⊹ life can hurt ▹ posts envoyés : 125 ▹ points : 62 ▹ pseudo : solosands ▹ crédits : vert alligator ▹ avatar : joe keery ▹ signe particulier : toujours en costume, mais souvent en bras de chemise. Toujours un brushing parfait, accordant trop d'importance à ses cheveux.
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| Sujet: lovers plotwist (juliet) Lun 3 Sep - 18:07 | |
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dénudée beauté amère → Juliet, c'est un peu tout, c'est un peu rien. Juliet, c'est l'alpha, son oméga aussi. Un pilier, à n'en pas douter, et une envie irrépréhensible de toujours la serrer dans ses bras, l'avoir contre lui. Une envie de tout lui raconter aussi, sans jamais y parvenir, sans jamais être doué pour s'exprimer face à une femme de caractère. Une femme de caractère, peut-être qu'il lui fallait une femme facile, et que sa vie aurait été plus docile, qu'est-ce qu'il en sait. En tous les cas il ne dort pas à leur appartement. Ils ne sont qu'en coloc, il n'a aucun compte à lui rendre, elle ne pourra pas lui demander pourquoi il dort toujours ailleurs, pourquoi il n'est jamais chez eux, pourquoi il l'évite. Il n'aura pas à lui répondre. Pourtant ce matin là, quand il se réveille sur le canapé de son cabinet, il s'en veut. Ca fait plusieurs jours qu'il l'évite, qu'il n'ose pas la croiser en face, qu'ils ne se voient qu'au cabinet, pour travailler sur les travaux, bientôt finis. Pour travailler sur leur univers, qui prend vie. Doucement, il se redresse, se fait un café. En bat, il entend la ville qui est bien réveillée. Il se fait un petit déjeuner rapide, puis sans réfléchir, descend, monde sur sa vespa, et s'élance à toute allure jusqu'à chez lui. Chez eux plus tôt. Et quand il ouvre la porte, elle est là, en train de jouer du piano. Elle a pris la bonne habitude de ne pas travailler tout le temps, de travailler de 9h à 12h, et de 15h à 18h, un bon rythme de travail, certainement. En tous les cas, il est impressionné par sa rigueur. Lui n'a jamais su se mettre de barrières. Elle est là, pianotant, raturant une partition qu'elle écrit. Elle s'arrête, le fusille du regard. " Hey... ?" Il fronce les sourcils. Il croit, à tord sans doute, qu'elle l'assassine de ses yeux sombres parce qu'il la coupe dans son inspiration. " Désolé. Je file si tu veux être tranquille."
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