Sujet: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Jeu 27 Juil - 7:50
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Mar 1 Aoû - 6:35
how deep is your love ? ; mefy
T'étais pas prêt. Pas prêt pour ça, pour elle, pour la guerre, la délicieuse, du sang plein la bouche, plein les intestins. T'avais pas mis ton armure au talon nu. Tu savais pas, que tu fonçais droit vers le soleil, aveuglé par les jeux de la journée. Parce que t'avais joué, à t'en épuiser. Les parties habituelles, le sadisme qui guérit, les doigts dans les plaies et les cervelles, suçant leurs hématomes et leurs joies d'une même bouche gourmande. Elle était loin, quelque part, à faire germer les fleurs sur ton enfer, aiguiser les lames de son malaxeur, rien que pour toi, pour y foutre ton cœur qu'elle avait jamais voulu te redonner. Elle était loin, un cauchemar, qui reviendrait, qui aurait mal, elle. Parce que quand elle reviendrait, t'aurais trouvé une autre reine, tu l'auras remplacée, vaincue. C'était pas pour aujourd'hui, où les jeux cruels s'achevaient, ou tu retrouvais ton sourire mauvais, remplaçant le masque du gentil médecin. Enlever les habits du moine, refiler ceux du diable.
Loin des victimes, tu croisais le paradis, qui allait au champ de bataille. Nur, son nom de tu dessinais contre sa peau lorsque tu la coinçait contre le mur, loin de regards. Sauf un, oublié dans le couloir derrière ton dos. T'embrassais Nur, avec tes doigts qui sentaient encore le sang, se perdant contre elle. Des baisers pour lui donner chaud, la narguer cruellement. Là où elle aime, là où ton odeur sera sur elle pour le reste de la nuit, quand elle viendra te retrouver au creux de ses draps. Tu ne te lasses pas de ses putains de lèvres, contre toi, son odeur de sable. Ta main autour de sa gorge, qui la caresse, qui descend, qui frôle l’indécence. L'envie qu'elle arrive en retard, parce que tu la retiendrais, dans un placard, pour finir ce que vous aviez commencé, ce que vous aviez avorté. Elle est sage, elle, quand elle te quittes, te dis à ce soir, avec la voix pesante, la voix qui promet le pire, avant de s'enfuir, avant que tu ne la dévores.
Elle échappe au diable et t'as ce sourire qui te vas si bien, continuant ta route vers la délivrance, croisant un autre médecin, puis l'enfer. Celui qui porte son nom, qui te dépasse, te chavire. Tu sais, avant de la voir. Y'a cette odeur étouffe qui te vrille le coeur, celui de la vanille qui se mélange au sel de sa peau, à l'odeur de sa lessive et le sucre de ses lèvres de suceuse. Ses lèvres toujours ouvertes, trop ouvertes, pour rien, pour donner envie, s'enfoncer des sucettes, faire la belle pute. Un putain de fantôme. Une mèche cuivrée qui tombe pour venir caresser cette nuque que t'as trop marquée, mordue, qui tu voudrais briser. Tout éclate en toi, lorsqu'elle passe. Tout ce crispe. Non. Non. Non. Pas toi. Pas. Toi. Tout ton corps de crispe, tes poings, ta mâchoire, ton ventre, ta respiration ce bloque pour retenir les vagues sanglantes de rage qui déferlent en toi, qui dévore le rivage, quand elle se retourne, te regarde, au putain de ralentie. Ça dure deux éternités et demies. Tu voudrais la tuer, pour que ça arrête, la pousser contre le mur blanc, tout briser en elle, sur elle. Les arracher les organes, un à un, en faire un scrapbook contre le mur, où tu les éclateraient un à un, briser ses os, qu'elle le sente, qu'elle ait mal. Y'a tellement de rage en toi, tu pourrais, tu pourrais la tuer. Elle le mérites. Elle le mérites bien que trop. Tu pourrais le faire, lui briser la nuque, lui briser les doigts un à un, la faire souffrir, la séquestrer, la torturer, parce que t'arrives à sa hauteur, qu'elle fait l'innocente alors qu'elle signe ton arrêt de mort ou ton séjour à l'asile. Sa main sur la poignée, elle disparaît et tu te figes à regarder la porte qui se ferme.
