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| Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy | |
| Auteur | Message |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Mer 14 Juin - 22:36 | |
| Ouais, ouais, je sais, j'ai pas vraiment la gueule de l'emploi. Mais croyez moi, c'est un avantage. Non mais sérieusement, vous m'avez vu? Personne ne se méfie jamais de moi. C'est ça le truc justement. C'est une grande partie de ma force. Et mon cerveau aussi. J'ai appris un truc récemment. Enfin plutôt, je me suis rendu compte d'un truc. Ici, dans le milieu dans lequel je vis, pas besoin de gros muscle quand tu as un cerveau. Par exemple: pourquoi me battre avec un mec costaud et me faire défoncer, quand je peux obliger un mec encore plus costaud à le défoncer lui? Logique non? En plus il faut dire que les gens d'ici, ce n'est pas vraiment des lumières. Et la came que je leur refourgue leur grille encore plus le peu de neurones qu'ils ont. Moi je suis bien trop intelligente pour toucher à ses merdes. Un joint de temps en temps à la limite mais c'est tout. C'est de l'or en barre pour moi. Mon or blanc. Je n'allais pas le gâcher non. Et puis, j'ai de meilleures stratégies de ventes quand je suis parfaitement sobre. Tout ce qui compte c'est ça, faire tourner mon bizz.
J'étais entrain de surveiller les mecs que je paie pour repartir les kilos de coke en sachet individuel. Parce que des fois qu'ils s'en gardent un peu pour eux, on sait jamais. Hors de question qu'ils prennent le moindre gramme sans raquer. Ouais donc j'étais tranquillement la, quand le mec qui surveille la porte arrive. Un certain Wael est la et il voudrait me voir. Wael. Je l'attendais celui la. Je savais qu'il allait finir par se pointer.
Wael, c'est le premier mec que j'ai rencontré dans la rue. J'avais seize ans, je venais de m'enfuir du foyer. Rien ne saurait être pire que cet endroit. Ça faisait une semaine que j'étais dans la rue. J'essayais de ne pas montrer à quel point j'étais terrifiée. Parce que si les autres s'en rendaient compte, ils allaient me bouffer toutes crue. Alors j'ai jouer la dure. Je me souviens de la façon dont il est venu m'aborder. Il voulait juste me baiser. Au moins, il ne passait pas par quatre chemin. J'allais lui dire d'aller se faire foutre, que je ne suis pas une pute, et que je n'ai que seize ans. Mais ensuite il s'est passé plein de truc dans ma tête. J'étais vierge. Et autant que je le fasse la première fois en étant consentante avec un mec pas trop degeulasse. Ça sera toujours mieux que de me faire dépuceler par un vieux mec au coin d'une rue. Et puis, si il croyait vraiment que j'étais une pute, il allait me payer. Ouais ouais, j'avais déjà laissé tomber l'idée d'une première fois magique avec un mec génial et tout. Bon, ça sera lui alors. Je me souviens encore de ce que je lui ai dis: Je baise pas dans la rue, ni dans un voiture. Chez toi, ou un hôtel. Sinon, t'ira te chercher une des grosses vaches là bas. Ouais, je savais que je pouvais jouer de mon physique. Qui résisterait à ce corps de poupée?
