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 casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle)

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MessageSujet: casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle)   casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle) EmptyVen 31 Mar - 13:16

IL ALLAIT LE TUER. LE BUTER. La rage au ventre, la vue troublée par la vengeance. Une seule envie, une seule pensée. Le buter. Une mauvaise journée, un mauvais deal, il avait espéré trouvé réconfort auprès d’Eanna mais elle était encore avec ce connard de JJ. Rentrer en trombe chez les LB. Chez lui. Sa maison. Son territoire. Pour lui. C’était ça. Il avait voulu s’écrouler sur le matelas pourris qui lui servait de lit. Mais de loin le meilleur après celui de Peter. Et encore, il allait encore surement le refiler à Jael. Parce que tout était toujours pour Jael t’façon. Marre. Il en avait marre. Entrer chez les LBs il croisa Sasha qu’il évita du regard bien sûr comme toujours.

Il espérait pouvoir cramper, s’effondrer, arrêter de penser. MAIS CE PUTAIN DE CHAT AVAIT PISE SUR SON MATELAS. Et l’odeur de pisse de chat c’était une horreur une infection. Il claqua la fenêtre de sa chambre. Restée ouverte. Pour aérer c’était rater. Quelques insultes. Jetées dans le vent, comme si quelqu’un pouvait l’entendre. Il monta en trombe sur le toit. Ce putain de chat qui squattait toujours le toit. Il allait le buter. Comme si c’était le responsable de toute sa misère. Un poing contre la porte métallique, le vent dans les cheveux. Qu’il ose se ramener ce matou de malheur. Il n’était pas pour la torture animale. Mais quand la rage venait à Tinks, Tinks n’était plus le même. Fini la fée clochette gentille. Bonjours le dark tinks. « RAMENE TOI ICI SALE PUTAIN DE CHAT DE MERDE ». Peter lui avait dit de le lâcher. Lui. Il lui avait dit qu’il avait dû bouler à faire seul. Et ça le mettait en rage. Ça le foutait en rogne total. Tinks était un bon vivant, naturellement mais il lui arrivait de Peter ses câbles. Relâcher la pression… Ça lui arrivait de se demander s’il tenait ça de son père, de sa mère. Ou si c’était cette colère qui l’avait privé de ses parents. Alors qu’il n’avait que des pales souvenirs sanglant de sa famille.

Il ne sait pas ce qu’il lui ferait à ce fichu chat mais putain il avait envie de massacrer quelqu’un. Quelqu’un. Et l’idée lui vint directement. Tout ça c’était la faute de toots. Ce fichu Toots de malheur. Il devait quitter cet endroit. Il ne méritait pas ce toit, cette famille, et il ne méritait pas Peter. Et s’il ne se décidait pas à se casser, Tinks le buterait. Avec son satané chat. Il ne méritait pas d’avoir la chance de vivre sur le même toit que lui. La chance d’être logé et nourri pour le peu qu’il offrait. Il le détestait. Il redescendit, n’ayant trouvé qu’un chat fuyard et pas un pet courageux. Il déboula dans l’antre du toit, sans savoir si les autres étaient là, s’IL était là. Mais t’façon tu sentais son odeur. Tu savais qu’il était là. Tu entras en claquant la porte. Frapper c’est pour les mauviettes. C’est pour pour dark tinks. Et il le vit. Toots.

Toots, le rebelle. Celui qui affrontait Peter. Celui qui ne le respectait pas. Et pour tinks, le plus important c’était peter. Il était inconcevable que quelqu’un se comporte comme ça avec son mentor. On lui devait le respect. Il lui devait le respect. Il était le bras droit de Peter. Il était plus important pour lui que lui. Il représentait tout ce qu’il détestait. Cette allure je m’en foutiste. Il ne se rendait pas compte de la chance qu’il avait à être ici. Il serait temps pour lui d’aller dehors, de perdre le soutien de Peter. Tinks était jaloux, exaspéré et énervé. A sa colère pour la pisse de chat, se mêler son antipathie pour Toot, sa jalousie. Parce que dans sa parano, il ne vouait qu’une seule raison pour lequel Toots était encore là. C’était qu’il se tapait Peter. Peter préférait Toots. Tinks ne se laisserait pas remplacer aussi facilement. Il le foutera dehors avant. Il entra donc dans l’antre de merle pour venir lui prendre son matelas, poisseux. « J’te prends ça. Et toi tu vas l’avais mon matelas où ton sale chat de merde a pissé ! » Il retourna le matelas pour le prendre avec, laissant derrière lui le bordel qu’il causait. L’idée de dormir dans le même matelas que Toots ne lui enchantait guerre mais au moins il aurait un matelas.



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MessageSujet: Re: casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle)   casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle) EmptyVen 31 Mar - 22:00

Merle « Toots » Brekker n’est pas quelqu’un de bien. Ce n’est pas qu’une question de voler, pas qu’une question d’arnaquer, pas qu’une question de vendre de la drogue, c’est quelque chose dans son attitude, quelque chose dans sa façon de relever le menton et de défier l’autorité, quelque chose dans sa façon de planquer une partie de ses revenus de Peter, une façon de lui cracher à la figure parce qu’il le haïssait. Merle « Toots » Brekker est une crevure, une ordure, c’est celui qui lance les bizutages sur des gamins bien trop faibles et qui mord quand on le touche, c’est celui qui sort un couteau quand il se sent menacé, celui qui n’est pas trop intimidé pour serrer les poings et cogner quand la situation s’y prête. Merle « Toots » Brekker n’a jamais prétendu être quelqu’un de bien. C’est difficile, de prétendre être quelqu’un de bien, ça ne vaut pas le coup, prétendre. Il est sympa, parfois, parce qu’il a ses moments de faiblesse ou plutôt parce qu’il a des faiblesses, parce qu’il est un Lost Boys à cœur et qu’il apprécie la plupart des gens avec lesquels il vit, parce qu’il a un faible pour les paumés et les perdus et tout ceux que la vie a amoché, tout ceux qui essayent de se rabibocher sans avoir pu accepter de mains tendues. Il aurait pu aimer Tinks, en vérité, quand il y pense. Il aurait pu l’apprécier parce que Tinks a l’air d’avoir une histoire, parce que Tinks dégage quelque chose qui le fascine, parce que Tinks lui donne envie de gagner suffisamment de points d’amitié pour débloquer sa backstory tragique, parce que Tinks a quelque chose qui l’attire et que ça le rend curieux. Il aurait pu apprécier Tinks et il y pense parfois le soir, roulé en boule dans son matelas miteux. Il se demande pourquoi, jusqu’à des heures indues du matin, pourquoi ça a tourné comme ça, pourquoi il le déteste, pour ils se détestent.

Et puis, il se souvient que Tinks est un suceur et qu’il peut vraiment pas le blairer.

« T’es vraiment un enculé. » qu’il lâche quand Tinks déboule, le visage blanchi par la rage pour lui tirer son matelas. Il n’est même pas énervé en réalité mais il pèse ses mots, d’une certaine façon, parce que tout le monde dans la bande est plus ou moins un enculé en réalité – et dans tous les sens du terme, c’est peut-être pour cela qu’il est si désensibilisé face au terme. L’œil impassible, il regarde ses comics soigneusement rangé sur le matelas voler, écoute les pages se déchirer quand on le traîne, regarde voler en fumée ses possessions les plus précieuses et les plus chéries parce que Tinks a pété les plombs et qu’il a choisi une cible et que cette cible c’est lui. Peut-être qu’il a oublié à qui il se frottait, peut-être qu’il a oublié qui est Toots, poings et griffes et couteau, peut-être qu’il a oublié qu’il a vécu dans la rue, lui aussi, qu’il a un passé avant les Lost Boys et qu’il n’appartient aux privilégiés qui les ont rejoint, peut-être qu’il a oublié que ce n’était pas il y a si longtemps et que ses réflexes sont toujours aussi affûtés. Il se jette sur Tinks et ce n’est pas pour l’embrasser. Il se jette sur Tinks et c’est pour le chopper, le balancer contre la surface plane la plus proche, la voix réduite à un bas filet grondant et les épaules carrées, les yeux écarquillés par la rage : « Je savais que tu m’kiffais Tinks mais je pensais pas qu’tu voulais aller jusqu’à sucer le sperme de mon matelas. » Et c’est une provocation, une énième provocation, et il espère que ses doigts enfoncés dans sa hanche pour le maintenir en plus laissera un bleu et il espère qu’il se fait bien entendre, en réalité, parce qu’il parle trop fort et qu’il sait que des gens sont à la maison, parce qu’il sait qu’il sera puni, pas de testostérone ou de bouffe, ou n’importe quelle punition qui le poussera à disparaître. C’est facile pour Tinks. C’est putain de facile, pour Tinks, parce que c’est le bras droit, parce que c’est le petit favori, parce que c’est lui qui dicte les règles et qui fait les lois quand Peter est pas là.