Tu peines à te tirer loin. T'hésites, à la poursuivre, à foutre ta vie, ta réputation en l'air. Tu n'as toujours pas respiré. Ton souffle court, ta mort imminente. Pourquoi elle est là, pourquoi tu ne l'as pas vue ce matin. Elle va foirer, tout ton putain de plan, t'es pas prêt. Et tu paniques, quand tu tournes les talons, quand tu continues ton chemin sans savoir combien de temps t'es resté à fixer la porte. T'entend plus rien, des pas derrière toi. Des mots que t'échanges peut-être avec des visages flous, que tu croises, politesse écœurante, zombie. Elle t'as cassé. La porte des vestiaires poussée, tu sursautes quand on saisit ton bras, tu t'immobiles quand son odeur de confiserie te happe encore. Comme un mauvais rêve. Et tu sais pas ce que tu donnerais pour te réveiller dans les bras de ton désert plutôt qu'entre ses griffes de succube.
Parce qu'elle s'enfoncent, ses griffes, dans ton bras, dans le contact brillant de ton bicep bandé de rage, de tes poings serrés prêts à l'éclater. Quand tu te retournes vers elle, que tu bloques tout, que tu perds tout, contre ses lèvres qu'elle lèche, celle que tu pourrais arracher avec tes ongles, tes dents, des sécateurs, qu'elles ne te fassent plus jamais ça. Tu ne veux plus qu'elle soit ton putain d'air, celle qu'elle refuse de te donner, qui fait tourner ta tête quand elle parle. Sa voix qui t'assassines. Charles, sa voix, dont t'as pas oublié une putain de note. Celle que tu voudrais déchirée en lui disséquant les cordes vocales, la faire chanter de travers les enfers de la douleur. Chante, bébé, chante. Faut pas que vous parliez. T'as parlé déjà, t'as supplié, quémandé, tu t'es perdu en excuses, en larmes, en envie de mort. Faut que tu la brises, qu'elle cesse d'exister, qu'elle perdre toute douceur, toute sa putain de lumière. Il doit se noyer dans son jus de grenade, Perséphone, t'en feras un putain de smoothie, sa maman sera pas contente.
Tu la pousses. Tu la rejettes, lui fracasse le crâne contre les murs, quand elle te touche, quand elle te tires. T'en veux pas d'elle, de ses doigts, de tout ce qu'elle est. T'en veux pas, comme elle a pas voulu de toi. Sauf que y'a rien qui sort. Y'a ton estomac qui se fracasse, qui s'ouvre et tombe. Un mal aigu, intense, délicieux, tes pieds qui vacillent et la suivent dans le plus beau moment de faiblesse que t'as pas eut, depuis longtemps. Ça hurle dans ta tête, hurle à l'aide, sauf que la connexion se fait pas, les câbles sont bousillés, quand elle t'enmènes prier dans le noir de, tu ne sais plus où. Que ton corps vient percuter le sien sous son geste. Tes mains qui retrouvent leurs putain de place, sur ses hanches, s'y perdent. Ses dents, sur ta gorge, qui marquent, qui embrassant, tu vrilles, tu perds tout, tu sais pas comment elle fait. Un suicide à elle toute seule. L'instinct de survie, de rage, qui ne tient pas. Qui fout le camp. Tes yeux qui vrillent puis se ferment, ton souffle qui se brise dans l'air, un grognement pour répondre à ses ronronnements. T'avais dit qu'elle t'aurait plus. Et pourtant elle te dessine des ''LOL'' contre la pomme d'Adam. Sa culotte qui glisse de ses doigts à ses cuisses, au sol alors qu'elle veut que tu lui montres. T'es hors de toi, tu ne réponds plus de rien. Putain de mauvais rêve où t'hurles et rien ne sort. « Medbh... » Que ta voix rauque arrives enfin à souffler. Tes mains qui la repoussent enfin, qui agrippent son chignon et la retourne avant qu'elle n'ait le temps de te transpercer la jugulaire. Tes mains sont violentes, quand elles relèvent sa jupe, ouvrent ton pantalon qui tombe sur tes cuisses avec ton boxer. Quand t'agrippe ses hanches pour t'enfoncer en elle sans vraiment lui demander. Parce que c'est ce qu'elle veut, parce qu'elle est à toi, que t'aurais dû le faire avant. Une main qui vient s'enfoncer dans sa bouche, la tirer vers l'arrière, tester la profondeur de sa gorge, de son amour que tu remontes à l'intérieur de son ventre. Des coups rageurs contre sa croupe qui se perdent en grognements contre son oreille. Est-ce qu'elle t'as manqué ? Est-ce que tu lui montres, là ? Enfoncé dans ses chairs, pas de la bonne manière. Ton autre main qui vient tirer sa gorge vers l'arrière. Qu'elle te sente bien, lui racler le ventre, qu'elle te sente remonter jusque dans se gorge alors que les coups doublent de violence. Tu veux la détruire. Lui reprendre sa virginité, t'assurer qu'elle ne puisse plus écarter les cuisses pour qui que ce soit d'autre, avant des jours, qu'elle ait mal, qu'elle te sente encore, là, enfoncé dans son coeur, longtemps après ton départ.