C'est ainsi que j'ai perdu ma virginité. Je n'y ai pris aucun plaisir. Au contraire. C'était brutal et douloureux. J'ai souffert le martyr cette nuit la. J'ai retenu mes larmes pendant tout ce temps. J'ai récupéré le fric et je suis partie. Mais il a apprit que je me suis foutue de sa gueule et que je n'étais pas une pute. Il refusait d'avoir raquer autant pour une fille qui n'était pas du métier. Il s'est vengé. Mais je n'allais pas en rester là. Moi aussi je me suis vengé. Je me suis introduite chez moi pour lui voler du fric et des affaires. J'étais entrain de revendre son flingue quand il m'a retrouvé. Ouais j'ai bien ramassé. Mais lui aussi. Je n'étais pas du genre à me laisser faire malgré ma taille. Bref, après ça, je vais survoler les détails mais j'ai fini par vivre chez lui, mais juste pour que je bosse pour lui. Rien de romantique dans cette cohabitation. C'est juste que chacun y avait son intérêt. On baisait parfois. Mais quand c'etait fini, chacun retournait de son côté du lit, sans se parler, sans se toucher. Il a été le seul mec avec qui j'ai baisé pendant longtemps. J'étais vierge, c'était le premier, et même si c'était degeulasse, je ne me voyais pas déjà coucher avec un autre. Et puis je le trouvais beau, fort, il n'avait peur de rien, c'était rassurant d'être avec lui. J'ai du développer une certaine forme de syndrome de Stockholm, la nana amoureuse de son kidnappeur. Sauf qu'il ne m'a pas vraiment kidnapper, de que je n'étais pas amoureuse de lui. Bref, arrêtons nous la pour cette partie. Quelques temps plus tard il est tombé au trou. Et moi j'ai repris son affaire. Je bossai pour lui, il m'a tout appris, je connaissais tout les fillons grace à lui. Et pendant qu'il pourrissait pendant cinq ans, moi, j'ai encore appris des choses. Et aujourd'hui, on peut dire que l'élève à dépassé le maître.
J'entends ses pas arriver. Puis il est la. Ça fait bizarre de le revoir. On a pas mal vécu ensemble. Puis on ne s'est plus vu pendant presque six ans. Je ne suis jamais allé le voir en taule. J'aurai pu. Mais c'était le moment où jamais de me détacher de lui. Je n'avais pas besoin de ça. De l'attachement. C'était pour les faibles. Je le regarde dans les yeux, je le défie du regard même.
Wael... T'en a mis un temps à me retrouver... Je t'ai manqué? Ton obsession pour moi est flatteuse...
Je dis ça juste pour l'emmerder évidement. Je lance un rapide regard aux mecs qui bossent pour moi.
Dégagez.
Si Wael avait un truc à me dire, je n'avais pas envie que ces ploucs l'entendent. Et si ça tourne mal, j'ai un gorille derrière la porte et un flingue à portée de main... |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Ven 16 Juin - 21:46 | |
| Tu sais qu’elle est là. Pas loin. Qu’elle se cache. Tu la cherches déjà depuis un moment. En fait, quasiment depuis ta sortie de taule. Parce que tu sais qu’elle est toujours en ville. Qu’elle a continué. T’as des contacts qui te tienne au courant de ce qu’il se passe en ville. Déjà même en taule. Y avait des rumeurs, comme quoi elle t’avait piqué tes affaires. Qu’elle te piquait tes clients. Soit, fallait bien les fournir et toi t’était plus là. Mais ça n’empêche que tu l’avais eu mauvaise. Elle t’avait doublé. Alyssa. Cette gamine paumée. Que t’avais repêché dans la rue. Que t’avais baisé quelques fois. La seule meuf qu’avait vécu un temps avec toi. Comment t’avais pu la supporter ? Toi qu’aime pas les meufs. Du moins qui veut rien avoir à foutre avec elles. Juste les baiser. Puis payer. Tu vas qu’aux putes toi. Elle s’était d’ailleurs fait passer pour l’une d’elle la première fois. Elle t’avait bien niqué la garce. Elle t’avait piqué de la thune. La sale merdeuse. Elle avait pas fait la maline bien longtemps. A vouloir te piquer ta came. Et puis des trucs chez toi. T’avais vite fini par montrer les crocs. Le vrai toi. Comme toujours. T’es le gars qui pète les plombs trop vite. Qui se jette sur sa proie trop vite. Qu’attaque sans laisser l’occasion de contrer. T’es un sanguin toi. T’avais fini par la retrouver. T’avais mis un peu de temps, c’est vrai. Mais parce que t’avais besoin aussi de mettre deux-trois trucs au clair. T’avais besoin d’un peu de thunes à la sortie. T’avais retrouvé tic et tac. Les deux cons du dog. Tu t’étais un peu refait grâce à eux. Un peu de pognon à planquer sagement dans le taudis qui te servait de piaule. Juste histoire de dire de survivre un peu. Au début. Puis te fournir à nouveau et retrouver tes clients. La surprise quand certains t’ont envoyé chier. Parce qu’y avait Alyssa sur le marché. Et qu’elle les fournissait déjà régulièrement. Alors toi, tu t’es juste retrouver comme un con. Y a ta réputation qui te précède. Maintenant t’es le gars qui bute. T’es celui qu’a pris cinq ans. Celui qui dévisage. Celui qui s’acharne et à qui faut pas faire de misère. Parce que t’es impitoyable qu’ils disent. Le monstre de Savannah comme ils t’appellent.
