il avait une folle envie de mettre à exécution ses propres paroles et vérifier qu’elle avait envie de lui et à quel point elle était humide. Rien qu’en voyant son corps réagir, le brun se doutait par avance à quel point cela devait la titiller, que son intimité était plus que prête à l’accueillir lui et ses attributs qui avaient la capacité de la faire hurler. Seulement, si ce n’était pas sa virilité fièrement érigée qui se retrouvait en elle, il n’avait pas pu s’empêcher de lui prodiguer des caresses intimes, auxquelles elle répondit de la même manière. La main de sa cliente lui faisait du bien, provoquant un léger râle malgré un baiser qui scellaient leurs lèvres. Rien de chaste, non c’était tout le contraire. Ces deux langues qui se caressent, qui témoignent de leur impatience, de leur envie, de leur désir. Comme pris d’un élan de conscience, il s’était rapidement débarrassé du dernier rempart qui les séparait de l’extase. Et puis, ce n’était qu’un bout de tissu qu’il s’était empressé de déchirer sans émettre le moindre remord. « Je t’en achèterai une autre, si tu y tiens » , murmura-t-il alors qu’il appréciait qu’elle lui morde le cou. « Mais elle risque de subir le même sort, surtout si tu poursuis comme ça » . Le ton de sa voix était empreint de toutes les émotions fortes ressenties à cet instant précis, et il n’avait fallu qu’un coup de rein pour leur donner cette satisfaction, bien qu’elle ne dure qu’un seul instant. Callen n’allait pas jouer le prince ou l’homme qui cédait, non, il gardait le contrôle sur la situation, bien qu’être en elle avait été un pur délice et que se retirer une réelle torture. Néanmoins, il avait pris place dans son fauteuil et n’avait pu que lui proposer ou du moins la mettre au défi de venir le chevaucher et ainsi prendre son pied. Le regard teinté de malice, le brun se mordit la lèvre dès lors que Kelia était descendue du bureau et s’était plantée devant lui. Le spectacle était des plus plaisants, surtout lorsqu’elle avait improvisé un petit strip-tease. Ce dernier ne s’était certes résumé qu’à son chemisier, mais la vue était intéressante, très sexy. Et que dire lorsqu’elle s’était avancée vers lui, qu’elle s’était posé juste au dessus de lui sans pour autant répondre totalement à ses attentes et qu’elle lui avait ôté son haut. Egalité. Non pas totalement. « Pas un brin frustré, rassure toi. Tu pourrais, en effet » . Ses doigts sur lui, sa manière de le frôler doublement avait quasiment raison de son self control. Il avait serré les dents, en sentant ses mains, ses dents, ses lèvres. Bordel, elle le rendait dingue. Et s’il était vraiment à deux doigts de lui donner entière satisfaction en lui disant qu’il avait envie d’elle, il n’avait pu que murmurer « j’ai envie de te prendre maintenant, de te baiser pour que tu te souviennes de tout, de moi, de moi tout entier y compris de ma queue » . Il sentait sa féminité sur son membre, et il savait pertinemment qu’elle ne s’abaisserait pas sur lui, pas maintenant. Le russe commença à laisser glisser ses mains sur elle, sur ses hanches avant de les remonter dans son dos et dégrafer le dernier vêtement par la demoiselle, délivrant ainsi cette poitrine sur lequel ses yeux se portèrent. « Magnifique » , glissa-t-il alors qu’une de ses mains s’empara d’un de ses seins et que sa bouche s’occupait du second, venant titiller son extrémité durci par le désir. Sans plus vraiment réfléchir, il la prit derrière les cuisses, la soulevant alors qu’il se levait pour la déposer sur le bureau à nouveau. Leurs lèvres se scellèrent une nouvelle fois de manière sensuelle, limite sauvage. Le brun s’arrêta, ouvrit le tiroir où étaient rangés les précieuses protections, le fameux préservatif sans lequel il ne sortait jamais et le posa sur le bureau. Il ne comptait pas l’enfiler sur son érection de suite, non il voulait que ce soit elle qui s’en charge. « dis moi que tu veux que je te fasse jouir » . Callen plongea son regard dans le sien, avant de venir l’embrasser délicatement dans le cou, de descendre ses lèvres sur sa poitrine si parfaite et de poursuivre sa descente lentement, toujours plus bas, jusqu’à embrasser l’intérieur de ses cuisses. « huum », chuchota-t-il, en s’attardant sur son intimité où sa langue experte vient titiller son bouton de plaisir. il avait pleinement conscience qu’il pourrait la faire défaillir en un temps record, mais il ne voulait plus la jouer à la loyale, il voulait qu’elle le supplie, qu’elle veuille de lui, qu’elle hurle son prénom…
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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 23 Mar - 10:02


Dragueuse moi ? Non.
