LES LONDONIENNES // rave party (tc)

LES LONDIONIENNES

rave party ; topic commun.

LES LONDONIENNES // rave party (tc) NIqoPeh

On a eu pour idée d'organiser un topic commun ouvert en permanence, que chacun gère un peu comme il veut. Si des gens postent vous pouvez leur répondre ou faire un truc de votre côté. Si le topic meurt vous pouvez le relancer comme s'il s'agissait d'une nouvelle soirée. Si jamais vous vous trouvez un partenaire vous pouvez très bien migrer dans un sujet en pv pour plus de tranquillité. D'ailleurs vous pouvez parfaitement ouvrir tout de suite un topic pv, il y a des soirées quasiment tous les weekend donc vous faites comme vous voulez, les soirées sont tout à vous yees

POUR RAPPEL : Les Londoniennes sont organisées par les jumeaux Love, ils se font appeler "L.O.V.E SPRINKLERS" aka "London's Orgasm and Violent Ecstasy Sprinklers".

AMBIANCE : Niveau musique on est sur de l'électro/trance assez hard, comme cette musique par exemple : clique. Niveau lumière il y a quelques néons mais ça reste assez sombre, les gens viennent souvent avec le corps recouvert de motifs fait à la peinture réfléchissante.

Il y a de quoi boire un peu partout, les gens viennent souvent avec leur propre alcool en fait et après tout le monde s'arrange pour faire tourner, gratuitement, contre de la drogue, de l'argent, un peu de sexe. Il y a des canapés pourris installés dans le fond ainsi que différents supports (tables basses, petits meubles etc) qu'ils ont récupéré dans la rue et les gens se mettent ici pour se droguer. C'est fait à la vue de tous, dans une ambiance particulièrement festive. Souvent les gens s'envoient en l'air sur les canapés aussi - et partout ailleurs.

Vous pouvez même vous faire tatouer ou percer sur place, mais c'est fait avec les moyens du bord, ça ne respecte aucune règle d'hygiène alors c'est clairement risqué.

Mais surtout, les soirées sont souvent très violentes. Ça commence par des pogos et ça se termine en baston générale. Certains ne viennent que pour ça : se taper dessus. En règle générale il n'y a pas d'armes, ou quelques couteaux et/ou poings américains mais ça s'arrête là. Ça n'empêche pas de danser ceux qui sont proches de la scène improvisée, chacun fait sa petite vie, chacun vient pour ses propres raisons et tout le monde cohabite en parfaite harmonie.

Les soirées sont sales, trash et finissent toujours mal.
Mais c'est justement ce qui fait venir autant de monde.

La musique qui bat son plein, je saute dans la foule avec les autres, j'ai retiré mon t-shirt y a un moment, il s'est perdu quelque part. J'sais pas où. J'm'en fous. En pleine transe, je secoue la tête, le corps qui vibre au rythme des basses et pendant un instant j'oublie tout ce qui va de travers chez moi. Je libère toute cette frustration et toute cette saleté dans la danse - si on peut encore appeler ça comme ça. Le Bloc n'est plus qu'un immense défouloir, regroupement d'âmes fêlées qui viennent s'unir sur une musique psychédélique. Et je trouve ça putain d'beau. Le sang qui pulse jusque dans mon crâne, qui s'écrase contre mes tempes, je me sens dans un état second, à bout de souffle, en sueur. On se rentre tous plus ou moins dedans, le Bloc est bondé ce soir. Et très vite, ça part en pogo. Je vois Knox qui hurle plus loin, survolté. Il pousse un mec violemment et ça dégénère aussitôt. Je me marre et m'éloigne un peu, pas encore assez excité pour me joindre à leur violence, ça viendra peut-être plus tard. Mais dans la cohue je me fais pousser et heurte violemment quelqu'un qui se fait projeter au sol et qui commence déjà à se faire marcher dessus par les autres. Ils ne voient rien, ne sentent rien, ils sont tous complètement déphasés. Je redescend un peu et me baisse, poussant les corps agités pour attraper la main de la personne et l'aider à se redresser avant qu'elle ne se fasse piétiner.