Tu te traînes dans river street. Tu sais qu’elle crèche dans le coin. Elle aurait pu se faire plus discrète. Tu connais tout le monde. Et tout le monde te connaît. Toi. Waël. Les gens osent pas te regarder en face quand ils te croisent dans la rue. Parce que dans les rues malfamés, y a que des gars bizarres qui traînent. Et toi, t’as la tête du criminel. Comme si t’étais encore en combinaison orange. T’arrives vers l’entrepôt, que tu ne connais que trop bien. Quand t’entres dans le local, tu tombes sur un type. Pas très grand. Style chien de garde. T’as pas besoin de te présenter parce que le gars te regarde du coin de l’œil avec l’air presque étonné. Comme si il savait que t’allais venir. T’as pas la gueule du client. Puis quand il passe la porte et que tu l’entends parler. Quand t’entends sa voix, celle d’Alyssa, tu sais que tu t’es pas trompé. Qu’elle est bien là. A t’attendre. Alors t’avances. Le pas pressé, l’air décidé. Avec un air impassible flanqué sur la gueule. Prêt à récupérer ce qui t’es dû. Si elle t’avait manqué. « Pas le moins du monde, rassures toi. » Comme si c’était possible. Que quelqu’un te manque. A toi. Elle a toujours cet air de gamine. Forcément, cinq ans se sont écoulés. Mais elle fait toujours aussi jeune. Aussi pucelle. Pas le genre de gros caïd. D’où le besoin des chiens de garde. Ceux qu’elle fait dégager dans la foulée. « En cinq ans, t’as dû amasser pas mal de pognon. Je viens chercher ma part. » Elle te pique tes clients, t’as bien le droit de réclamer ta part du marché. T’es légitime. Et tu repartiras pas sans. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Sam 17 Juin - 1:40 | |
| Je l'attendais de pied ferme. Ça fait huit mois que j'attend cette visite. Ça fait même cinq ans que je m'y prépare. Depuis ce jour où j'ai décidé de reprendre son affaire. Je savais qu'il allait vouloir me retrouver pour ce que j'ai fais, je savais qu'il allait vouloir se venger. Et je m'étais préparé à cela. Parce que je le connaissait. Nous n'avons jamais vraiment été amis. Notre relation n'était pas commune. C'était un mélange relation : prof à élève, colocataires, baise, et tout un tas d'autre truc sur lequel je ne saurai mettre le doigt. Parce que j'ai toujours eu une forme d'admiration pour lui. Et quelque part, je lui étais aussi reconnaissante de m'avoir sorti de la rue. Bon, ce n'est pas comme s'il s'était occupé de moi non plus, mais il m'a quand même sorti de la merde et m'a offert un toit. Et en échange, je baisse avec lui. Mais ça a finit par ne plus être juste une "récompense" pour lui. Parce que j'ai finit par y prendre goût. Au début je me forçais beaucoup. Ensuite un peu moins, puis beaucoup moins. Et j'ai commencé à aimer ça, de plus en plus, et j'ai fini par être en manque de lui. Puis il est allé en taule. Et je me suis sevré de lui.