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Mar 1 Aoû - 8:16
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Jeu 3 Aoû - 18:26
T'aurais voulu être fort, la rejeter, lui cracher au visage, l'étrangler, lui promettre qu'elle n'est plus rien pour toi, que tu n'as plus rien a lui dire, que c'est fini, que tu t'es remis, que t'as plus besoin d'elle, que tu ne veux plus d'elle. La rejeter. Lui faire comprendre la douleur qu'elle t'a fait vivre, parce qu'elle voulait gagner, parce qu'elle voulait te punir. Sauf que t'as pas pu. Perdu les pédales. La bestialité à pris le dessus. Le besoin de la prendre, la détruire, la tabasser d'une autre façon. Parce que y'a rien de doux, ni dans ta façon de la pénétrer ni l'ardeur avec laquelle tu t'appliques à la malmenée. Et heureusement que ses sales jeux étaient assez pour l'excitée, sinon t'aurais pu t'éclater aussi, te blesser. Et si elle n'a pas perdu sa taille, même après avoir été baisé par tout ses connards, elle n'en reste pas moins une salope. Celle que t'as retournée pour la prendre. Rien qu'envie de voir son visage de haut, de la soumettre, la massacrer. Parce que tes coups sont forts, agressifs, vifs, rapide et nombreux. Y'a comme un rire trop sombre qui vient secouer ta poitrine quand elle t'en quémande plus. Plus. Plus fort. Qu'elle perd ton nom dans ses halètements de chienne. Est-ce que tu peux aller plus fort sans la briser ? T'essayes, ta main plantée dans sa hanche alors qu'elle se retient au mur, à tout ce qu'elle trouve. Quitte a t'en faire mal aussi. Ta peau, tes os claquant contre son cadavre. Et tu t'en fous de la blesser, c'et le dernier de tes soucis. C'est même ce que tu veux. Qu'elle saigne. C'est tout ce qu'elle mérite. Et tu fais claquer plus fort vos corps. Pour qu'elle n'ait plus le loisir de mordiller tes doigts, que sa bouche s'ouvre, béante, avec ta main devant, cherchant a happer l'air sans trop y arriver. Qu'elle en manque, qu'elle s'asphyxie, comme elle t'a manqué.
Et tu la brise. Enfin. Tu pourrais presque l'ignorer, dans la pénombre. Tu fais que sentir le liquide qui gicle contre toi, au énième coup, qui coule le long de vos jambes, le pourpre qui n'est que violet pour faire du canevas de ses jambes blanches, un joli massacre. Même pas assez pour que l'odeur ferreuse monte a toi. Ça te fais doucement sourire. Une main remontant à l'intérieur de sa cuisse, presque qu'en une caresse pour venir récupérer un peu du précieux liquide, remontant le filet a tes lèvres pour t'assurer de ta réussite. Et le goût du sang te fait bander plus fort, ta main quittant sa bouche pour retourner récupérer la sève à l'intérieur de l'autre cuisse. Quittant ses hanches pour agripper ses cheveux et la faire se tordre d'avantage sous toi. Sa main inutile qui tente de lacérer ta nuque. T'es trop excité pour sentir ça, quand t'enfouis tes doigts sanglant dans sa bouche, que tu tiens sa tête à deux mains sans jamais cesser tes coups de butoir. Et elle t'achève, quand ça se met à couler le long de ses joues aussi, comme si les sang avait remonté jusque là, en giclées salées pendant que tu lui tord le cou vers l'arrière. Et tant pis s'il se brise. Et tu te penches, pas pour l'embrasser. Ta langue qui glisse sur sa joue, remonte jusqu'à son oeil pour avaler la larme, la rivière. Et tu ne peux pas te retenir plus longtemps, tu ne veux pas. Elle a pas à jouir. Son plaisir est obsolète, ici. Y'a que le tien, qui explose en un grognement, qui ne se donne même pas la peine de se retenir, d'attendre. Tu la remplie et tant pis si tu l'engrosses, c'est le dernier de tes soucis. Tu pourras l'avorter toi-même, avec ou sans son consentement. Tu craches tout en elle et tu souffles un coup, avant de te retirer aussi brusquement que t'es venu, la lâchant complètement, tant pis si elle se retrouve au sol, avec ses jambes qui saignent et tremblent. Tu ranges ton armes, referme ton pantalon et jette un regard à son corps brisé dans un sourire.