Invité Invité ☽ ☾

Si ton frère te voyait, il exploserait certainement de rage. Evidement, il t’a interdit de venir. Et évidement, tu ne l’as pas écouté. Qui voudrait rater une Londonienne des frères Love ? Certainement pas toi. T’as piqué une bouteille de vodka à la station-service, hier, parce que le patron ne fait jamais les stocks, et tu as demandé un peu d’acide à ton voisin du quatrième, celui qui fournit maman. T’aurais très bien pu arriver les mains vides. Les tables regorgent d’alcool, et sur les canapés miteux s’entassent les camés, des plus généreux. T’es arrivée il y a moins d’une heure, et tu as déjà plus d’alcool que de sang dans le corps. Comme souvent. C’est devenu habituelle, aujourd’hui, boire jusqu’à oublier ce que tu fais, et recommencer le lendemain. Tu viens de sniffer un rail dans les toilettes des filles, avec une nana aussi vielle que ta mère et tu n’as plus trop les idées clairs. Pourtant, tu retournes au cœur de la fête. La musique hurle et toi, tu déambules parmi les corps désarticulés. Ça dégénère rapidement, comme toujours, et te voilà projeter d’un bout à l’autre de la piste, prise dans un pongo monumental. Ça te fait rire, bouteille à la main, tu te laisses faire, et sans même t’en rendre compte, t’es projetée au sol, tout bonnement, par un type tatoué jusqu’au coup. T’essaies de te redresser, tant bien que mal. Plus mal que bien, finalement. Entre les mecs avec leurs grolles de dix kilos et les talons aiguilles des p’tites gamines, tu n’es pas prête de pouvoir te lever. T’as l’impression de te noyer, non pas dans l’alcool mais dans la foule. Et puis finalement, une main généreuse apparaît, et tu l’attrapes sans demander ton reste. Tu regardes le type, celui qui vient de te pousser, en fait, et tu souris, un peu. « Merci » tu hurles, pour essayer de te faire entendre malgré la musique

(oups @Crash Love j'crois que tu vas devoir supporter Vivi avec toutes tes têtes bierber

)

La main de la fille attrape la mienne, décharge électrique qui remonte le long de ma colonne. Je chasse le démon de ma tête, mais il s'accroche, résiste. J'essaye de ne plus y penser et je hisse la fille pour la remettre sur ses pieds. Elle me sourit, le démon jubile. Disparais, putain. — Merci. Qu'elle hurle pour se faire entendre, toute proche de moi. Ma main serre la sienne un peu plus fort sous l'effet de l'excitation. Merde. Je relâche subitement sa main, dans un mouvement un peu brusque. Ma respiration qui s'emballe déjà alors que je reste d'apparence calme. Je lui souris brièvement, hésite, regarde nerveusement autour de moi. La raison voudrait que je la laisse là et que je retourne me défouler sur les basses. Mais la raison a foutu l'camp. Je repose les yeux sur elle, je traîne longuement du côté de sa poitrine avant de remonter plus haut. Ma main se pose sur son épaule et je l'incite à se mettre en marche. — Viens. Je la fais passer devant et la guide, les deux mains posées fermement sur elle. On s'extirpe du gros de la foule pour rejoindre les canapés. Ils sont tous pris mais je fais de la place. J'attrape deux gars et les oblige à bouger ailleurs. — Dégagez. Ils râlent un peu mais n'insistent pas, ils ne savent pas si je suis Crash ou Knox alors dans le doute, ils obtempèrent. J'encercle le poignet de la fille et l'attire à moi, la faisant chuter sur le canapé en même temps que moi. Je sors deux clopes et mon briquet, j'en cale une entre mes lèvres et je lui tends l'autre. — T'veux ? Je la laisse prendre la cigarette et lui allume avant de faire pareil avec la mienne et de ranger mon briquet. Mon regard glisse sur ses jambes - mon sang pulse de plus en plus vite. De ma main libre j'attrape son mollet où flamboie une trace de chaussures, je viens le caler sur ma cuisse et passe la main dessus. — Ç'va ? Pas trop mal ? Rien à foutre qu'elle ait mal en réalité, j'ai juste envie de toucher.