Il est la. Sa voix. Ses yeux. Cet air dur, ce pas déterminé. Il n'a pas changé. Il est toujours exactement le même. Je ne peux pas m'empêcher de le provoquer, de lui chercher la petite bête. Un sourire en coin, provoquant et défiant, naît au coin de mes lèvres, quand il répond à ma question.
Allons... pas la peine de nier l'évidence bébé. T'as du penser souvent à moi en t'astiquant la queue dans ta cage.... C'est qu'on en a fait des trucs degeulasses toi et moi.
Je le cherchait, encore et toujours. Le jeu du chat et de la souris. Un grand classique entre lui et moi. J'observe un instant ces tatouages. Ils sont exactement comme dans mes souvenirs. Quand il me tournait le dos dans le lit, comme presque toutes les nuits, je pouvait passer des heures à regarder ses tatouages. Je m'endormais en essayant de déchiffrer ce qui n'avait probablement aucun sens. Et parfois, quand il dormait profondément, je les touchai, je les dessinai du bout des doigts. Il ne l'a jamais su, du moins je crois. Sinon il m'aurai ordonné d'arrêter ça. Bien que se soit devenu plutôt courant aujourd'hui, c'est quelque chose qui m'a toujours fasciné, les tatouages. Un rire sans joie m'échappe quand il parle de sa part. Quelle part? Je fais quelques pas dans la pièce avant de m'assoir à peine sur l'accoudoir du canapé avant de planter mon regard dans le sien.
Je peux comprendre ta position. Je t'assure. Mais les choses ne se passent pas comme ça Wael. Ce n'est plus toi qui tient les rennes aujourd'hui. Tu peux soit accepter que tu as perdu, soit tenté de m'entuber, mais tu te feras niquer le premier, ça je te le garanti. Si je tombe, tu tombe avec moi Wael. Alors réfléchis bien.
Je ne suis plus la gamine craintive qu'il a trouvé dans la rue il y'a six ans. Il faut qu'il s'y fasse. De nouveau, je plante mon regard dans le sien. Un sourire bien plus charmeur apparaît cette fois sur ma bouche.
Mais je peux t'offrir un lot de consolation...
Si ça pouvait faire en sorte qu'il laisse mon affaire tranquille, je pouvais bien me le taper encore une fois. Il faut dire que c'était carrément torride lui et moi, à l'époque....
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Ven 30 Juin - 0:44 | |
| Elle commence déjà à te pomper l’air. A peine avait-elle ouvert la bouche que tu commençais déjà à t’échauffer. Davantage encore quand elle te donna ce surnom ridicule. Bébé. « Tu te crois le centre du monde ? Comme si j’avais eu que ça à foutre de penser à toi. J’étais enfin débarrassé, tu sais. » Et ça t’avait fait le plus grand bien, faut dire. Tous ses problèmes de gonzesses à oublier. « Par contre, toi, t’as pas changé. Tu fais toujours aussi gamine. Quand est-ce qu’ils vont se décider à pousser ces deux-là ? » Rire noir. Faut la piquer un peu dans son estime. La gamine. Tu fais un rond avec ton doigt dans sa direction. Vous êtes seuls maintenant et tu peux facilement l’observer. Celle qui se prend pour la plus puissante du quartier. Pas capable de briser une aile à une mouche. Enfin tu crois. Même si vue son gabarit, t’es pas certain de risquer grand-chose de sa part. Sauf si elle est armée. Ce qui ne t’étonnerait pas. Mais t’es toujours un bien meilleur tireur qu’elle. Alors tu t’en fais pas trop pour le moment.
