I don't have time for that pussy shit right now ❁ Mia
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Sujet: I don't have time for that pussy shit right now ❁ Mia Mer 7 Déc - 17:59
Mia Nikonov
21ans
Célibataire
Pansexuelle
Vendeuse de rêve
Mia. Elle a une masse de cheveux bruns et ondulés, les chutes du niagara péniblement retenus dans un épais chignon fouillis dont le maintient ne dépend que de la clémence des cieux. Mia, elle sourit souvent, toujours. ses lèvres sont des églantines épanouies, roses et câlines. Des bouts du monde qui aime à jouer avec la douceur des mots, en arrondir les angles jusqu'à ce qu'ils fondent sur la langue. Une jeune femme à la simplicité juvénile, au rire facile et au verbe accessible. Le genre d'amante que l'on pourrait connaitre sur le bout des doigts, avec son côté mordant, avec son savant croquant. On pourrait, sans jamais réellement y parvenir. Sans jamais faire autrement que d'en effleurer la surface de la pulpe de ses doigts. Parce que sur son visage, il y a des pupilles qui vacillent, des regards perclus de trop de fatigue et des ombres chimériques aux allures chagrines. Après, en fonction de votre caractère, elle réagira différemment – elle est assez malléable de ce côté là. Si vous avez besoin d'une amie, elle sera compréhensive, si c'est de réconfort, elle sera douce, si c'est d'excitation, elle sera allumeuse. Une vitrine honorable pour un secret redoutable.
Libre service
Le labyrinthe de pan: T'es encore là, assit à la même putain de table, devant le même putain de verre, dans ce même putain de bar. T'es encore là, à regarder les mêmes mégots de la même foutue clope qui ressemble encore à celle de la vielle et qui ressemblera aussi à celle de demain. T'es encore là, à te demander si tu aimes vraiment cette ville ou si tu la déteste. Si t'as envie de te barrer sans même te retourner ou juste rester. T'es encore là à te reposer les mêmes questions, sans cesse retourner les mêmes opérations sans parvenir à entrevoir une solution T'es encore là, avec toujours la même main doré qui remplit sans cesse ton verre, le même sourire en coin qui vient faire écho à l'amertume de tes lèvres. Vos cigarettes qui se croisent et s'embrasent. Qui le temps d'un instant se coupe de tout, même de vous même, à soutenir les murs de vos épaules trop frêles, trop fragiles pour toutes ces conneries, des pilier de bar avant l'âge, peut être. Deux gamins déjà trop grands lancés sur la même barque assurément. Toi et Mia. Mia et toi. A déblatérer sur tout et sur rien pour le simple plaisir de tout évacuer. Encore une nuit à regarder la lune et à la désirer sans jamais faire mine de l'effleurer. Un jour prochain, qui sait. - free
Cool kid: Au fond, t'y ferai bien les crocs. Au fond, tout au fond, dans le dos de la demoiselle, t'y planterai bien une dague, fer chauffé à blanc enfouit jusqu'au brûlant des poumons. Entre vous ce n'est pas tendre, entre vous c'est un feu ardent. Haine trop souvent entaché, guerre de tranché pleinement assumé. Mia est la garce. Celle que tu voudrai mettre à terre et qui te le rend bien. La fausse sage dont tu prendras plaisir à arracher le foutu diadème. Un énième cadavre à enfouir dans ton placard, peut-être. Défi de chaque instant, collision - free
Rouge vermeille: Tout débuta par un parapluie. Un parapluie vermeille que vous vous êtes partagé pour ne pas finir trempée un soir d'orage. Un parapluie qui finalement n'aura pas servit à grand chose puisque vous avez finit trempé de la tête au pied, à rire et à vous chamailler pour un oui ou pour un non et à vous pousser du coude pour savoir qui aurait l'immense privilège de ne pas finir avec la moitié du corps soumit aux caprices des cieux. Un parapluie qui au bout de quelques minutes finit fermer et ranger sous un bras alors que vous vous échappiez dans une course effréné. Qui finalement fut oublié. Quelque part des les ruelles abandonnées alors que vous vous défiez d'accélérer pour atteindre le premier café. Tout débuta par un parapluie. Une toile rouge vermeille. - free
Dreamer: Un jour on traversera le pays avec notre sac sur le dos, les bras levés vers le ciel et la mer aux bord des lèvres. Et plus tard, on se jettera dans le lac, en plein hiver et tête la première. Puis on devra danser sous la pluie, en chantant l'hymne national et en pyjama pardi. Et peut-être, peut-être, qu'on prendra également un bain de minuit, quelque part sur les côtes de la Normandie. Oui, avant de mourir on aura beaucoup de chose à faire. Bras dessus, bras dessous et le coeur encore accroché dans nos poitrines. Alors je t'interdis de partir avant de l'avoir finit - free
Homie: Toi et moi, on est toujours fourré ensemble. On n'y peut rien, c'est comme un coup de foudre émotionnelle. Tu as ce grain de folie qui embrase mon quotidien, ce goût du risque et des plaisirs simples. Ensemble nous sommes capable du pire comme du meilleur. Surtout le pire, d'ailleurs. Combien de fois avons nous manqué de rompre les limites? Pour un scandale ou une énième connerie? On joue avec le feu sans pouvoir s'en empêcher, totalement soumit par cette jeunesse débridée.- free
Lost child: Y'a de ces instant où tu ne sais plus ce qui est vrai, ce qui est faux où est le bas où le haut tu vois? T'as de ces moments où t'as l'impression que tu pourrais te fracasser le crâne sans jamais avoir mal. Parce que sous ton crâne justement, c'est déjà un bordel sans nom, une putain d'éternelle combustion. Alors t'as besoin d'un break, j'comprend. T'as besoin du grand silence, la foutue évasion. T'as besoin que ça s'arrête tout ce bordel même pour une poignée de seconde. Alors Mia, c'est ton infirmière. Celle qui te donne les pilules et l'herbes que tu préfères. Mia c'est l'oreille attentive, l'enfant pansement, la femme pardon. Mia elle juge pas, elle s'assoit et elle écoute, elle boit et elle fume comme une renaissance. Mia elle ne vit qu'à travers les brumes de tes pires oublis. - free