« Allez, Ciao. »
Que tu la nargues avant d'ouvrir la porte et te faufiler dans les vestiaires, la laissant derrière sans même un merci. Qu'elle ait mal, qu'elle se sente utilisée, un objet, un vidoir. T'as pas besoin d'elle, t'as plus besoin d'elle. T'ouvres ton casier, changer ta blouse d'infirmier pour ta chemise de jeune homme. Tu songes aussi a changé tes pantalons, hâte de prendre une douche, de te débarrasser de son odeur de succube. Prendre une douche dans SON appartement.
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Jeu 3 Aoû - 21:31
Dernière édition par Medbh Vilhjálmsson le Ven 4 Aoû - 7:18, édité 1 fois
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Ven 4 Aoû - 6:21
Retrouver Medbh. C'était bon. Trop. Comme trop d'alcool, trop de drogue, qui coulaient en soirée. À faire tourner, puis perdre la tête. Belle comme un feu de forêt qu'il est presque impossible d'arrêter, qui gagne du terrain, qui ravage tout, sans pitié. Avec le son des feux de joies et l'odeur des soirées de plage, l'odeur qu'elle a trop eut sur sa peau, elle ravage tout. Dangereuse, comme un accident de bagnole. Le sol couvert de sang ou de gaz. On sait pas trop, trop noir, trop mal et puis boom. Elle aurait pu, t'exploser au visage, bombe qui n'attendait que ça. C'était bon, de baisé la sirène qui avait tenté de te noyé, qui t'avais regardé, sans savoir que tu savais retenir ton souffle plus longtemps, trop longtemps après ce qu'elle croyait être ta mort. Elle était revenue une fois, rouvrir tes plaies, remettre de l'eau dans tes yeux, dans tes poumons, ses baisers scaphandriers. Et elle revenait encore aujourd'hui, te tirer en enfer avec elle. Perséphone la pas contente, qui était aller faire le printemps ailleurs. Rien que d'y penser, tu pourrais tout détruire, crame le putain d’hôpital. Sauf qu'elle ne devait rien savoir de toute la rage et la faiblesse qu'elle pouvait insuffler en toi.
C'est pourquoi tu l'avais prise, jusqu'à ce que ton coeur vrille en elle, jusqu'à te brûler le bout des doigts sur le soleil. L'envie, de rester, dans cette pièce sans nom, la baiser encore, peut-être plus doucement plus cruellement. La baiser tellement et lui graver ton prénom dans le dos, avec tes dents. Parce qu'elle avait jamais été à personne d'autre, qu'elle ne le serait jamais. Tu pars. Tu pars avant de te laisser noyer par ses grands yeux océans, te laisser brûler par ses cheveux de brasier, lui donner tout et plus encore. Comme si elle le méritait, comme si tu lui devais. Ta décidé de prendre la couronne et de te barrer, l'air fier, ignorant ton royaume en danger, celui que tu t'étais créer en son absence, pas encore assez fort à ton goût, toi qui venait à peine d'intégrer la cour du 2B, à faire tes marques, tes alliés, tes ennemis de choix. Elle était revenue et t'étais pas prêt à retomber, pas prêt à fléchir, à te perdre en promesses encore, à redevenir faible pour elle. Plus jamais, hein Tyfy ? T'avais pas dit plus jamais.