« Parce que tu crois être la reine du quartier ? » Tu peux pas t’empêcher de te foutre de sa gueule. « Tu fais peur à personne. Surtout pas à moi. Tu me connais donc si mal, ça m’étonne. Si je veux, je peux te cramer. » Faut toujours se méfier de l’eau qui dort. « Tu pourrais me montrer un minimum de reconnaissance, je t’ai faite à ce monde. Et c’est comme ça que tu remercies un vieil ami ? » C’est malpoli. Tu serais presque déçu d’elle. Même si en soit, tu t’en balances. Parce que dans tous les cas, même si elle te balance aux flics, tu la fais tomber. Ça va dans les deux sens. Et pour ta défense, t’as un sacré paquet d’infos à livrer à son sujet. Faudrait pas qu’elle te prenne pour un con trop longtemps. T’es pas un amateur dans le coin. T’assures toujours tes arrières. Et bien comme il faut. Qu’elle ne s’en inquiète pas, surtout. « Je vais être raisonnable, je prends 50%. Et je te laisse continuer tranquillement. » Tu pourrais tout lui prendre. T’es un gars impitoyable en affaire. Tu lâcheras pas le coup. 50%. La moitié, c’est rien par rapport à tout le fric qu’elle a pu se faire sur ton dos ces cinq dernières années, la garce. « Désolé mais je suis pas intéressé. » Nan, t’as pas envie de te la faire. Juste de la niquer en lui piquant son fric, ça ira. Rien qui implique de contact en fait. Tu te l’ai faite tellement de fois par le passé, que ce serait comme dépoussiérer la bête. Et rien que d’y penser, ça te file la gerbe. Ça te donne envie de te foutre encore une fois de sa gueule. De lui rire en plein nez mais tu te retiens. Faut être implacable en affaire. Rester sérieux et presque stoïque. Tu campes sur ta position. Pas la peine de te faire du charme, ça marchera pas. Ça marchera plus. Plus cette fois. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Sam 1 Juil - 13:15 | |
| J'aime ça. J'aime tellement ça! Le chercher, le pousser dans ses retranchements, lui faire péter les plombs, le rendre complètement fou. J'arquais un sourcil et je souris de manière plus que provocante quand il me demande si je me prend pour le centre du monde.
Seulement du tien. Si tu n'aimai vraiment pas ma présence, pourquoi tu ne m'a jamais jeté avant d'aller en taule? Parce que dans le fond, t'adorais ça. Notre petite vie tout les deux. On avait nos petites habitudes. Ça te faisais quand même plaisir de rentrer et de retrouver ta petite poupée. Tu peux bien prétendre le contraire, je sais que tu m'aime bien dans le fond.
Tout. Chaque parole n'était que provocation. Je crois qu'il se fiche pas mal de nos habitudes. De toute façon c'était il y'a bien longtemps. Mais je voulais juste le rendre dingue. J'éclate de rire quand il tente de m'attaquer sur mon physique. J'ai beaucoup trop confiance en mon physique pour être vexé de ça. Surtout venant de lui. Il ne s'en plaignait pas il y'a quelques années.
Le jour où ta queue se décidera à en faire de même. La je retombe cinq ans en arrière. Il se fout de ma gueule et moi de la sienne. Il me dit que mes seins ressemble plus à des piqûres de moustique et je lui dis que sa queue n'est pas plus grosse qu'un macaroni. C'était du Wael et Blake dans toute sa splendeur. Ouais, même lui ne connaissait pas mon vrai prénom. S'ils sont si petits c'est parce que tu leur manque. Ils grossissent à ton contact. Comme ta queue avec moi. Un nouveau rire à la fois amusé et moqueur.
Je sais que je ne l'impressionne pas. Et c'est bien ça le soucis avec lui. Il ne se méfie pas des bonnes personnes. Il croit encore que le plus dangereux est le plus fort, le plus imposant, le plus costaud. Il se trompe. Il est tellement loin du compte. Tout est dans la tête, dans le contrôle, dans la manipulation, la stratégie. Et ça, tant que Wael ne l'aura pas compris, il sera hors circuit.
Oh, mais moi je veux juste être la reine de ton coeur Wael. Même si je doute que tu en ai un.
J'avais dis ça de manière tellement ironique et moqueuse. La reine de son coeur. Mon cul ouais. Je crois que je devais écrire un livre : "Comment rendre fou Wael Martz en dix leçons". Je crois que je vais vraiment le faire exploser. J'aime ça, quand il part en vrille.