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Tu retardes le moment jouant avec sensualité de tous tes atouts. Tu le provoques de tes mots. De tes gestes. Et il en fait de même. Chaque pore de ta peau réclame ce feu qui se fait plus indécent. Tu as envie de le sentir en toi. Mais tu résistes ne voulant pas céder au plaisir de la chair en premier. Pourtant il devient difficile de repousser le moment fatal. Surtout quand les doigts et les lèvres de Callen se font plus conquérants et expertes sur ta peau. Tu frissonnes. Tu gémis. Tu voudrais que ses reins viennent nourrir les tiens. Mais il joue habilement lui aussi. Il te fait entrevoir les rives de la jouissance mais il ne te les offre pas totalement. Il s’amuse de ton corps. Comme tu t’amuses du sien. Il te caresse de ses mots et tu savoures cette sucrerie. Tu en fais de même en retour. Provocant d’avantage, recherchant l’ivresse de la suite. Une suite  qui se faire de plus en plus charnelle. Cela rend l’instant plus insolent et le désir plus incendiaire. Vous vous frustrez à tour de rôle alors que vos corps réclament l’abandon. Mais tu n’es pas de ces filles qui se donnent juste parce que l’homme le veut. Non tu aimes aussi le voir plier pour mieux se livrer. La torture est délicieuse et tu sais qu’il la partage avec toi. Quand sa virilité vient se perdre au creux de ton corps tu te dis que le combat est terminé que tu vas pouvoir bruler. Mais Callen a d’autre idée en tête et il t’abandonne pour aller se caler sur son fauteuil. T’offrant une vue des plus agréable. Alors tu le rejoins, tu te débarrasses de ton chemisier. Tes doigts frôlent sa chair avec douceur. Tu as envie de griffer. De mordre. De t’empaler sur son membre tendu. Mais tu résistes. Tu l’effleures de tes mots, de ta peau. Il te fait presque rougir quand il te balance comment il aimerait te prendre afin que tu te souviennes de lui. « C’est certain que je ne vais pas l’oublier cette belle queue bien raide. » Ta main vient la caresser. Ta féminité s’y frotte mais ne se livre pas. Ses mains se font plus curieuses, plus cupides sur ton corps. Et il fait naitre une ribambelle de frisson le long de ta colonne vertébrale. Tu gémis. Il décroche ton soutien gorge. Tu lui laisses le loisir d’admirer  tes seins.  « J’aime quand un homme apprécie ce que je lui offre. Elle est toute à toi. » Tu as à peine le temps de finir ta phrase que sa main et sa bouche s’empare avec avidité de la rondeur de tes seins. Tu te cambres d’avantage. Laissant toujours ta féminité jouer sans s’offrir contre sa virilité. L’envie se fait plus cuisante. Ton corps réclame son du. Tes entrailles et tes reins ont envie d’être rassasié. L’envie te dévore comme de l’acide. Cela ne fait qu’augmenter ta faim. Ses mains glissent sous tes cuisses et il te pose à nouveau sur le bureau. Ton cœur bat à tout rompre et ton souffle se fait lourd.  Vos lèvres se retrouvent dans un baiser qui se veut déroutant et fougueux. Tu te sens perdre pied. Tu le vois poser un préservatif à vos côtés. Tu te mords la lèvre avec délice à ses mots. Bien sur que tu as envie qu’il te fasse jouir. Vos regards se retrouvent, ils brulent du même feu. Tu laisses tes mains se perdent sur sa peau. Découvrant d’avantage chaque parcelle de cette chair qui s’enflamme sous tes doigts. Et puis ses lèvres enivrent ta peau. Ton cou. Ta poitrine. Ton ventre. Jusqu’à ton entre jambe. Tu te cambres lorsque tu sens ses lèvres et sa langue se perdre sur ta féminité. « Oui .. » Tu écartes d’avantage tes cuisses. Une de tes mains vient se perdre dans ses cheveux accentuant l’ivresse de la caresse. Sa langue est diaboliquement indécente. « Oui continue .. encore. » Ton corps est pris de spasme du au plaisir que Callen provoque. « Fais-moi jouir. » Tu appuies d’avantage son visage au creux de tes cuisses. Et tu te laisses aller à ce feu ravageur qui s’empare de ton corps avec force et rage. Tu l’attires vers toi pour kidnapper ses lèvres avec voracité. Ta main s’empare de sa virilité. Pas question de céder tout de suite. Alors tu le pousses doucement. Tu redescends du bureau. Tes lèvres glissent dans son cou. Sur son torse. Son ventre. Et puis elles s’emparent de son membre le dévorant en entier. Tu y vas en douceur. Tu l’emmènes au bord du gouffre sans lui permettre d’y tomber. Puis tu retrouves ses lèvres avec avidité. Laissant tes doigts jouer sur sa virilité. Tu le pousses sur son fauteuil et attrape le préservatif. « Tu voulais que je te chevauche il me semble. Et moi j’adore monter les chevaux sauvages. » Tu pares son sexe prêt à l’assaut de sa protection. On n’est jamais trop prudent. Et puis tu te mets au dessus de lui. Provocante à souhait. Tu frôles sa chair sans lui donner encore toute satisfaction. Ton regard se perd dans le sien. Il brule du même feu. « Baise-moi Callen. Prouve-moi que tu peux me faire crier. Et je suis sure que tu crèves d’envie de jouir en moi. » Tes lèvres s’emparent à nouveau des siennes. Ton corps n’attend que son assaut final. Il peut te faire sienne, c’est tout ce que tu désires à cet instant, vous avez assez repoussé l’inévitable. En plus tu sais que ce désir est partagé. Et qu’il est lui aussi dévasté par la même envie. « Prends-moi. » Tes mots viennent caresser sa chair qui frissonne sous ton souffle.




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MessageSujet: Re: hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen   hot - Quand le mécano est sexy comment résister ? ( Callen EmptyJeu 6 Avr - 14:48


j'suis pas ton prince charmant...
Callen & Kelia


Les secondes qui s’égrenaient s’avéraient être une véritable torture pour Callen, mais pas que. La tentation était ultime et ils se jouaient l’un de l’autre, comme pour voir qui cèderait le premier à l’autre. Leurs assauts répétés, les mots qui sortaient de leur bouche respective et leurs gestes faisaient naitre et accroitre le désir qui coulait dans leurs veines. Le garagiste avait pris les devants, laissant glisser ses doigts et sa bouche sur ce corps divin qui s’offrait à sa vue et à bien plus. Les gémissements qui parviennent à ses oreilles le font sourire. Divine, elle l’était tout simplement. mais cela aurait été bien trop simple. De fondre en elle, d’atteindre le summum en sa compagnie, de l’entendre gémir davantage, de sentir ses ongles dans sa peau. Plus les mots sortaient, plus il avait ce sentiment que le jeu en valait la chandelle. Ils étaient identiques, se complaisant dans une luxure sans nom. S’il avait trouvé le chemin de son antre, Callen ne s’y était pas attardé, préférant se retirer et s’assoir dans son fauteuil, où la vue était plaisante. Cette déesse avait enlevé un autre vêtement, avant de l’effleurer. Et à cette provocation, il n’avait pu que mentionner et l’interroger sur la manière dont elle voulait qu’il la prenne, là sur l’instant. Les mots crus qui sortaient de cette divine bouche l’excitaient encore et encore. Et il n’avait pu que planter son regard dans le sien. « j’espère bien que tu ne vas pas l’oublier. Aussi bien dans tes mains qu’ailleurs » . il avait passé sa langue sur ses lèvres, avant de venir contempler cette poitrine délivrée. Et si les mots de Kelia l’invitait à faire bien plus que regarder, il n’avait pas attendu qu’elle lui dise qu’il pouvait y aller pour s’en emparer avec sa bouche et ses mains. C’était si bon, et le fait qu’elle se cambre pour s’offrir un peu plus à lui le faisait poursuivre sur sa lancée. Même si sa virilité se languissait de la moiteur de l’intimité de la brune. Il en avait assez de cette situation, et il n’avait pu que la soulever afin de la poser sur le bureau, avec une idée lubrique en tête. Les lèvres de Callen étaient partie à la quête de son corps tout entier, pour descendre vers cette chaleur qui l’attirait inexorablement. Sa langue s’attardait sur ce bouton de plaisir, et continuer à la faire chavirer. Parce qu’il savait pertinemment que ce qu’il était en train de faire la faisait frissonner voire même pire. La preuve en était par le fait qu’elle écarte davantage les cuisses et qu’elle n’enfouisse sa tête un peu plus entre ses cuisses. La main de Callen remonta jusqu’à sa poitrine où il pressait ce sein si ferme, alors que sa langue continuait de la lécher, de la titiller en la pénétrant, que sa bouche s’amusait de ses lèvres intimes. « Vas-y, laisse toi aller » , glissa-t-il d’une voix rauque. Et finalement, leurs lèvres s’étaient retrouvées en un baiser des plus explosifs, avant qu’elle ne reprenne les devants et qu’elle ne le pousse dans son fauteuil. Il ne savait pas du tout ce qu’elle était prête à faire, ou du moins si, il avait une vague idée qui s’était bien rapidement concrétisée, dès lors que Kelia s’était emparée de son membre érigé. Un râle s’était échappé de sa bouche, alors qu’il caressait la chevelure de la jeune femme, accentuant sa cadence. Elle était bonne, et il ne put que glisser d’un ton rauque « putain Kelia » . il ne voulait pas exploser maintenant, pas dans sa bouche comme ça. comme si elle l’avait compris, Kelia avait arrêté, le parant de son préservatif, pour se mettre au-dessus de lui. il n’avait pu que la fixer, avide d’elle, de ce moment d’union. Posant une main sur la nuque de Kelia, sa langue retrouva la sienne en une danse effrénée. Sa demande était exquise, et il hocha la tête. S’il avait envie qu’elle soit sur lui, il n’avait pu que se redresser, la soulevant légèrement et après avoir planté son regard dans le sien, il entra en elle d’un coup de rein puissant, un qui précéda les suivants qui alternaient entre plus doux et plus forts, en arrivant même à se retirer d’elle pour recommencer ce schéma. « c’est si bon Kelia » , râla-t-il, avant de chercher avidement ses lèvres. Il en avait besoin, et il ne comptait pas finir ainsi. La tenant toujours, il s’était rassis tant bien que mal, la laissant le dominer. « vas y bébé, monte le cheval sauvage. Fais moi jouir en toi, et jouis pour moi. » . il vint s’emparer d’un sein qu’il empoigna alors que son autre main glissa sur sa fesse, comme pour l’intimer de commencer ou du moins continuer ce chemin vers la jouissance, vers leur plaisir…
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