Allez ciao. Et son putain de petit « huh huh. » que tu lui aurais arraché de la langue. Le même qu'elle te servait quand tu lui demandais si elle voulait du coca, si elle voulait aller tabasser le blond, si elle voulait pas faire de l'anal ce soir. Sale conne. Tu serrais les dents et les poings en la laissant derrière, en te dirigeant vers ton casier. L'envie immonde de tabasser quelqu'un. Quelqu'un qui aurait à payer pour elle, ce qu'elle t'avait fait, qu'elle te ferait encore. Tu penses à la gorge d'Arthur, à la sale gueule de Rhoan, au petit cul de Felix, qui pourraient tous payer pour ça. Tu sais pas trop quel serait le mieux. Ça fait un moment que tu rêves de te faire Arthur, et pas doucement. Peut-être que ce soir, serait son soir. Tu boutonnes ta chemise, replace ta tignasse, avant de continuer à refaire les boutons.
Et tu voudrais, continuer de l'ignorer, quand elle sort. Sauf que y'a un éclair orangé, une fraction de seconde où ton regard tourne vers, où elle vient en langueur, où tu l'ignores, où tu soupires lorsqu'elle est à ta hauteur, jette un bref regard autour. Un gars sans importance qui se change aussi. Ton regard l’assassine et son sourire vient rouvrir tes plaies encore fraîches, le sang qui perle encore sur ta nuque. Et elle te parles, avec sa voix de garce, ses mots de gosse de riche. « Tu marches encore, toi ? Tu veux un round two ? » Que tu lui craches, arrogant, froid. Dans le round two, c'est pas dit qu'elle finisse vivante. Pas dans ton round two à toi. T'as des vertiges que tu ne veux pas, quand ses griffes glissent sur ton avant-bras déjà marqué. Celui qu'elle a encore réussi à faire sien. Tu devrais expliquer à Nur que tu t'étais battu. Et avec sa connerie de café, t'as un sourire faux, un sourire qui n'as qu'envie de la détruire. Tu l'enfoncerais de travers le long de sa gorge, son café. Et y'a ses yeux de putes qui se glissent sur un autre gars du vestiaire, qui lui faire un sourire et un signe de main avant de te dire ciao à ton tour. Sauf que c'est pas comme ça que ça va se passer. D'un côté y'a ta main qui viens caresser son bras, de l'autre, celui vers les casiers, y'a celui qui la tire, lui tord le poignet, la rapproche de toi jusqu'à ce que l'autre cadavre derrière soit invisible.
« Qu'est-ce que tu veux ? Que j'le démonte aussi ? Comme dans le bon vieux temps ? » Que tu lui souffles tout bas. Qu'elle joue franc jeux, cartes sur table. Elle ne te rendrait pas fou deux fois, pas sans que tu ne la tue. Et si elle voulait que tu mettes un genoux à terre et que tu la fasses reine, que tu la glorifie, que tu pries contre son ventre, elle pouvait rêvé. Tu lui avais offert tout ça et elle n'avait rien, rien voulu. L'offre était expirée.
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Ven 4 Aoû - 8:16
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Sam 5 Aoû - 7:25
Deux gouttes de sang. Ça t'arrache un doux rire. Y'a bien plus que deux gouttes d'éclaboussées sur ton ventre, d'enfouis au creux de sa bouche, de dégoulinées sur ses cuisses, de souillant encore le coeur de ses jambes, celles qu'elle serre l'air de rien, sans même avoir cessé l’hémorragie. Qu'elle saigne, au bout de son sang, qu'elle se vide, comme elle t'avais laissé te vidé, pour te remplir d'eau, pour tenter de couler. Let him drown. C'était dommage, quand même, de t'être raté. Elle t'aurait peut-être suivit, elle aurait peut-être été coupable, ou pas. Là où tu défaillais, tu t'étais demandé si, elle, avait un coeur. T'avais longtemps cru ne pas en avoir, avant qu'elle, ne le fracasse sur les murs, pour te prouver. Tiens ton coeur, je l'ai trouvé. Brisé. Dévoré. Comme sa main qui tapote ton bras, dévorant la peau qui ne lui appartiens plus. Ne lui appartiendra pas. Plus. Jamais. Plus. Tu regrettes, pas un psychopathe, t'aurais dû la baiser jusqu'à ce que ses jambes ou ses hanches se brisent. T'avais voulu la tenir loin de l'orgasme, l'utilisée, sauf que t'avais oublié de la détruire pour que ça en vaille la peine. Parce qu'elle est encore là, souriante, écoeurante. L'envie de lui arracher son sourire. D'en finir avec elle, pour de bon. Sauf que si t'avais voulu la tuée, tu l'aurais fait depuis longtemps, tu l'aurais rejointe peu après.