Invité Invité ☽ ☾

T’as un peu l’impression d’être un paillasson, là, tout de suite, et ça te plait pas franchement. T’aimes pas qu’on ne s’intéresse pas à toi. Et puis, t’es une chochotte. Gamine, tu chialais quand on t’enlevait un pensement, alors imaginez. Heureusement, y’a cette main salvatrice et tatouée qui te vient en aide, et tu l’attrapes avec plaisir, pour te retrouver nez à nez avec le livreur de pizza, que tu fais tourner en bourrique depuis des mois. T’as un sourire mutin qui vient fleurir tes lèvres alors qu’il t’entraine à sa suite, vers les canapés. Tellement romantique. Cendrillon n’a qu’à se rhabiller. Tu t’assoies près de lui. T’as pas trop le choix en même temps. « T’es le livreur de pizza non ? » tu lui d’mandes, pour être sûr, quand même. « Tu me dois une part, d’ailleurs. » après tout, la dernière fois, il en a bouffé une en montant les escaliers, et t’en veux pour ton argent. Il te propose une blonde, et t’es qui pour refuser, Vivi ? Tu la prends en hochant la tête, avant d’inspirer longuement. T’as les yeux fermées. Tu fais ça, quand tu fumes. C’est bizarre, ouais. Mais t’as pas l’impression de vraiment fumer si tu ne fermes pas les yeux. Tu sens sa main, sur ta jambe nue -tu portes une robe aujourd’hui- et tu frisonnes avant d’ouvrir les yeux. T’essaies de croiser son regard en faisant la moue. « ça fait super mal » tu dis, avant de reprendre « mais grâce à toi, c’est déjà mieux. »

Tu n’avais besoin de rien d’autre quand tu avais la musique pour te rouler sur l’corps et jeter ton cœur au malaxeur. T’avais depuis longtemps arrêté d’essayer de garder l’contrôle ; sur le rythme des basses vindicatives, tu avais lâché prise.
Trop longtemps que tu n’étais plus venue, peut-être même plus la bienvenue. Rien à foutre. L’bloc, c’était comme un cœur à vif, exposé à la nuit, la sono débridée. Meilleur que tout ce que t’avais pu connaître jusqu’à maintenant. Une fois qu’on y avais gouté, on ne parvenait plus à s’en passer. C’était du moins ton avis sur la question alors t’avais rien demandé à personne, tu t’étais glissé dans la foule, tout juste quelques gorgées de vodka au fond d’ton gosier pour te mettre bien. T’avais pas b’soin de plus finalement. Juste de ce son qui pulsait déjà dans tes veines pour ne plus faire qu’un avec toi. C’est pas toi qui bougeais, t’avais pas à gouverner, y’avait juste les basses, la nuit et toi. C’était un duo que tu n’étais pas certaine de vouloir partager. Personne pour te faire vibrer. Pas comme ça.

