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⊹ life can hurt ▹ posts envoyés : 531 ▹ points : 36 ▹ pseudo : the royal queen ▹ crédits : © wild rose (avatar) & tumblr (gifs) ▹ avatar : nobody
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| Sujet: groupe 8 | les couloirs Dim 7 Mai - 13:25 | |
| Les couloirs mads levy, mad berger, serena gianelli, anca popescu, jemina carter
Voulant échapper à l’agitation générale, certaines personnes tentent de s’éloigner de la foule et s’enfoncent dans les couloirs et les escaliers. Sauf qu’elles ne sont pas seules à avoir eu cette idée. Excité par la panique un groupe de casseur commence à tout détruire sur son passage. Quelques personnes se joignent à eux pendant que d’autres tentent de les arrêter voire de ne pas se prendre de coups.
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Bip bip ▹ posts envoyés : 1301 ▹ points : 38 ▹ pseudo : miserunt (mathie) ▹ crédits : ailahoz (avatar) moi (gif) & whi (profil) ▹ avatar : mimi elashiry ▹ signe particulier : air mauvais, moue boudeuse, la crinière sauvage qui vient toujours cacher son visage ; tenues provocantes et allure d'allumeuse, pourtant elle n'assume rien et s'indigne lorsqu'on la drague un peu trop.
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| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Lun 8 Mai - 14:27 | |
| - Sidney ?! Elle s'agite, panique, regarde partout autour d'elle et pousse les gens qui lui barrent la route. - SID ?! Y a son coeur qui se serre, avec l'atroce sensation de revivre la même scène. Lors de l'ouragan, lorsque coincée dans sa voiture qui prenait l'eau, elle avait vainement tenté de joindre Sidney pour l'appeler à l'aide. Pour lui demander de venir l'aider. Mais elle n'avait eu droit qu'au silence. Et puis son répondeur, encore et encore. Elle passe ses mains dans ses cheveux, nerveuse, ne sachant plus quoi faire, ne comprenant même pas ce qu'il se passe. La tension était montée d'un seul coup. L'équipage qui s'était affolé lorsque le bateau avait quitté son attache. Et à partir de là, les choses avaient dégénérées.
Elle fuit, cherche à s'éloigner de la cohue sur le pont en s'enfonçant dans les couloirs. Elle tente d'appeler Sidney, mais la sonnerie ne débouche que sur le répondeur. Elle ferme les yeux une seconde. C'est une foutue blague. Elle tente de l'appeler à nouveau mais l'ambiance s'échauffe autour d'elle, elle se fait violemment percuter par une fille et son téléphone vole de ses mains pour aller s'écraser plus loin. - NON ! Elle tente de le rejoindre, mais l'objet se fait piétiner et vole à travers le couloir, si bien qu'elle finit par le perdre de vue. - C'pas vrai ! FAIT CHIER ! Elle continue de remonter le couloir, les gens courent dans tous les sens, à tel point qu'elle s'y perd, ne sachant même plus de quel côté elle était arrivée. Et très vite, des bruits d'objets cassés se font entendre, ainsi que des cris. Elle se fait propulser sur le côté et heurte un mur alors que trois jeunes sèment la zizanie autour d'eux. Bientôt suivit par d'autres personnes. Des bruits de verres brisés, de bois qui craque, c'est l'enfer. Le cœur qui s'affole, elle essaye de continuer à avancer, ne pouvant que constater faiblement qu'elle a eu une idée horrible en voulant venir se réfugier ici. Pour la tranquillité, c'est raté. Subitement, un mec visiblement éméché s'approche. Elle recule, méfiante et le dévisage, le regard furieux, prête à sortir les griffes s'il ose l'emmerder. Mais tout ce qu'il fait, c'est lui foutre entre les doigts une barre métallique avant de cogner le dos de quelqu'un juste à côté d'elle, blessant la personne. - OH PU... Elle étouffe un cri, surprise, effrayée par la violence de l'acte. L'homme disparait et quand la personne attaquée se retourne vers elle, elle comprend. Elle lâche la barre qui tombe à ses pieds et relève les mains en guise d'innocence. - Non, non, c'est pas moi ! J'te l'jure ! Elle veut pas d'ennuis elle. Elle veut juste retrouver Sidney et se tirer d'ici. - HJ a écrit:
- Si quelqu'un est intéressé pour faire la personne qui s'est pris le coup dans le dos, n'hésitez pas
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petit poney ▹ posts envoyés : 2027 ▹ points : 56 ▹ pseudo : zoé (baalsamine) ▹ crédits : hoodwink(avatar) & sial(sign) ▹ avatar : Taylor Lashae ▹ signe particulier : cicatrices sur tout le corps qu'elle tente maladroitement de cacher, souvenirs d'épisodes de folie désespérée. Une voix douce, des doigts de fées, une chaleur humaine parfois trop brulante. Syndrome du Saint Bernard qui colle au coeur.