Parce que malgré tout le mal, et le fait qu'elle soit une parfaite salope, c'est TA parfaite salope. TA sale pute. TA putain de garce. Celle de personne d'autre. Et quand y'a un autre qui ne fait que glisser son regard sur elle, tu peux pas. Tu revois son sourire de pétasse qui se fait prendre par un autre, dans votre lit. Tu pourrais tuer. T'as faillit, tuer. Elle aime ça, elle à toujours aimé ça. Sauf que toi, tu prends moins de plaisir là, qu'avant. Parce qu'elle avait eut l’aplomb de ne pas te revenir. Tes doigts rageurs pour la fracasser, lui casser un os, lui couper le sang. Un round two ne lui dit pas. Et tu ne peux pas t'empêcher de rigoler doucement. Avec son grand n'importe quoi. Tu préférais quand elle faisait que s'égorger sur ton prénom plutôt que tenter de dire des trucs plausibles, faisant le moindre sens. Gentille comment ? En hurlant pas pendant que tu la prenais de force dans la pièce de rangement.
« T'avais l'air plus désespérée que gentille, en me suppliant de te baiser. »
Que tu viens rigoler près de son oreille, resserrant d'avantage son poignet que son regard ose tenter de s'enfuir derrière. Tu la menace d'éclater votre collègue, plus loin et elle sourit de plus belle. La cinglée. TA cinglée. Tu ravales les relent de sentiments perdus, interdits, qui remontent, que tu ne peux pas lui vomir, tu peux plus. Lui donner ce pouvoir, la faire reine et toi mendiant. C'est toi, son roi. Pas le bouffon derrière. Elle rigole. L'envie montant en toi de serrer sa gorge, voir son rire se casser, voir qui rira le dernier. Parce qu'elle se moque de toi, te réduit, te défie et tes poings de démanchent, même si tu ne répond pas à la provocation. T'es pas un garçon comme les autres, tu la connais, tu sais ce qu'elle veut, ce qu'elle cherche au creux de ton ventre quand elle doute ta capacité à démolir qui que ce soit.
« Tu veux que j'te montre ? » Que tu demandes en serrant son bras, encore, pour que la peau y devienne blanche, trop blanche. Laissant entendre que c'est elle, que tu démoliras, si elle veut voir comme tu sais encore le faire. Elle se moque, elle joue la connasse. TA connasse. Rajoutant qu'elle ne jouait plus avec les gamins. T'as un nouveau rire bas, peut-être que vous devenez humoristes. Les comédiens de l'acide qui coule de bouche en bouche.
« Ah, ça t'as pourtant pas empêché de te barrer avec un gars ayant moins de virilité qu'un gosse de quatre ans. . » Que tu craches sur elle et son amant, sans monter le ton. Juste plus de dégoût et d'hargne dans ta voix. Elle se monte sur ses pieds pour venir te vomir son nom dans l'oreille. « Il t'a rendue pédophile ou cannibale ? Dis-moi tout, je t'en pris, tu deviens intéressante pour la première fois depuis longtemps. » Que tu feules encore, rejetant toute trace de transe d'amour pour elle, ne laissant que l'amertume puérile, qui te vas mal. La provocation. Tu voudrais lui faire mal, lui rendre chaque foutu soubresaut de travers, chaque éclair dans ton thorax, chaque désespoir, chaque envie de mourir. Elle retrouve ses talons, même si t'as envie de la pousser en bas de ses genoux, de lui marcher sur les pieds, lui tirer la couettes, comme tout bon petit garçon amoureux. Rien qu'un tout petit peu plus violent. Surtout quand elle se débat. Qu'elle veut se libérer de ta poigne amoureuse, de ta possession. Sauf que c'est hors de question. Pas avant qu'elle soit à terre, en larmes, à bout. Elle te demande de la lâcher avec de se débattre un peu, sauf que tu serres plus fort, pour qu'elle se calme, qu'elle te fasse pas passer pour le gros méchant, et t'attrapes son autres bras, quand elle s'avance, ses lèvres à quelques centimètres plus bas. Ses sales petites lèvres qui t'ordonnes de l'inviter à boire son putain de café. C'est pas le café, le fric, son horrible compagnie, le problème. C'est le putain d'ordre. T'obéis pas aux putains d'ordres.