Je te connais trop bien au contraire. Tu fonce toujours tête baissée, sans réfléchir. C'est justement ça ton problème. C'est pour ça que les mecs comme toi se font serrer et mettre en taule, et pas les filles comme moi. Quoi que je doute qu'il y est d'autres filles comme moi...
Ce n'était pas de la vantardise mais juste un constat. J'étais dans un milieu quasiment exclusivement masculin. Et ça m'allait bien. Je préfère les mecs aux filles. Bien moins prise de tête. Je crois que c'est pour ça que Wael a supporté de vivre avec moi quelques temps. Sous mes airs de poupée flinguée, je suis un vrai mec.
Oh mais je te suis reconnaissante. Je ne serai pas là sans toi. Je le sais très bien ça. Et je pourrais te remercier... Je le regarde de haut et bas, lentement, insistant sur son entrejambe. ... d'un million de façons. Mais tu ne verra pas la couleur du moindre centime. Puis j'ai une idée. Ça me frappe comme une évidence. Et si on s'associait toi et moi? Avec mon cerveau et tes poings, on règnerait sur toute la ville. Ont serait invincibles ensemble. Ont serait comme Sid et Nancy. On vivrait de drogue, de baise et de violence. Trop tentant!
Cette histoire d'amour destructrice, puissante et violente entre Sid des Sex Pistols et Nancy m'avait toujours fasciné. Même si à la fin, Sid finit par buter Nancy dans une chambre d'hôtel. Ah L'amour passionnel... C'était quand même un marché raisonnable non? Je le connais trop bien Wael. Je sais ce qui lui plais. Je sais ce qui le fait vibrer. Je l'ai dans la peau ce mec là. Je ris quand il dit ne pas être intéressé par ma précédente proposition.
Mais enfin, tu vas finir me vexer, voyons. T'aurais du venir me voir quand t'es sorti de taule en rut. On aurait baisé comme des bêtes jours et nuits. Et ça ne t'aurai pas coûté le moindre centime. J'envie les putes qui ont pu profiter de ton corps en manque, les chanceuses. Ça devait être carrément démentiel.
C'est vrai qu'on se serait vraiment éclatés. Bien que je sois certaine qu'il va prétendre le contraire. Il préfère payer les putes plutôt que de revenir à moi. Probablement question de fierté. Franchement je peux comprendre. Moi qui fait passer ma fierté avant tout le reste. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Jeu 13 Juil - 11:59 | |
| Cette fille est d’une vulgarité sans nom. Elle est encore plus renfrognée qu’avant. Dans tes souvenirs, tu la voyais bien plus naïve. Dieu sait ce qu’il s’était passé pendant ton absence. Mais cette fille devant toi, ne va pas lâcher l’affaire d’aussitôt. A ton grand désespoir. Elle veut te faire perdre pied, elle veut t’énerver et elle sait même comment faire. Mais tu vas pas la laisser faire. Ca lui ferait trop plaisir de te voir vriller en moins de deux. T’as besoin de rester calme, parce que sinon, rien de bon n’en ressortira. Si ce n’est la fureur de tes poings et la noirceur de tes mots. Et ca te fait rire quand elle dit que tu l’aimais bien. Quand tu la prenais sur le canapé, ouais. Ca t’aimais bien. Mais faut qu’elle arrête de se prendre pour la reine de ton cœur. Tu t’en es tapé d’autres depuis elle. T’as vu bien mieux qu’elle d’ailleurs. « Dans mes souvenirs, elle te faisait du bien pourtant. C’est qu’elle était pas si affreuse. » Elle veut te piquer. Peut-être blesser ton estime ou abaisser ta fierté. Mais elle est pas encore arrivé au bout. Il en faudra plus pour y arriver même si elle t’agace quand même. Légèrement. « La reine de mes couilles à la limite. Mais tu t’es fais détrôner chérie. Depuis longtemps même. » Tu peux pas t’empêcher de sourire. Un léger sourire mais bien présent. Tu te fous bien de sa gueule. Mais c’est vrai. T’avais plus besoin d’elle. T’avais ta Nadja ; ta pute