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| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Mer 10 Mai - 23:42 | |
| C’est la catastrophe la plus totale. Et la panique qui s’empare soudain d’elle, malicieuse, compagne tenace qui ne veut plus la lacher ces derniers temps. « Maman ? » Qu’elle hurle parmis la foule, les gens qui se mettent à courir un peu partout pour une raison qu’elle ne comprend pas. « Elena ? Iulia ? Tereza ? » Elle appelle les filles, une à une elle crie tant bien que mal dans la foule mais personne ne lui répond. Elle se fait juste bousculer, encore et encore parce qu’elle n’arrive pas à bouger de son couloir et qu’elle bloque le passage à trop de gens. Fébrilement elle cherche son téléphone et essaye d’appeler ses sœurs, sans vraiment de réponse, alors elle essaye ensuite Serghei pour lui demander de l’aide, puis Valerian qui lui avait promis de la retrouver lors de la soirée. Personne. Merde, merde. Et les larmes qui lui viennent aux yeux, parce que la foule est trop dense, les gens trop violents et qu’elle a du mal à respirer. Elle fait un effort pour s’écarter, aidée par un homme qui d’un coup d’épaule la propulse contre le mur. Tout va trop vite autour d’elle, et les couloirs qui lui semblaient jusque là un bon refuge pour se protéger de la foule, prend soudain l’aspect d’une prison quand des jeunes s’engouffrent dedans et décide de commencer à casser les choses autour d’eux. Alors elle se fait minuscule Anca, se plaque contre le mur, essaye de faire en sorte que personne ne la remarque, le téléphone fermement dans sa main en espérant qu’un membre de sa famille la rappelle. Mais personne. Personne. Juste les cris de protestations des passants qui comme elle sont venu se cacher, et les bruits de verre qui se brisent, d’objets qui s’effondrent. Panique. Panique. Elle peut pas rester ici. Lentement elle inspire, essaye de calmer ses tremblements et profite d’un léger flottement dans la foule pour se détacher du mur essayant de rejoindre la sortie du couloir. Elle y croit, esquive les uns, les autres, sent son cœur tambouriner quand soudain un choc sourd lui fait perdre le souffle. Anca se retrouve propulsée en avant, les mains qui se perdent dans le vide, essayant de se rattraper à un appui invisible. L’impact lui arrache un cri de douleur et finalement elle se retourne, oubliant son téléphone qu’elle vient de lacher et les larmes aux yeux pour dévisager la personne qui vient de l’attaquer. Une jeune femme d’à peu près son âge se tient en face d’elle, une barre de fer en les mains. La bonne blague. Putain de barre de fer, comme on se retrouve, qu’elle voudrait rigoler. Mais y a rien. Et soudain la fille en face d’elle lache son arme en balbutiant Non, non, c'est pas moi ! J'te l'jure ! Vraiment ? C’est pas elle ? Mais déjà les gens recommencent à les bousculer, et Anca se retrouve soudain balancée vers sa présumée attaquante et finit par se rattraper à elle. Rapidement elle essaye de s’écarter avant de secouer la tête, tentant de reprendre son souffle et de chasser la douleur « Pourquoi t’as fais ça ? Je t’ai rien fait ! » Ses doigts qui s’agrippent un peu au t-shirt de la jeune femme, et la gorge qui se noue, les larmes qui viennent. Encore. Ridicule Anca. C’est le souffle qui lui manque, le c’est assez qui résonne. « Pourquoi putain ! Ca te fait rire de taper quelqu’un comme ça alors que c’est la panique ? » Elle serre un peu plus, encore, peut être pour éviter de flancher, de tomber au sol et d’étouffer. De l’air, de l’air. Mais y a que les yeux bruns légèrement paniqués qui lui répondent, comme un miroir un peu déformé.
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Jeu 11 Mai - 21:27 | |
| La panique, quel foutu fléau. Ça lui plaît pas à Jem, de voir l'équipage qui commence à s'agiter le premier, les lumières du port qui s'éloignent sensiblement seconde après seconde. C'est d'abord la surprise puis le doute puis le chaos – ça monte d'un coup et ça explose comme une détonation à ses oreilles. Les gens qui gueulent, demandant des explications, blâmant le personnel qui a l'air aussi paumé que le reste des passagers. La dispersion, les mouvements de foule, ça piétine et ça bouscule, c'est insupportable. Elle avait même pas envie d'être là, elle est venue à la demande d'un client, ça devait être simple. Le retrouver, lui filer ce qu'il a commandé, repartir. Elle a rien à foutre là, ça l'intéresse pas. Pas ce soir, en tous cas. Mais y a tout qui part en vrille et elle n'y peut rien, spectatrice de ce fiasco remarquable. Elle se fait ballotter comme les autres, silencieuse et calme dans la marée humaine, même si ses poings se serrent. Dans la cage thoracique un marteau-piqueur qui fait grimper l'adrénaline ; dans les poches des pétards plus dangereux que ceux qu'on trouve en commerce classique, et un petit sachet de cristaux. Elle ne tente pas de lutter parce que ça n'servirait à rien, et parce qu'elle risquerait bien de finir écrasée par ces gens qu'elle trouve soudain trop nombreux et bien trop massifs. Elle finit par s'esquiver, tournant dans le premier virage qu'elle aperçoit, se faufilant sans trop de mal dans un endroit qu'elle pense plus tranquille. Elle se plante. La panique est là aussi, vicieuse, à faire courir et brailler les gens, à se répercuter en écho sur les murs et contre ses os chaque fois qu'on lui rentre dedans. Elle se prend des gens, des parois, des trucs non identifiés et elle commence à en avoir assez. Elle les fusille tous du regard mais personne n'en a rien à foutre, personne ne la voit. Personne ne voit rien au final, à s'agiter n'importe comment. Mais c'est pas juste la peur – c'est un peu de folie, un truc destructeur. Elle comprend pas tout de suite, quand elle entend des éclats de voix plus enthousiastes qu'apeurés, des rires un peu détraqués. Puis ça se précise, le son des choses qu'on brise et les acclamations un peu bancales. Les casseurs alimentent le chaos et sur le principe ça lui est égal, qu'ils fassent ce qu'ils veulent, ce bateau n'est pas le sien. Mais ils ajoutent au bordel général et ça redouble de mouvement, elle se ramasse par terre, se cogne les genoux violemment et manque de se faire piétiner au passage. Assez. Assez assez assez – elle supporte pas de se faire malmener si facilement. Elle se redresse rapidement, se plaquant contre le mur pour éviter toute autre collision malvenue, tentant de scanner ce qui l'entoure. Des gens, trop de gens, et des objets qui jonchent le sol. Une barre en fer. Elle s'approche, ne prêtant que peu d'attention au conflit qui semble opposer deux filles. « Poussez-vous. » Sans vraiment attendre qu'elles s'exécutent, elle les pousse doucement mais fermement, se baissant pour ramasser la barre abandonnée tout près d'elles. Elle s'agenouille finalement, se calant de façon à être plus ou moins camouflée par les deux filles, se servant d'elles comme bouclier improvisé. Et puis elle tend la barre, proche du sol mais pas trop, la tenant à deux mains sans bouger. L'effet croche-patte ne tarde pas à arriver, elle sent le poids qui la fait forcer puis lâcher prise, les corps qui s'effondrent à cause de l'obstacle qu'elle a érigé volontairement. Ça s'écrase par terre et elle peut pas s'empêcher d'afficher une mine satisfaite, petit sourire au coin des lèvres. Ça leur apprendra à écraser les autres – peut-être que maintenant, chacun regardera où il met les pieds. |
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too soon :'( ▹ posts envoyés : 1299 ▹ points : 0 ▹ pseudo : a maze lie | birds ▹ crédits : ava;eriam – quote : d. lauzon – signa;beerus ▹ avatar : georgia may jagger ▹ signe particulier : les dents du bonheur et bercée par le soleil. actuellement en pleine rechute d'un cancer de l'estomac et refuse le traitement
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| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Ven 12 Mai - 19:42 | |
| Robin. Chief. Où est-ce qu’ils sont passés ? Ils étaient là, juste à côté de ses doigts, y a à peine quelques secondes ou minutes. Elle sait plus. La houle humaine les a éloigné d’un battement de cils et Serena a vite perdu ses repères. Vague à gauche, vague à droite. Elle ne sait plus où elle est sur le bateau. Il semble juste y avoir moins de monde mais plus de bruits. En attendant, la sensation nauséeuse de l’histoire est pour une fois totalement justifiée. Et non, elle n’a pas assez bu pour ça. Une main contre le mur pour se tenir, elle essaye de ne plus bouger pendant plus de cinq secondes pour calmer le chaos dans ses tripes. En vain, vu le nombre de personnes la heurtant sans le moindre scrupule. Pourtant, elle se souvenait d’avoir eu le mal de mer au Mexique. Peu importe. Ça va passer. Avec un peu d’eau ou mieux, un joint ça détendrait tout le monde. Ça risque juste d’être un petit peu compliqué à rouler… Bon allez trêve de divagations, il fallait repartir à la recherche de Robin, même si elle espérait secrètement que cette dernière se soit accrochée fermement à Chief pour plus de sécurité. En avançant le long du couloir plus lentement que les autres, son regard se fixa sur le spectacle de casse qui se déroulait devant elle. Il y a vraiment des fois où le comportement humain est incompréhensible. Ils sont sérieux ? Comme si ce n’était pas déjà assez le bordel, des p’tits malins en rajoutent une couche. C’est trop. Ses pas plus décidés que tout à l’heure la conduisent vers ces idiots, prête à en découdre ou plutôt les faire revenir à leur conscience. Mais c’était sans compter la scène. Un moment qu’elle eut du mal à croire. Le type tend la barre de fer à la fille. Le type frappe une autre fille. Le type se casse. Une blessée, une innocente accusée. Une autre qui s’en fout et fait comme si rien ne s’était passé. C’est… “Heyy ! Calme-toi. Elle n’a rien fait. C’est vrai.” Elle s’incruste pour lui faire lâcher prise. “C’est un de ces idiots là-bas...”, qu’elle désigne du menton. “À croire qu’il y en a qui aime foutre la merde même dans un moment pareil.” Et semer la zizanie. L’italienne se tourne alors vers la fille qui s’est pris le coup, posant regard et mains aussi doucement que possible. “Ton dos, est-ce que ça va ? Est-ce que tu veux...” Elle sait pas. De la glace ou quelque chose comme ça… Sa tête se demande si elle sera en mesure de trouver quoique ce soit dans cette pagaille et ses yeux finissent par chercher en même temps… Jusqu’à tomber sur la gamine agenouillée. Elle a d’abord cru qu’elle se sentait mal au point de se replier sur elle-même, mais Serena reconnaît l’objet métallique entre ses mains. Et quand quelqu’un approche au risque de trébucher une nouvelle fois dessus, son sang ne fait qu’un tour et elle shoote dedans avant que quoique ce soit n’arrive. Un peu brutalement aussi pour faire lâcher la fille. “T’avais l’intention de faire tomber et blesser encore combien de personnes ?!” C’est peut-être une de ces rares fois où elle lève la voix et réprimande Serena. “Tu crois pas qu’ils en font déjà assez ces crétins ?!”, qu’elle désigne d’une main vague alors que les bris et débris continuent à résonner dans leurs dos. La pagaille en morceaux. “T’es à leur niveau aussi ?!” On n’est pas des bêtes, que voudraient hurler ses yeux. Un peu de solidarité bordelou !
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Bip bip ▹ posts envoyés : 1301 ▹ points : 38 ▹ pseudo : miserunt (mathie) ▹ crédits : ailahoz (avatar) moi (gif) & whi (profil) ▹ avatar : mimi elashiry ▹ signe particulier : air mauvais, moue boudeuse, la crinière sauvage qui vient toujours cacher son visage ; tenues provocantes et allure d'allumeuse, pourtant elle n'assume rien et s'indigne lorsqu'on la drague un peu trop.
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| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Mer 24 Mai - 11:45 | |
| - Pourquoi t’as fais ça ? Je t’ai rien fait ! Mads qui s'indigne, qui s'impatiente. - Mais c'est pas moi pu... - Pourquoi putain ! Ca te fait rire de taper quelqu’un comme ça alors que c’est la panique ? Mads échappe un râle frustré tout en attrapant le poignet de la jeune fille pour qu'elle la lâche alors qu'elle s'agrippe à son t-shirt un peu trop fort. - Lâche-moi ! J'te dis que c'est pas moi. Qu'elle grogne, agressive. Et c'est là qu'une autre fille intervient, se rangeant aux côtés de Mads, à son plus grand soulagement. - Heyy ! Calme-toi. Elle n’a rien fait. C’est vrai. C’est un de ces idiots là-bas.. Mads pousse un long soupire contrit et fixe son regard sur la nouvelle venue. - Merci. Qu'elle article sèchement, appréciant sincèrement son intervention mais bien trop remontée pour s'adoucir. La main de la brune finit par la libérer et Mads contemple les dégâts, grommelant dans sa barbe qu'elle lui a probablement déforme le haut. Et pendant ce temps là, la blonde tente d'apaiser les esprits tant bien que mal et de s'enquérir de l'état de l'attaquée. Jusqu'à ce qu'elles se fassent toutes salement bousculer par une nouvelle intruse. - Poussez-vous. Mads qui trébuche à moitié et retrouve son équilibre de justesse, avant d'exploser à nouveau. - NON MAIS ELLE EST SÉRIEUSE ELLE ?! Elle fulmine, se retenant de peu de lui foutre un coup de pied, car c'est tout ce qu'elle mérite. Elle ramasse la bar de ferre et se met dans un coin, s'abritant entre elles. Mads tente de pivoter mais elle est tellement oppressée par la foule qu'elle peine à se mouvoir. Jusqu'à ce qu'elle comprenne. La barre de fer qui se dresse un peu trop haut, la personne qui se la prend et une partie de la foule qui se la joue dominos humains. Mads écarquille les yeux et vient placer une main devant sa bouche pour étouffer un cri de surprise. Elle observe les dégâts sans bouger, choquée mais pas suffisamment touchée pour aller aider les malheureux à se relever. C'est la voix de la blonde qui la fait réagir. - T’avais l’intention de faire tomber et blesser encore combien de personnes ?! Profitant de l'espace qui s'est créé momentanément autour d'elles, elle se tourne enfin et se décale pour ne plus cacher la fille par terre. Emportée par un élan de frustration et d'inquiétude - il est où Sid putain ? - elle cède à ses pulsions et se baisse pour attraper le col de la fille qui se la joue fauteur de troubles et elle la relève brusquement, tout en la laissant plaquée contre le mur. - T'es complètement conne ou quoi ? Refait ça et c'toi qui te prendra un coup de barre dans le dos cette fois ! Elle a clairement les nerfs qui lâchent. Mads n'a jamais été très bonne pour gérer les situations stressantes. C'est Sidney qui gère d'habitude. |
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petit poney ▹ posts envoyés : 2027 ▹ points : 56 ▹ pseudo : zoé (baalsamine) ▹ crédits : hoodwink(avatar) & sial(sign) ▹ avatar : Taylor Lashae ▹ signe particulier : cicatrices sur tout le corps qu'elle tente maladroitement de cacher, souvenirs d'épisodes de folie désespérée. Une voix douce, des doigts de fées, une chaleur humaine parfois trop brulante. Syndrome du Saint Bernard qui colle au coeur.
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| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Ven 2 Juin - 21:34 | |
| C’est le grand n’importe quoi. C’est le grand n’importe quoi et Anca ne sait plus. Ne sait pas. Elle attaque sans vraiment y penser la fille qui se trouve en face d’elle. Parce qu’elle panique, parce qu’elle étouffe, parce qu’elle a mal. Finalement une blonde intervient entre les deux, lui expliquant que ce n’est réellement pas la jeune femme en face d’elle qui lui a fait mal mais une bande d’idiots qui s’amusent à tout casser, profitant de la panique générale pour faire n’importe quoi. Anca relâche le t-shirt avant de commencer à s’excuser, soudain gênée de l’avoir agressée comme ça. « Pardon je. Pardon » qu’elle murmure doucement avant de se tourner vers la blonde qui s’enquiert de son état. Anca s’apprête à répondre quand une brune sort de nulle part, attrape la barre de fer et l’utilise pour faire obstacle à la foule, envoyant plusieurs personnes au sol. Et de nouveau c’est n’importe quoi. De nouveau ça crie, ça hurle dans tous les sens et Anca sent son crâne prêt à exploser. T'es complètement conne ou quoi ? Refait ça et c'toi qui te prendra un coup de barre dans le dos cette fois ! (Mads) c’est la jeune femme qu’Anca a accusé qui s’en prend à la brune, la plaquant contre le mur. Anca se précipite à côté d’elles, faisant signe à la blonde (Serena) de venir l’aider. Doucement elle essaye de libérer la brune, de ne pas brusquer l’autre, de reprendre elle-même ses propres esprits de toute la panique ambiante. « Arrête, arrête, ça sert à rien de se battre entre nous, ça ne va que faire empirer les choses » entre nous ? Parce qu’il y a un nous ? Peut être. Peut être que c’est le moment de trouver une solution et de filer de là. « Clairement on est toutes flippées ok ? Et je pense qu’on a toutes envie de partir d’ici…Alors évitons de juste…Nous taper dessus ? » Ah Anca, éternelle utopiste aux yeux gorgés d’espoir. Foutue Anca. « S’il vous plait, juste arrêtons tout ça. A plusieurs on s’en sortira sans doute mieux » ouais. Quatre contre le reste du monde, c’est toujours mieux que toute seule pas vrai ?
- hj:
pardon c'est un peu pourrave :( mais jvoulais pas vous faire attendre <3
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Mar 13 Juin - 19:19 | |
| raison obscure et stupide. c'est le résumé sans aucune grande vanité qui pourrait englober le tout. qui pourrait expliquer une présence qui ne devrait nullement s'y trouver. ombre de la terre fermer, ombre des bars miteux ou des boîtes sélectives, ombres des ruelles, et ombre de solitude. c'était déjà trop étrange pour qu'il mette un pied à bord, c'était déjà trop anormal qu'il pousse sa carcasse jusqu'à ces lieux. ce lieu. sans avoir de quoi tuer le temps, Mad n'a su tuer l'ennui. l'envie ailleurs, l'envie malheur. alors Mad, comme à l'habitude, il a prit la route, il a prit le large. dans l'sens réel du mot, imprévu mais totalement artistique. cette ironie qui n'a décidément plus envie de s'arrêter. et comme souvent Mad égal ennuis, dans le sens large et ici dans le mauvais sens. qui dit mauvais karma, dit mauvais entourage et sans même crier attention, y'a le tout qui dérape qui s'gangrène et prolifère. sans même y être relié il fallait qu'il soit présent avec ce genre d'activité. stupidité. et dans l'agitation jouissive de troupe égarée, il y a cette grande silhouette élancé qui avance sans même se presser. agacé ? paniqué ? ça serait que trop bien s'en tromper. hermétique aux émotions qui pourraient l’entacher, l'entourer Mad semble juste s'y déplacer. pâle bonhomme qui parcourt les mètres encombrés. cries, courses, secousses. et s'il devait y avoir des morts serait-il seulement en mesure de s'en inquiéter ? pathétique cliché de ce mort qui s'use encore a marcher. grande faucheuse dans l'image, avançant lentement sans même subir le moindre tourment, il avance. simplement. s'il les frôlements d'épaules, de coudes et les secousses se font sentir, il n'y a rien de brutal qui vient l'arrêter, parfait touriste avec les mains dans les poches ignorant même son arcade amochée. souvenir d'une bagarre trop fraiche, réveillée par une rencontre brutale avec la porte d'une cabine. c'est bancale comme blessure, c'est bien lui. et il n'a ni l'intention de s'arrêter, ou même de s'occuper... mais Mad n'est qu'un humain et la concentration bien trop vite occupée. accaparée. groupe de fille en crise, il y prendrait pas garde si elles suivaient juste le mouvement. mais les éclats de voix sont paniquée, et c'est comme un phare durant la marée. taré. il y a eut l'ennui et maintenant il y a juste la vie. et sombrement lui, Mad qui s'avance toujours vers la suite des ennuis. sans rien demander il récupère la barre métallique qui semble être la parfaite arme et parfait point de dispute. c'est stupide, et vu l'état nerveux de chacune ça risquerait de tomber contre lui. mais une arcade de flinguée, c'est sans doute pas bien assez... et il soulève le métal pour le poser devant la brune (@mads) et l'éloigner de la blonde (@serena) encore plus que ce que l'autre inconnue avait fait. j'pense que l'but n'est pas de finir par vous entre-tuer alors autant écouter ce qu'elle dit et se calmer.. c'est comme demander ou se trouve le rayon surgelé entre deux allées du supermarché. calme, trop calme pour vraiment trouver un pied dans cette réalité. il aurait pu continuer d'avancer, se trouver des endroits à observer, trouver de quoi s'occuper... mais y'avait une espèce de batte de métal, et puis son cerveau il a finit par s'y focaliser sur cette situation.
hj : j'avais oublié que je devais amener un peu de sang masculin >
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs Dim 18 Juin - 19:22 | |
| « NON MAIS ELLE EST SÉRIEUSE ELLE ?! » Elle l'entend beugler mais n'y répond pas, trop concentrée sur sa tâche – la barre qu'elle lève et qu'elle tient fermement. Elle attend. Ça met pas longtemps avant de faire effet, une première personne qui s'y prend les pieds et le reste suit comme une pluie de dominos, elle trouve ça aussi facile que ridicule. Y a même le coin de ses lèvres qui se relève, en signe d'amusement ou de victoire on n'sait pas trop. Mais ça dure pas. La nouvelle salve d'idiots est stoppée in extremis par le pied qui vient heurter sa barre trop fort, la faisant lâcher prise instantanément. Ses doigts ripent un peu sur le métal et elle la voit atterrir un peu plus loin, alors qu'une nouvelle voix s'élève. « T’avais l’intention de faire tomber et blesser encore combien de personnes ?! Tu crois pas qu’ils en font déjà assez ces crétins ?! T’es à leur niveau aussi ?! » Elle redresse la tête pour dévisager la blonde qui la réprimande, visiblement en colère. Elle s'en fout Jem, elle la connaît pas alors elle estime qu'elle lui doit rien et son discours ne l'atteint pas vraiment, parce qu'elle ne lui accorde aucun crédit. Mais le ton employé lui hérisse le poil et son regard se fait mauvais, ses yeux qui se plissent et ses traits qui se froissent. « Ne m'parle pas comme ça. » À peine le temps de finir sa phrase que déjà, une main empoigne son col et la force à se remettre debout. Elle manque de perdre l'équilibre, mais le mur contre lequel on la plaque brutalement l'empêche de tomber. Le choc vibre dans tout son dos et elle grimace, un peu désorientée. « T'es complètement conne ou quoi ? Refais ça et c'toi qui te prendra un coup de barre dans le dos cette fois ! » Elle fait face à une tempête mais elle reste de glace, prunelles vrillées sur son assaillante alors qu'elle tente même pas de se dégager de son emprise. Elle reste sagement collée au mur, amenant juste une main au col de l'autre pour la tenir de la même façon. Les yeux dans les siens, le regard tellement perçant que ça en deviendrait presque dérangeant. « J'en tremble d'avance. » C'est aussi sec que cinglant. Elle n'aime pas cette fille et la façon dont elle parle, dont elle hausse le ton, avec ses yeux qui lancent des éclairs et ses mains un peu trop audacieuses. Jem reste calme, un masque d'acier et les phalanges fermement agrippées au t-shirt de l'autre. Mais au fond d'ses yeux y a déjà une lueur qui se met à tanguer, et même la fille qui tente d'apaiser les tensions n'y peut rien. « Arrête, arrête, ça sert à rien de se battre entre nous, ça ne va que faire empirer les choses. » Jem l'écoute continuer d'une oreille distraite, mais c'est tout. Elle préfère continuer à défier l'autre du regard, malgré le type qui vient se greffer à leur petit groupe. Si elle lui offre une œillade, c'est seulement parce qu'elle a reconnu le bruit métallique de la barre. « J'pense que l'but n'est pas de finir par vous entre-tuer alors autant écouter ce qu'elle dit et se calmer.. » Elle penche la tête sur le côté, le fixe une seconde avant de reporter son attention sur son adversaire une nouvelle fois. « Si tu veux te rendre utile, assomme-la. Ça pourra peut-être stopper sa crise d'hystérie. » La voix toujours aussi posée et pourtant y a quelque chose de menaçant quelque part dans sa posture. Dans ses yeux ça crie : s'il le fait pas, je m'en chargerai à sa place. |
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| Sujet: Re: groupe 8 | les couloirs | |
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