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MessageSujet: a thousand words   a thousand words EmptyLun 29 Aoû - 23:45



Jacky, Koleczko
kiss kiss molly's lips
©️ creditimage|tumblr
PRÉNOM|NOM  Koleczko parait que c'est polak.  La poupée glonflable s’appelle Jacqueline, ouais, les effluves de formol et de talc enfument l'espace. C'est ni cool, ni beau, ni rare :  juste vieux. Alors, elle a rafistolé au fil du temps pour le transformer en Jacky avec un "y", pas un "ie". AGE|LIEU DE NAISSANCE vingt cinq, l'addition de deux douze plus un, une date mensuelle, elle a beau chercher, Jacky, vint cinq n'est  qu'un chiffre effroyablement banal qui s'évaporera en automne. Un sept septembre, Martha Barnard expulsa l'bout de chair cyanosé, avec retard, le cordon enroulé autour du cou, bijou glamour qui valut à la petite Jacqueline un petit séjour en couveuse. La survie est congénitale, pas instinctive chez elle. NATIONALITE|ORIGINE américaine jusque sur la fesse où l'ivresse l'a un soir poussé à s'tatouer le stars et stripes auréolé de quelques cœurs mièvres que sa petite culotte planque. Faudra se montrer convainquant pour le voir ou au moins lui offrir quelques verres. A part la certitude d'avoir été mise au monde par une conne incapable qui l'a bridée toute son enfance, ses origines, Jacky s'en tamponne royalement le fion. elle a vécu dans un coin oublié des dieux dans le Minnesota où l'évènement le plus bandant n'était rien d'autre qu'une course de vieux tacots tous les 6 du mois. L’ennuie, ça, elle connaît.ETUDES|EMPLOI Son quotient intellectuel hors du commun  ne lui sert pas à grand chose quand les années passées en taule viennent rappeler l'unique erreur (découverte)qu'elle ait commise. Les portes se ferment derrière des regards navrés. Les murmures se frayent un chemin jusqu'aux oreilles. La décadence est une douce sirène à laquelle elle répond avec promptitude, sourire canaille vrillant ses lèvres pleines, les yeux luisants. Chewing-gum mentholé en bouche, elle prend en filature, attire dans ses filets les gros porcs lubriques, les infidèles, ceux qui crachent sur l'institution matrimoniale à laquelle toutes les crédules rêvent. Entre autres. Les activités arrivent, charriées comme des nuages de flouz, à l'odeur trop alléchante pour refuser le boulot, quand bien même il faudrait donner de sa personne, cracher sur quelques principes. Jacky, elle travaille toujours en équipe. Le quotidien toujours incertain, ses actions se font au conditionnel. Alors, disons que professionnellement, la crise embrasse le vieil adage qui dit que la fin justifie les moyens. Fille de chimiste, elle est douée de ses dix doigts et manipule ampoule à décanter, ballon à fond plat et becher avec dexterité, si bien qu’elle sait exactement comment produire aussi bien de l’aspirine que de la meth. Dites votre prix, elle vous dira le sien, on est tous la pute de quelqu’unSTATUT CIVIL Privilégier les histoires de cul, avant les histoires de cœur. Et s'faire avoir en beauté, parfois.Si elle est passée par la case prison, elle n'a jamais brouté d’la minette. Détermination dont elle garde quelques reliquats, des cicatrices bombant son épiderme et des tatouages dont elle a honte. Jacky plus que quiconque est capable de définir ce que la survie implique, elle en connait tous les contours et n'en oublie aucune lettre. Ils sont venus de Mars, ces fils de putes, avec leur musculature olympienne toute en finesse et en brutalité. Attirée par la hargne, la folie, Jacky succombe aux gestes grossiers, suffoque pendue aux lèvres rudes, sous les palmes calleuses, suit des doigts les veines qui serpentent sur des peaux rêches. Elle les préfère foutus, odieux, laids, instables et...infidèles ( comme ça, elle a toujours une excuse pour ne pas s'attarder et les carotter profondément). Disons qu’elle est célibataire s'amourachant toujours des débiles les plus profonds, elle n'est rien de plus que quelques corps à corps brûlants derrière les rideaux opaques floués au quotidien, quelques râles arrachés, quelques cris qui se dissipent au petit matin dans les relents d'une desperado. Une seule constante, comme une règle à laquelle Jacky obéit sans déroger, c'est elle qui se tire en premier. CARACTERE caractériellement parlant, Jacky, c’est pas un cadeau, elle n’est pas emballée et derrière son maquillage inspiration raton laveur ne se cache pas la délicatesse personnifiée, bien au contraire. Elle frappe, elle mord, elle est grossière, tout le temps, comprenez sans arrêt. Elle, elle ne tend pas l’autre joue, ne se prend pas la tête. Et si vous pensez qu’elle a une personnalité particulièrement complexe, c’est qu’elle n’a pas encore ouvert la bouche. Dès lors, vous changerez d’avis. Du moins, c’est ce qu’elle prétend, elle est blonde, après tout, de l’extérieur et du dedans.GROUPE alize