régulière avec qui tu t’amusais déjà bien assez. « C’est vrai qu’y a pas plus tarée que toi. Oser t’en prendre à moi. Tu finiras par le regretter si tu me donnes pas ma part. Et c’est certainement pas tes deux toutous qui vont me faire peur… » Dans la vie, faut toujours assurer ses arrières. « Tu vas me remercier de la meilleure façon qui soit… En me rendant mon fric. Parce que tu serais morte sous les ponts si je t’avais pas récupéré. Je crois que tu me dois la vie plus ou moins. Ce serait bête d’y retourner sous ce pont. Tu crois pas ? » Tu la menaces un peu. Mais parce qu’elle commence à vraiment t’agacer à force de faire sa petite princesse. Comme si tu pouvais rien contre elle. Elle sait pourtant de ce dont t’es capable. T’as battu à mort un enfoiré. Et lui il a pas eu la chance de passer un marché avec toi. Il s’en est pris à toi et tu l’a buté. « Je veux pas faire affaire avec toi. Tu m’as déjà niqué une fois, t’as cru que je te ferais confiance une nouvelle fois ? Tu me prends pour qui au juste. Arrêtes de faire ta princesse, tu vaux rien. J’ai pas besoin de ton pois chiche. Je m’en sors très bien tout seul. Tu le découvriras bientôt, t’en fais pas. Et puis, je suis pas intéressé. Je baise plus les gamines. » Un brin d’agressivité dans la voix, pour lui montrer que tu chercheras pas à négocier bien longtemps. Qu’elle s’estime déjà heureuse que tu sois venue la voir et que tu lui ai laissé l’occasion de réparer son erreur. « Elle est mieux que toi. De tous les points de vue. Et t’en fais pas pour mon portefeuille, il va bientôt être renflouer. » Tu vas tout lui piquer s’il le faut. Tout jusqu’au moindre centime qui traîne. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy Lun 17 Juil - 15:04 | |
| Je matte son entrejambe l'air perplexe. Puis un léger sourire narquois nait sur mon visage. Nous passions notre temps à nous piquer, et j'adorais ça.
Ouais c'est vrai. Je ne le nie pas, contrairement à toi, je ne me voile pas la face. Mais j'avais seize ans, et t'étais le premier. Je croyais que c'était super... et puis j'ai connu des vrais mecs, des mecs qui en avaient dans le pantalon... Tiens d'ailleurs en parlant de ce qu'il y'a dans le pantalon, tu met toujours ton flingue au même endroit? T'as l'impression qu'elle est plus grosse comme ça?
Je riais. J'avais aussi mon arme à porté de main, et pas qu'une d'ailleurs. Sans compter que j'avais d'autres mecs dans l'immeuble d'en face, qui surveillent depuis la fenêtre et qui sont prêts à tirer en cas de besoin. Mais très franchement, je n'ai pas envie d'en arriver jusque là avec Wael. J'avais beau adorer le torturer et le provoquer, voir même me battre avec lui, je n'avais aucune envie de le buter ou de le blesser gravement. Je ne pense pas que nous soyons ennemis à ce point. Nous en étions plus au stade des querelles. Et puis, c'était quand même un mec avec qui j'ai vécu, je l'ai considéré presque comme un mentor à un moment, puis presque comme un ami ensuite. Presque. C'est important le "presque". Parce que ça a quand même toujours été étrange et compliqué entre lui et moi. Mais il est quand même arrivé, assez rarement certes, que nous passions de bons moments tout les deux, autrement que par le sexe. Mdrrr Enfin bref, je n'avais pas envie de lui faire du mal. Mais je ne me voile pas la face, jamais. Je sais que lui n'en a rien à foutre de me faire du mal. Quant à moi, ce ne sera qu'en cas de nécessité.
Je porte la main à mon coeur à sa remarque suivante. Je prenais une mine exagérément outrée et offusquée. Sacré Wael, il va en falloir un peu plus pour me piquer. C'est à croire qu'il n'a rien apprit de moi. Oh arrête, c'est trop ho-rribe ça! Tu me brise le coeur mon amour.
Je ne me lasse vraiment pas de me foutre de sa gueule. C'est un plaisir sans fin. Je ris de nouveau quand il affirme que je vais le regretter si je ne lui donne pas sa part, et que mes deux toutous comme il dit ne lui font pas peur. Deux? Allons, je te connaissait plus observateur que ça. Toujours assurer ses arrières. Tu as du me répéter ça une bonne centaine de fois. Tu vois, j'ai retenu tout ce que tu m'a appris. Je ne nie pas qu'il m'a été d'une grande utilité et que j'ai beaucoup appris grâce à lui.
Et d'ailleurs il ne manque pas de me faire remarquer que je serai morte dans la rue sans lui. Il a probablement raison. Ou peu être pas. Peu être que je m'en serai sortie encore mieux sans lui. Mais on n'en saura jamais rien, ni lui, ni moi. Et ouais, je dois bien reconnaître qu'il a été la pour moi quand j'avais besoin de lui. Je m'approche un peu de lui. C'est vrai que je te dois beaucoup. Et je t'en serai toujours reconnaissante. Ouais... t'as raison, je crois que je peux faire un geste pour toi. On va oublier les 50%, mais je te dois un bon billet. Mais... tu permet que je t'embrasse avant? Aller, sur la joue... promis.
Je le regarde avec un petit sourire provoquant. Mais il est encore la à me menacer. Celui la alors...T'as fini de me menacer? N'oublies pas que j'avais seize ans quand on a baisait. Tu ne voudrais pas retourner derrière les barreaux? Parce que si je vais voir un flic en chialant, avec mon air innocent, mon visage de poupée, mon regard de chien battu, et que j'affirme que t'as abusé de moi quand j'étais mineur, et que j'ai peur que tu recommence maintenant que tu as été libéré... J'ai pas du tout envie de te faire ça bébé. Alors ne m'y oblige pas s'il te plais. Surtout avec le passe qu'il se traîne, ça ne va pas être difficile de le faire coffrer de nouveau. Il ne faudrait pas qu'il me cherche trop.
La hargne avec laquelle il refuse mon offre ne me surprend pas du tout. À vrai dire c'est la réaction à laquelle je m'attendais. Mais... dans le fond, je ne l'ai pas vraiment niqué. Je ne t'ai pas niqué Wael. T'étais en taule. Tu pouvais plus rien faire. Qu'est ce que j'étais censé faire? T'attendre sagement pendant cinq ans? Soyons réalistes. T'aurais fait exactement la même chose à ma place. Voir pire. Je soupir et lève les yeux au ciel quand il affirme ne plus baiser les gamines. Non mais qu'est ce qu'il faut pas entendre. T'adorai ça pourtant. T'es enfin passé aux vieilles de ton âge? Il était temps que tu te fasse une raison. De toute façon, je doute que tu puisse encore pecho une jeune autrement qu'en la payant. Mais si ça te convient alors c'est parfait. Je me moquais encore de lui bien évidement.
Je suis à la fois surprise et amusée quand il me parle de quelqu'un mieux que moi. J'éclate de rire. Oh mais alors il n'y en a qu'une seule? Tu m'avait habitué à un harem un peu plus vaste. Mais c'est trop mignon. J'adore. Oh je ne doute pas qu'elle soit mieux que moi. C'est pas bien difficile. J'adore vraiment. J'éclate de rire de nouveau.
Je m'approche encore plus de lui. Je sais que je ne risque rien vu tout le beau monde prêt à intervenir. Je me plante devant lui et passe mes bras autour de son coup dans un geste doux , les refermant sur sa nuque. Je plante mon regard dans le sien et souris. Combien tu veux bébé? Cinq mille ça te vas? C'était dérisoire par rapport à tout l'argent que je brassai. Il le sait certainement. Et je m'en tape.
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| Sujet: Re: Cold shower, you got no Power to control How I make you my toy | |
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