Il était hors de question pour Joland de rater la moindre de ces soirée. Les Londoniennes... véritable concentré de chaos, musique trop fort, alcool, violence et débauche. Clairement il y avait dans ces soirée tout ce qu'il y avait de plus néfaste... et c'était exactement ce qui les rendait exceptionnel ! Ici il n'était pas question de retenue ou de ce genre de connerie, la seule idée était de s'éclater dans l'excès le plus totale jusqu'à ce que ce soit le corps lui même qui cède. Joland adorait ça, Joland adorait l'ambiance, mener son corps et son esprit à bout, danser sur ces sons violent jusqu'à ne plus rien entendre d'autre. Bref les Londoniennes... c'était un peu son exutoire, sa manière de se défouler plus encore que jamais de ses journées pourris, remplissant son gosier d'alcool, glissant sous sa langue quelque cachetons, s'envoyant parfois en l'air sur un des canap du fond avec toute la salle pour spectateur. Et plus que tout... il connaissait les Love ! Merci à Seven pour ça et au milieu de cette plèbe il se sentait comme un putain de prince qui, la soirée fini, pourrait totalement aller chuter chez eux quand les autres devraient ramper jusqu'à leurs taudis. Alors certes ça les gens n'en saurait rien sans lui parler ou les voir mais... le simple fait d'y penser le faisait se sentir heureux, spécial. Eh ouai, c'était un VIP lui au moins bande de raclures ! Mais pour le moment il n'avait pas envie de retrouver les frères, il voulait déjà se mettre bien pour commencer. Ce fut donc tout naturellement qu'il se dirigea au bar avant de demander un bon gobelet de bière... qu'il avala cul sec... en redemandant un autre avant de regarder la personne à côté de lui qui semblait la fixer « Quoi ? T'as jamais vu un gringalet s'enfiler 50cl de bière en quatre secondes ? Tsssss... »

— T’es le livreur de pizza non ? Je hoche la tête par réflexe, c'est pas tout à fait un mensonge. J'suis bien livreur de pizza. Juste, pas le même. — Tu me dois une part, d’ailleurs. Je hausse un sourcil, petit sourire mesquin en coin de lèvres alors que je me demande ce que Knox a bien pu foutre. Je hausse les épaules, pas convaincu. — J'viens d't'sauver, j'crois qu'on est quittes. Je la fixe, sûr de moi. Sa vie contre une part de pizza, ça me semble plutôt équitable. Elle a même le droit à une clope gratos, on pourrait presque dire que c'est elle qui m'en doit une désormais. Mes lèvres se pincent dans un mouvement de satisfaction, alors que je me sens en parfait contrôle de la situation. Pourtant ce n'est qu'une illusion, j'le sais. Je sens bien la tempête qui bouillonne en moi, qui me fait perdre mes moyens et ma notion du bien. Je n'arrive même pas à lutter contre, je me laisse totalement envahir, cédant terriblement facilement. L'ambiance des rave n'a jamais eu un effet très positif sur moi. Encore moins quand j'me retrouve si proche d'une fille comme ça. Ma main qui attrape sa jambe sans hésiter alors qu'elle ferme les yeux. Je deviens entreprenant ; impatient. Elle s'laisse faire et pour moi, c'est comme un feu vert. — Ça fait super mal. Qu'elle minaude, en faisant une petite moue. Et son air de gamine m'excite un peu plus, je me crispe, ma main qui se tend sur sa jambe. — Mais grâce à toi, c’est déjà mieux. Je réprime un sourire foutraque, ma respiration qui s'accélère. Je serre sa jambe un peu plus fort et tire dessus pour l'attirer toute proche de moi, ma main libre se cale derrière sa tête pour l'obliger à se pencher vers moi alors que je plonge ma tête dans son cou, pour venir recouvrir sa peau de quelques baisers brûlants. Ma main sur sa jambe devient de plus en plus sévère, la pression augmente au fur et à mesure que je bascule, et je sais déjà que y a plus de retour possible.

Invité Invité ☽ ☾

T’es pas si con que ça, Vivi. Tu vois bien que ce type ne se comporte pas du tout comme d’habitude, avec toi. Mais bon, tu te dis simplement qu’il doit être aussi déchiré que toi, qu’il ne t’a peut-être même pas reconnu. Tu hoches cependant les épaules quand il te répond. « On rigole pas avec la pizza. » tu lui dis même si honnêtement, tu t’en fous un peu. Il te propose une clope, tu acceptes et tu savoures. C’est la fin du mois, ton paquet est fini, alors tout est bon à prendre. Alors que tu fermes les yeux, tu sens sa main sur ta jambe, et un sourire mutin étire ses lèvres. Il n’est pas là pour rire. Il fait mine de s’inquiéter pour ta pauvre cheville et tout s’accélère. Sa main se sert, un peu plus, tu t’approches, plus encore et bientôt ses lèvres cherches ta peau, au milieu de tes cheveux dorés. Tu souris, cherchant de la main un cendrier où quelque chose comme ça, mais tu finis par laisser tomber le cadavre de ta clope à même le sol, tandis que ta main descend le long de son torse, pour venir cajoler celui qui semble déjà bien heureux d’être là. Tu sers doucement son paquet avant de rire. « Eh bien, ça ne rigole pas, avec toi. » tu dis dans le creux de son oreille, tandis qu’il marque ton cou, ta peau laiteuse, ta clavicule. Et il est doué, avec ses lèvres, avec sa langue. Tu mords légèrement la tienne, pour te donner contenance. « Tu ne veux pas qu’on aille dans un endroit plus tranquille ? » tu lui demandes, finalement.

NOUVELLE SOIRÉE

J’aime perdre le contrôle autant que lui déteste. J’me suis explosé le crâne dans les chiottes, Crash me tient par les côtes pour pas que je m’écrase sur la lunette des chiottes. J’ai cru mourir l’espace d’une seconde, finalement j’me relève un peu trop vite et on s’écrase tous les deux contre la porte mal verrouillée, on percute un type qui attend depuis une heure derrière nous. Hey mais faites gaffe ! J’me retourne, pupilles éclatées vers lui, cogne mon front contre le sien, le défi. Qui qu’est-ce’t’as ? T’as un ‘bl!ème ? Je dérive de trois pas sur la gauche, j’ai plus de centre, j’ai plus d’équilibre. Crash en a pour moi. J’sais pas si c’est lui qui m’arrache du type ou si c’est simplement notre alcoolémie trop élevé, mais je regarde de travers le type en nous éloignant. On attrape nos pintes qu’on a laissé sans surveillance sur les lavabos, et je m’accroche à lui. J’ai besoin de le sentir, là, contre moi. C’est encore plus épidermique quand je prends de la MD. J’colle ma tête contre la sienne, et m’accroche à ses épaule on sort de traviole des toilettes. Le musique s’écrase sur nous. Je vibre de l’intérieur, mes os sont littéralement entrain de trembler. Par réflexe je me secoue de tout mon être à contre temps et gueule les paroles qui me viennent naturellement. On renverse la moitié de notre pinte, on recule de trois pas en arrière pour essayer d’épargner nos baskets. Je ris et prends une grande gorgée après avoir trinqué. Décompression. Les corps se bousculent. Le bloc est survolté ce soir. Plus que d’habitude. C’est dingue comme on a réussi si vite. Fulgarance. On est doué. On est très doué. Marchand de sables de âmes bridées de cette ville gangrénée. A croire que les ricains attendaient deux british pour commencer à s’amuser. Du monde, partout. On s’écrase contre le long comptoir du fond de la salle. J’y pose ma pinte à moitié bu, je secoue encore machinalement sur le rythme, comme si mon corps était en surchauffe et qu’il pouvait pas s’arrêter de gigoter. J’zieute le coin tatouage en face. J’ai une terrible envie d’y faire un tour, mais j’attends encore un peu pour y traîner Bandi. En attendant y a cette nana, ça fait plusieurs fois qu’elle nous drague. Qu’elle nous r’garde de loin. J’donne un coup d’coude à Crash et lui indique du menton, de manière plus ou moins discrète. Eh, r’garde. Qu’il décompresse autant que moi, j’sais bien que tant qu’il a pas sa dose il l’est jamais complètement, détendu.

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