= Better place
Votre pire souvenir (ou par défaut votre meilleur souvenir)? La porte qui s’ouvre , la lumière aveuglante des lampes torches pointées sur le visage. C’est le réveil brutal, dans une ambiance de débusquage. Se retrouver le cul au sol, la petite culotte en contact avec la moquette crade de cette chambre de motel, la prunelle d’ses yeux, immobilisée à terre, mains derrière la tête, face collée à la fibre synthétique qui compose ladite moquette dégueulasse. Des hurlements, les larmes sur ses joues constellées de tâches de rousseur. Croiser son regard, lorsque les flics l’embarquent, avoir à peine le temps de voir ses lèvres remuer, pour articuler silencieusement un « je t’aime » qui finit, comme leur histoire, délavé par le temps, la distance. Son pire souvenir, c’est lui.
Quelles sont les personnes en qui vous avez le plus confiance ? Perry, Anatoly. Elle-même. Le reste, elle s'en contrefout tellement. Tellement.
Avez-vous perdu un être cher au cours de votre vie ? Pourquoi ne pas demander : quels sont les êtres qui ont bien daigné rester ? Ceux qui ont réussi à déjouer les statistiques les plus pourries, les vents et marées, pour ne pas quitter le paysage. Peut-être que les doigts d’une main suffiraient à les dénombrer. Ils sont peu et substantiels à leur façon. Les départs, les ruptures sont incontournables, Jacky le sait depuis bien trop longtemps pour encore se laisser avoir. Les promesses, les trucs inconsistants, pas pour elle. La perte fait partie du jeu, tout le monde devrait en connaitre les règles, point-barre.

=  You are a memory
1. Dans sa vie,  Jacky n'a pas grand chose. Pas de quoi être fière. Avant, elle pouvait prétendre. Elle pouvait espérer. Aujourd'hui, sept ans après le braquage qui a couté la vie à sa meilleure amie, pour lequel elle a pris, d’où elle vient, elle n'est plus rien que l'épave dont on murmure l'histoire, en se demandant comment, pourquoi. Et elle aussi, elle se le demande 2. Son père est chimiste, professeur universitaire, aujourd’hui chef de département. Elle n’a pas gardé contact avec lui lorsqu’il s’est tiré, elle avait seulement neuf ans.En fait, quand elle y pense, elle n’a pas vraiment de père, juste un patronyme. 3. Jacky, elle fait le vide autour d’elle, elle avale la colère, la déception, elle croit à l'intérieur d’elle et vient invariablement un jour où la boule chargée explose. La force tranquille se transforme en un monstre de cruauté, façonné de rage, de rancœur, de tristesse. Elle n'exprimera jamais ses émotions en donnant du lyrisme. La poésie, les épanchements, elle passe franchement  son tour. 4. Sa mère lui en veut. Cela fait sept ans qu’elles ne se sont pas vu.  5.Lorsqu'elle se sent au bord du précipice, lorsque le quotidien la dégoute trop, elle court, elle  fait de l'exercice. Elle reproduit les schémas qu'elle observait lorsqu'elle était en cage. Et parfois, parfois lui vient l'idée d'y retourner. De menacer quelqu'un au couteau ou griller quelques feux, insulter un agent, le tabasser pour retrouver ses vieilles habitudes. Mais, elle se rend compte qu'elle est plus forte que ça. 6. Jacky lit beaucoup, des trucs scientifiques, philosophiques.  Pendant ces sept dernières années, elle s'est évadée une centaine de fois, à travers les livres et ça lui a fait un bien fou. 7. Les sirènes de police, les contrôles, les uniformes invoquent l'angoisse latente.  Elle déteste, elle se fait petite, baisse la tête. Peut-être que ouais, elle a salement été marquée. 8. Sa bagnole lui a coûté 400 dollars, elle ne paie pas de mine avec ses sièges maculés de tâches. Sa radio ne fonctionne qu'une fois sur deux et ne capte que  latina FM, autrement dit, mademoiselle la polo  parle  couramment l'espagnol.