« Ou sinon quoi, M ? Tu vas hurler et me faire passer pour le gros méchant ? Tu vas aller faire ta salope avec le gamin derrière ? T'es tellement prévisible, M. Faut pas se demander pourquoi j'me suis lassé de toi. Ils ont beaux êtres sadiques, c'est toujours les mêmes, tes putains de jeux. Et t'as beau faire la fière et aimer ses vaux-rien qui bavent sur tes pieds et te prennent comme religion rien que pour une fellation, tu sais que y'en a pas un autre, comme moi. Si tu veux t'abaisser à perdre ton temps avec ses sous-merdes, go. Sauf que moi, j'vais trouver une autre reine. » Que tu lui souffles, avant de la relâcher entièrement, d'un geste brusque, t'adossant au cassier pour la laisser passer. Pathétique. C'est ce que tu marqueras sous son nom, si elle te contournes pour aller roucouler dans les bras de l'autre tapette au sourire niais sur TA reine. Ou du moins, celle qui en avait encore le titre, jusqu'à maintenant. Tatouage de diadème que tu lui arracherais de la peau, si elle osait faire un seul pas vers votre collègue, qui restait trop longtemps dans les vestiaires, d'ailleurs.
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Dim 6 Aoû - 7:32
Invité
Invité
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?) Lun 21 Aoû - 9:30
La salope elle est revenue et elle est encore plus cancérigène qu'avant. Sa langue s'est affûtée, ses tortures aussi. Quand elle fait la pétasse, quand ta mâchoire et tes poings se serrent, tu la retournerais contre le casier, tu le prendrais là, devant l'autre. Jusqu'à ce que ses cris résonnent partout, de douleur, de plaisir, qu'elle hurle d'arrêter ou de continuer. Voir si elle ferait la gentille, là, si elle tenterait d'être sympathique, quand tu la prendrais de force dans les vestiaires. La garce attendrie qui fait secouer sa poitrine pour se foutre de ta gueule. Tandis que tu cherches encore, un moyen de ne pas l’assassiner. La prochaine fois, oui, tu ferais mieux, tu lui casserais les deux genoux, fracture ouverte, elle ne baiserait plus personne, personne d'autre que toi et tes envies sadiques. Parce qu'elle n'était à personne d'autre. Et tu lui promets avec les marques rouges, qui deviendront bleutés, que tu peins sur sa peau trop pâle, trop lisse, trop épargnée, négligée. Tu vas t'occuper de ça, bientôt.
Ou maintenant. Maintenant et ton envie de la démonter, pièces par pièces. La reconstruire, comme bon te semblait. À l'envers, avec des pièces manquantes, cassées, et elle rigole, la petite conne, elle trouve ça marrant sa destruction imminente. Elle rigole encore plus quand tu craches sur son mec, si ça pouvait s'appeler un mec, cette sous-merde. Tes yeux qui se noircissent encore quand elle te compare à un gamin de trois ans. Trois ans qui la baise comme une chienne. La pédophilie lui allait bien. Sauf que le cannibalisme lui irait mieux. Comme ça elle pourrait renouer avec sa vraie nature. Et tu cherches à lui faire mal, sans les mains, des mots acérés plantés dans son coeur, retourné dans sa gueule, les faits : tu t'étais lassé d'elle. C'était sa faute, à toujours faire la petite conne, jouer aux mêmes jeux. À te demander ce que tu faisais à genoux devant elle, tu t'étais levé, et elle s'était assurée de te faire retomber. La salope. T'as tellement envie de la détruire, de lui faire mal, mal jusqu'à ce que toi, tu n'ai plus mal. Parce que t'en veux pas de son cadeau de merde, emballé entre tes côtés, tu veux le vomir, ça et la gâteau dont elle t'as gavé, enfoncé au fond de ta gorge comme si c'était ton anniversaire. En avance, pas à la bonne date. Surprise motherfucker. Et t'étais pas prêt, tu la serres encore trop fort, pour ne pas trembler. Tu savais pas qu'un regard de chienne pouvais faire si mal. Te donne envie de mordre. Devenir loup, toi-même. Sa main qui déconne contre le haut de ton bras, tentant de dégager sa caresse d'un coup d'épaules, parce qu'elle se foutait de toi, que tu cherchais encore un moyen de ne pas la détruire, parce que quelque part t'avais besoin d'elle pour te sentir vivant. Surtout qu'elle te remettait tout à la gueule, du moment où t'avais trouvé les relations trop complexes. Que tu te lassais de tout ça, rien que l'envie d'avoir quelqu'un d'autre, du défi et du goût de délit sur ta langue, jusqu'au fond de ton œsophage, jusqu'à en avoir envie de vomir. Comme tu gerbais devant l'obligation de répondre à ses putains de sms. Comme si t'étais son truc. À elle, soumis, obligé. T'avais voulu te prouver que tu pouvais encore, sauf que t'avais fait la connerie de ne pas resserrer sa laisse avant de partir. Elle était allée roder ailleurs. Elle t'avais infecté, d'une rage, d'une jalousie, d'un amour qui ne partait pas, plus.