« T’auras pas mon matelas, fils de pute. » crache-t-il et la tension est palpable parce que la main libre de Toots est refermée dans la poche qui contient son couteau, parce que son autre main serre, serre, serre sa hanche avant de tout lâcher et d’agripper le bien qu’on essaye de voler. « J’sais bien que t’as décidé d’asseoir ton autorité en te faisant sauter, Tinks, mais compte pas sur moi pour vénérer ton anus béant. »

Parce qu’il était presque sûr que les rumeurs qui murmuraient que Tinks avait fini entre les cuisses de Pan étaient vérifiées.
Presque.
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MessageSujet: Re: casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle)   casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle) EmptyMar 11 Avr - 14:56


« T’es vraiment un enculé. » tinks le regard. Ce branleur. Ce casse pied qui refuse d’admettre qu’il voue une admiration sans nom à peter. Comme tout le monde ; parce que c’est peter. Tinks n’admet pas une seule seconde que ce soit possible de ne pas admirer Peter. Il l’avait sauvé. Il lui avait donné ce matelas d’ailleurs. Il ne lui appartenait pas. Il appartenait à Peter. Il n’est pas étonné du vocabulaire de toots. Ca a toujours été un connard et il le fait bien sentir. Cela ne tenait qu’à lui, il n’aurait jamais pu poser un pied ici. Pourtant. Il aurait pu l’apprécier. Mais à la seconde où il avait vu le regard de défie qu’il avait eu pour Peter. C’était fini. Plus d’amitié. Plus rien que de la haine dans son cœur. Dans son cœur instable, torturé, mutilé et perdu. Tinks. La fée qui avait trop vu, et qui avait été trop tôt manipulé. Stockholm syndrome. Appelez ça comme vous voulez. Etre avec Peter lui faisait du bien. Et tinks aimait beaucoup trop se faire du bien. Tinks ne préta guerre attention aux comics, dommages collatéraux. Rien à foutre. Comme de toots. Il s’attends à la bagarre. Il la chercher même.
Tinks cherche la bagarre pour se défouler parce que Peter ne lui a appris que ça. Se défendre. Parce qu’à la rue. C’est comme ça. Quand on te cherche, quand on te vole, quand on te regarde. Tu dois te défendre, te battre, de tout ton corps. Pas de peur de s’abimer le joli minois comme les gosses de riches. Toots se jette sur lui, comme un animal enragé. Parce que c’est ce qu’il est. Un animal enragé.
« Je savais que tu m’kiffais Tinks mais je pensais pas qu’tu voulais aller jusqu’à sucer le sperme de mon matelas. » Aucune pitié désormais. Il l’avait cherché et il allait le trouver. Il aurait pu faire le mature, l’intelligent, il aurait pu alors prétendre être de la carrure pour vivre ici, pour avoir la chance de passer quelques secondes auprès de Peter. Mais ce n’était qu’un ignorant ingrat. Un sale ingrat. Et Tinks détestait les ingrats. Tu le regardes, avec un sourire, le sourire d’un petit merdeux. Parce qu’il sait qu’il pourra raconter ce qu’il veut à Peter. Que Peter le croira lui, et pas Toots. Parce que même s’il était entrait dans les petits papiers. Tinks avait encore l’avantage. Et il ne comptait pas le perdre. Il le regardait alors juste, comme ça, avec son sourire de merdeux. « C’est clair que ta main droite doit bien travailler ». Ouais. Il lui ne fera pas croire qu’il y a beaucoup d’actions sur ce matelas.

« T’auras pas mon matelas, fils de pute. » Tinks sent la tension. Il sent qu’il va craquer. Il connait les techniques de combat. Peter lui a toujours appris de regarder et d’analyser les situations dans ces moments. Où sont les pieds, les mains, capter les attentions de son adverses pour contrer les attaques et les utiliser à son avantage. Il avait appris ces leçons dès 10 ans. Cela faisait dix ans qu’il se battait sous le jouc de Peter. Le plus fort. Alors il ne l’aurait pas aussi facilement. Qu’il le poignarde, qu’il le tabasse. Quelque chose de grave. Quelque chose qui justifie le renvoi immédiat. Et pouf. Plus de Toots comme par magie. La fée clochette pas pour rien.
. « J’sais bien que t’as décidé d’asseoir ton autorité en te faisant sauter, Tinks, mais compte pas sur moi pour vénérer ton anus béant. »
Il le regarda. Il se demanda si il faisait référence à Sil. Mais il comprit après que par autorité il voulait surement faire référence à Peter. Il était jaloux. Lui ? Parce que si il était certain que quelqu’un se tapait son peter c’était cet enflure de toots. Mais il comprit qu’il fallait qu’il riposte qu’il l’énerve encore plus pour qu’il fasse le faux pas de trop. Putain qu’il le fasse ce fichu de faux pas. « Tu me connais. Tu ne connais pas Peter. Et t’as pas une once d’idée de ce qui nous lit sale enflure. Surveille tes paroles avant de sortir de la merde de ta gueule » Il approcha son front du front de toots. L’appel au coup de boule, l’appel au choc. « Ce matelas ne t’appartiens pas. Alors va t’faire sucer et laisse-moi tranquille »
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MessageSujet: Re: casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle)   casse toi la gueule, casse toi tout court (tinkerle) EmptyDim 16 Avr - 2:01

Depuis qu’il est petit, Merle avait une idée approximative du fonctionnement des volcans. C’était quelque chose qui avait à voir avec la pression, sans doute, avec Dieu, selon son père, avec autre chose, selon les livres qu’il avait piqué à Slight en douce une nuit. C’est approximatif mais il s’en fout, parce que ce que Merle sait du fonctionnement des volcans est l’essentiel : lorsqu’ils entrent en éruption, tout s’écrase sur leur passage. Il a connu des gens-volcans, une plâtrée de mecs et de meufs qui explosaient, terrassaient, piétinaient, il en a connu plein et il connaît Peter, aujourd’hui, qui manipule et qui tord et qui distord, qui sauve pour mieux régner, qui enroule des fils autour de leurs membres pour mieux les contrôler. Tinks, lui, n’est rien de tout ça, pas même un souffle d’air, encore moins une tempête. Il sait qu’il est dangereux, il sait qu’il se bat, il sait qu’il est entraîné, affûté, paré, aiguisé comme un couteau ; il s’en fout. Il s’en fout parce qu’il a connu la rue aussi, il s’en fout parce qu’il y a vécu, il s’en fout parce qu’il a passé des années en enfer et que vivre dans une poubelle n’est même pas le pire de ce qu’il a dû affronter, il s’en fout parce que Peter est une ordure, il s’en fout parce que Tinks ne vaut pas mieux. Il s’en cogne parce que Tinks est une étincelle et que Merle n’a jamais eu peur de se cramer. Un sourire comme une balafre sur le visage, il colle les mains dans le feu, attrape Clochette par le col, les pouces un peu trop près de sa pomme d’Adam.

C’est stupide, mais il se souvient subitement pourquoi il le hait, parce qu’il y a cette bosse, là, dans le creux de son cou, et le fait qu’il n’ait pas d’effort à fournir pour être un homme, parce que Peter ne le tient en laisse que parce que Tinks le veut bien, parce que Peter a fait de lui son chien et qu’il agit comme tel, servile et docile, un esclave volontaire, et que Merle est coincé là, les yeux grands ouverts et les poings serrés, à quémander pour une dose que le dictateur de la maisonnée consentirait à lui céder. Il a envie d’hurler, il a envie d’hurler parce que le visage de Tinks et trop près et qu’il déblatère des conneries, encore et encore, parce qu’il sait rien, putain de Tinks, avec ses cheveux trop blonds et ses yeux trop clairs, parce qu’il a aucune idée, le sous-fifre, aucune putain d’idées et que ça le rend dingue de le voir se pointer, avec ses airs de petit chef et sa légitimité, que ça le rend dingue de le voir se permettre de se tirer avec son matelas sans que personne s’inquiète plus que ça. Merle sait à quoi il joue. Merle sait qu’il s’en fout, les mains brûlantes et le sourire bien trop large, quelque chose d’un peu trop allumé dans le visage.

« P’t-être que c’est toi qui devrait me sucer, Tinks. » souffle-t-il d’une voix doucereuse et il le pousse d’un coup sec, pour l’envoyer au sol, pour l’éloigner, pour le prendre par surprise, parce que c’est ça, dans le fond, que c’est comme ça qu’il se bat, que c’est comme ça qu’il a appris, pas de règles, pas de temps, vitesse, surprise, esquive, tout le temps. Il ne tape pas fort mais il est endurant, toujours en mouvement, jamais statique et il a déjà planté ses ongles dans le matelas une nouvelle fois pour empêcher Tinks de le lui tirer. Il sait très bien qu’il pousse et qu’il tire, qu’il cherche à le faire exploser, à faire de lui un volcan. Il sait aussi que ça marchera pas, parce qu’il a besoin d’être là, parce qu’il est plus malin que ça, plus malin que lui, plus malin que Peter aussi. « J’sais pas si tu me prends pour un abruti mais je prendrais pas le risque de me faire virer d’ici. » Il gronde, il feule, parce qu’il est un animal et qu’il ne s’en est jamais caché : « J’ai gagné mon droit d’être ici alors va. te. faire. enculer et fous-moi la paix parce que je te jure que ça va mal tourner. »

Et la menace est lourde, dans sa voix, pesante et sans ambiguïté.

« J’hésiterais pas, Tinks, alors dégage. »

Dégage avant que ça tourne mal, dégage parce qu’il sait pas dans quoi il s’engage.
Juste dégage.
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