☆ ☆ ☆
BEHIND THE DOOR


PRÉNOM|PSEUDO c’est toujours mwa  AGE vingt PAYS la gaule, la france, pas...m’voyez ? AUTRE COMPTE Beau Decker, merci pour l'accord  a thousand words 2735968492  heartbeat  AVATARfreya mavorMOT DE LA FIN PROUT   


Code:
<pp>FREYA MAVOR</pp> ▪️ Jacky, Koleczko


Dernière édition par Jacky Koleczko le Mar 30 Aoû - 17:24, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyLun 29 Aoû - 23:45




i'm 100 % sure i don't give a shit


15 -TEEN


L'astre diurne pointe ses premiers rayons, iridescent, les goniochromies balayent la surface du capot se reflétant aussitôt dans ses iris azurés. La chatte s'étire, le feulement transperce le silence de l'habitacle, les guibolles distendues sur le tableau de bord;  Jacky ne ressent les courbatures qu'au cœur qu'elle porte au bord des lèvres ( lorsqu'il ne se noie pas dans son estomac) depuis qu'elle a quitté « consanguinité-ville », dans l'état du Minnesota, à vingt et une heure, hier soir. L'ange blond s'est fait la malle, les pommettes rosies, les yeux larmoyants, comme un voleur dans la nuit, avec son maigre butin. Tandis que sa mère et son nouveau roi des cunnilingus dormaient à poings fermés, à deux pièces de sa foutue chambre.

Jacky cligne des paupières, jette un furtif regard au géant qui tient le volant à ses côtés, monstre de conte de fée, débarqué un jour dans son coin paumé pour tirer à bout portant sur l'ennui, la banalité d'une vie de future fermière, engrossée avant même d'avoir atteint l'âge de boire légalement sa première bière. Elle essuyait les tables et les regards lubriques, à l'époque, encaissait les caresses de séant, en serrant les dents, pour pouvoir, plus tard, encaisser les pourboires. Il avait fière allure, son putain de sauveur, débarqué un matin, de  l'encre dessinant sur sa peau tannée de drôles d'arabesques, personnification d'une rébellion qu'elle étouffait constamment.

Jacky, à cet instant,  gonflée d'une fierté toute féminine, dévore son homme du regard. Elle n'a que quinze  ans, étourdie par les rêves de gloire et cette liberté friable qui lui file inexorablement entre les doigts. L'espoir suinte à travers tous ses pores et se réverbère sur ses chicots qui partent dans tous les sens. Consciente du sort qui l'attend, elle balaye les mauvaises pensées d'un mouvement de tête, se rapprochant de son amour, pour lui déposer un baiser au creux du cou tout en soufflant un « bonjour ». Si elle savait qu'ils se feraient prendre, dans un motel miteux, deux états plus loin et ,elle, ramenée de force auprès de sa mère, si elle savait, rien, elle se tiendrait quand même là, elle partirait quand même, avalant goulument les mètres à bord de cette vieille bagnole, avec son renégat.

7 -TEEN

« Cours » - qu’elle hurle, Sin à une Jackie hébétée,  elle n’entend plus rien , elle ne voit plus rien: ni les néons aveuglants, ni le  bris de verre, ni le hurlement ou ce bang bang, ce corps qui tombe dans un bruit étouffé. Elle cligne des paupières, il y a cette flaque qui s’étend, tout autour de Sin. Cinq ans, avec une réduction de peine. C’est ce qui arrive lorsqu’on décide, d’assister sa meilleure amie dans un braquage, pour se fournir de quoi mettre les voiles. Récoltes ? Échec critique, une mort sur la conscience et une compagne de cellule nommée Guadalupe. Raser les murs les premiers mois, se faire tabasser tous les jours, à la pause, entre dix sept heures cinq et dix sept heure sept par Crazy Jane, parce qu’on n’a pas encore l’habitude de serrer les poings. Se faire tatouer une croix gammée, rejoindre un gang et regretter mais, savoir que c’est ce qui permettra de se réveiller demain. Jacky apprend la vie et son goût, doucement, dans les cinq mètres carrés de sa cellule, converse avec Braidy le maton , compte les jours, les heures, les minutes et tout ce que ça lui coûte.
A sa sortie, quatre ans plus tard, elle rencontre Perry, dans le premier bar où elle fout les pieds, puis Anatoly et après, elle ne les quittera plus.


20-TWO

Les rires gras résonnent, devant un bon vieux western, Clint Eastwood fusille du regard son opposant, dans cette atmosphère de poudre et de cigarillos, de chique et d'enchiladas achetées par Anatoly;  la tasse fumante d'un café corsé, déposée sous des yeux où des cernes en couilles de chameau prennent forme sous son épiderme. Il est vingt deux heures pétante lorsque le carillon de la porte d'entrée résonne, tirant un soupire à Jacky. Elle s'apprêtait à passer une nouvelle couche de vernis sur ses ongles, le précédant s'étant écaillé. Elle déteste ,la blondasse, avoir l'air crado. Ses paupières sont lourdes de fatigue. Elle lève son regard sur Perry qui vient d'entrer, le blouson de cuir tanné où des gouttelettes de pluie perlent , ses cheveux sont mouillés, son visage blême. Et cette barbe qui n'a rien à fiche là, lui donne de vagues airs de vendeur de churros ,imbibés de guinness, irlandais. « Dure journée ? » - l'interroge-t-elle, en se relevant, s'appuyant sur ses mains, le comptoir de leur labo d'impression photos pliant sous la franchise Kodak est sale de tout le sébum accumulé, des mains qui l'ont touché. Perry, c'est un vétéran, un survivant, celui qui a vu la guerre sous toutes ses formes, ses pupilles vous sondent l'âme, toujours. Il se meut tel un ectoplasme, autour de lui la gravité fait rage, immanquable comme le pif en plein milieu de la tronche. « T'en as d'autres des questions pourries ? » siffle Anatoly, enfournant dans sa grande gueule, un pan entier de l’enchilada en équilibre précaire au bout de sa fourchette rouillée. Il la fusille, courroucé ou dépité, elle ne sait pas faire la différence Jacky. En tout cas, il reporte aussitôt son attention sur un spectacle moins insipide, la légende, la fine gâchette. « Du café, Jacky » - se contente de lancer Perry, les épaules voutées. C'est ce qui arrive à prendre en filature en échange d'un peu de fric. Tout juste de quoi faire tourner la boutique, payer le loyer, les factures qui s'empilent, chagasses, sur le palier. Ça déborde vite. Jacky s'empresse, elle disparaît dans la remise, revient avec une tasse, sa tasse fétiche qu'elle lui tend, non sans claquer un baiser sur sa joue rugueuse. Le sourire qui vient vriller ses lippes solaire, illumine la pièce faisant tressauter son palpitant. « Il a été dur mais, je l'ai finalement eu, ce petit merdeux » - finit-il par leur apprendre, mettant fin au suspense. Demain soir, ils auront de quoi payer l'électricité et se faire un repas de rupin autre part que dans un bouiboui dégueulasse. Elle aura même de quoi s'acheter une nouvelle paire de talons aiguilles.


20-FIVE

« Putain de flic, putain d'indic, putain de putain, je suis sûre que c'est elle qui a cafté » - Anatoly crache des volutes, planqué derrière une benne à ordure, Jacky le flanquant du côté gauche, il tourne le visage vers elle, noyant ses traits derrière la fumée opaque. Elle ventile de sa main libre tandis que l'autre prend appui sur le mur de brique. Ils sont là, imbéciles de championnat, accroupis, à attendre que la voiture de patrouille s'éloigne. « Quand j'te disais d'faire plus attention aux connes dans lesquelles tu trempes ton biscuit » - sale queutard, pense-t-elle, en levant les yeux au ciel. La flotte ruisselle sur le mur, sur leurs visages à peine planqués par des capuches obsolètes. Son rimmel coule, son humeur s'assombrit. Anatoly sourit dans un «  j'vois pas de quoi tu parles » alors que ses yeux si expressifs, un brin globuleux, hurlent tout le contraire. Jacky grimace, elle aimerait lui couturer les lèvres, qu'il ne dise plus de conneries ( et lui couper la bite, qu'il ne se fourre plus dans de sales histoires). « On fait quoi ? » - finit-elle par demander, après avoir observé quelques minutes de silence. Anatoly s'agite, se relève. « On s'tire et , j'te préviens, motus à propos d'tout ça. Tu sais comment Perry est » - debout, ils courent, triturent le bitume qui serpente en ligne droite, entre des immeubles sordides, bousillant les flaques. Ils traversent l'odeur nauséabonde de pisse fermentée, le nez caché sous des écharpes détrempées. Ils feront face à Perry tout en puant le chien mouillé. Il leur fera cracher le morceau et leur interdira de prendre des "affaires" sans lui. Ils obéiront à ce substitut de père, sans rechigner. Comme ils le font toujours, jusqu'à ce que l'occasion se fasse trop tentante et qu'ils succombent, enfants terribles.
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Leonard River

Leonard River
et le château de sable, il est dans l'eau maintenant
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 8:32

MY GOD ! J'ai adoré lire ta fiche, j'aime vraiment ta façon d'écrire *.* !
Alors bienvenue à toi et bon courage pour finir ta présa !
Love sur toi a thousand words 3358714544
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 13:29

Leonard River a écrit:
MY GOD ! J'ai adoré lire ta fiche,  j'aime vraiment ta façon d'écrire *.* !
Alors bienvenue à toi et bon courage pour finir ta présa !
Love sur toi a thousand words 3358714544

+1, + ton avatar aaaah aaaah bienvenue parmi nous bella pornstach
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 14:53

ah, ça m'fait bien plaisir, les bégééééééés.
Mais, c'est rebienvenue, j'suis d'ici, déjà.
merci, en tout cas, j'vous kiss sur l'molaire a thousand words 3156413753 a thousand words 2735968492 :bedl:
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 17:31

Va y ta fiche ! Trop chouette. a thousand words 3358714544
Ps, merci jacky et Michel. a thousand words 490659465
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 17:33

gracias
de rien.
(coquine va, j'vois pas d'quoi tu parles, j'suis tellement chaste et pure que j'saisis même pas la référence)
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 22:29

(re)bienvenue par ici jolie demoiselle. I love you
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMar 30 Aoû - 23:41

SALUT EXCUSE MOI LA LOI INTERDIT DE FAIRE DES FICHES AUSSK STYLÉES tu vas en prison tout de suite.

Bon mdr des liens (je demande, c'est surprenant et déjà fais) et hâte hâte de voir Jacky en action (et un bisous sur les joues de Perry que j'aime)
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMer 31 Aoû - 5:59

freya est parfaite et puis l'avatar que tu as choisis a thousand words 195239296
rebienvenue a thousand words 3184084084 crazylove
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMer 31 Aoû - 18:12

Re-Bienvenue à toi I love you
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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptyMer 31 Aoû - 21:50

En tant qu'adepte du raccourci Jacky pour Jaqueline je suis fan de ton pseudo ainsi que de l'avatar!! a thousand words 1043588926

Re bienvenue!! :D
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Mads Levy

Mads Levy
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already broken
+ disponibilité rp: dispo.
+ contacts:

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MessageSujet: Re: a thousand words   a thousand words EmptySam 3 Sep - 12:48



Félicitations !

encore un personnage haut en couleurs dit donc a thousand words 659403233 nous faudra un lien avec junior, entre QI élevés :justin:


tu as réussi la difficile épreuve de la fiche de présentation et nous t'en félicitons tous. tu fais partie maintenant et à jamais de we are broken et tu peux en être fière, tout comme nous (a) tous d'abord, tu iras créer ta fiche de liens pour te faire une tonne d'amis, si cela n'est pas déjà fait. cette partie est obligatoire tout comme tu vas devoir te trouver un métier. tu peux bien entendu passer par la partie détente où tu pourras sans modération, flooder à tout va et te faire une tonne de friends, ouais ouais, c'est top ! ne pas oublier la partie rp, parce que c'est ce qui compte le plus par ici. le principal, c'est que tu t'amuses et que ton séjour parmi nous soit des plus agréable. n'oublie pas aussi de remplir entièrement ton profil sous risque de recevoir un petit mp de notre part te le rappelant. amuse toi bien !
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