Elle a l'air tellement innocente que tu voudrais la couvrir de sang, la tâchée, indélébile, pour toujours, que tout le monde sache, comment elle était réellement. Parce qu'elle penche sa tête, l'air de rien. Jusqu'à ce que son corps se braque un peu, seul putain de signe que tu l'as touchée un peu, qu'elle est pas la seule à te martyrisé. Et tu lui fais la place, t'écartes, pour la laisser passer. Qu'elle aille jouer la traînée, qu'elle te guérisse du même coup. Toi, tu vas trouver mieux, t'en a déjà l'esquisse chez une autre démone. Elle se recule, le diable roux. Masse son bras clairsemé de rouge. Sauf qu'elle est pas encore abattue, tu sais pas si c'est possible, tu ne crois pas. Elle te nargues, avouant enfin que tu reviens à toi-même et ton regard s'assombris encore. Quand elle fout ta tentative de suicide sur la table. Pas la tienne, vraiment, parce que ce n'était plus trop toi, ce mec qui avait crevé sous l'eau. Elle parle fort, pour que tu l'étrangles jusqu'à ce qu'elle se taise, parce qu'elle expose ta faiblesse devant l'autre, qui se sent mal, de trop, qui tente la fuite. Elle est contente. La porte claque, le spectacle est fini. Joli numéro, Medbh. Vous êtes de nouveau seuls, sans public.
Elle redevient le démon que tu connais, plutôt que l'angelot qui se cache. Quand elle déballe ses conneries, qu'elle dit qu'elle veut son roi. Sauf qu'il n'est jamais partis, son roi. Et tu rigoles à ses conneries, refuses de croire qu'elle a peut-être raison, que vous aviez besoin de ça. T'en peux plus, d'elle, de ses conneries, l'humiliation qu'elle tente de te faire avaler. Parce qu'elle est la seule connasse qui ose t'appeler Charles. Qu'elle payera pour chaque fois que ce prénom à pu claquer contre sa langue. Tu comptes, tu prépares. Et tu pourrais être surpris quand elle t'annonce aller retrouver ta mère, celle que tu n'as pas vue depuis trop longtemps. Sauf que tu sais. Ta mère l'aimes trop, ta mère attend, ta mère espère. « Ça m’a fait plaisir de te revoir. » Que tu lui resserres. Le sourire et le regard charmeur, avant que ton visage ne redevienne glacial, la dardant de toute ta haine, si près de l'amour. Et tu la regardes partir, tes yeux qui s'attardent sur ses jambes blanches, la goutte de sang qui vient briller, la souiller. T'espères que chaque goutte tachant ses cuisses, lui fera penser à toi, qu'elle souffrira en maudissant ton nom. Ce n'est que le début, les retrouvailles sadiques. Et encore, c'était doux.
Pour ta part, tu la regardais jusqu'à ce qu'elle te soit inaccessible. Jusqu'à ce qu'il ne te reste que ta rage. Et tu rentrerais, éventuellement, après t'être refait les poings dans les casiers. Chez-toi. Peut-être, peut-être que toi aussi, t'irais voir la mère de Tyfy, avec des bonnes, bonnes nouvelles.
Contenu sponsorisé
☽ ☾
Sujet: Re: Your lips are poison baby {Mefy} (warning?)
Your lips are poison baby {Mefy} (warning?)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum