Sujet: MAYBE IT'S TIME TO SAY SORRY... or not - Jaelyn Jeu 6 Juil - 0:05
Jaelyn & Callen
MAYBE IT'S TIME TO SAY SORRY... or not
Rien n’était calme, les semaines s’étaient enchainées à un rythme fou, ne laissant aucun répit à Callen, lui qui n’avait pu que profiter d’une soirée en tête à tête avec une ancienne conquête. Depuis, il avait tout simplement l’impression de ne pas avoir levé le nez de ses dossiers, alors qu’il avait tant de choses à faire, tant de désirs à assouvir. Et ben non, il fallait qu’il se montre responsable s’il ne voulait pas perdre le garage. Le russe s’était donné du mal à se reconstruire, et même s’il n’y était pas parvenu totalement, il aspirait à ne plus penser à ce qu’il avait quitté en Russie, et les horreurs qu’il avait fuites. C’était ainsi, et il ne pouvait que regretter le temps où il profitait de tout, y compris de certains plaisirs. Même la femme mariée avec laquelle il entretenait une relation régulière, sans doute parce qu’elle avait tout dévoilé à son mari, et qu’il semblait bon à Callen de s’effacer un minimum, surtout si la brune espérait donner une nouvelle chance à leur couple. A vrai dire le garagiste n’en savait rien et ne comptait pas se prendre la tête pour ces choses là, l’essentiel demeurant dans la prise de plaisir, sans rien de plus. Ils s’étaient mis d’accord sur ce point, bien que le russe ait toujours mis un point d’honneur à bien préciser les termes du contrat quant à la relation qui les liait. Sans doute était-ce mieux au final ? il avait surtout l’impression de s’embarquer dans quelque chose de trop sérieux qui le surpassait, alors qu’il voulait juste enchainer les conquêtes. Le garagiste avait émis un soupir, avant de s’étirer. Un regard sur sa montre le fit un peu plus déprimer. Il en avait tout bonnement assez de ne plus être mécanicien, certes il avait signé pour plus de responsabilités, pour être son propre patron et ne plus subir le moindre ordre, mais dans ses rêves les plus fous, il avait espéré pouvoir avoir les doigts dans le cambouis. Désillusion. Ecrasant son poing sur le bureau, Callen n’avait pu que se lever et allumer la radio. Il avait l’habitude d’écouter une station sur laquelle une animatrice radio tenait une chronique toujours très… amusante ? le mot était-il approprié ? il n’en savait fichtre rien. sauf que là, l’émission avait déjà commencé et les paroles prononcées par la demoiselle ne lui étaient nullement étrangères, lui rappelant vaguement une situation qu’il avait connue. A vrai dire, plus les minutes défilaient, plus il se rendait compte que c’était la scène de dépannage qui était dépeinte. Sa mâchoire se serra, il ne pouvait pas en supporter davantage. Le garagiste s’empara du téléphone et composa le numéro de la fameuse station de radio et demanda qu’on lui passe la fameuse Jaelyn en question. Il se moquait éperdument de passer à l’antenne. « croyez-vous réellement que cet homme était le pire des goujats ? parce qu’il ne vous a forcé à rien, d’après ce que vous dites ? » , commença-t-il, sans prendre la peine de se présenter. Non, il était trop en rage pour se montrer courtois. D’ailleurs, connaissait-il réellement ce mot ? non…
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Rien n’était calme, les semaines s’étaient enchainées à un rythme fou, ne laissant aucun répit à Callen, lui qui n’avait pu que profiter d’une soirée en tête à tête avec une ancienne conquête. Depuis, il avait tout simplement l’impression de ne pas avoir levé le nez de ses dossiers, alors qu’il avait tant de choses à faire, tant de désirs à assouvir. Et ben non, il fallait qu’il se montre responsable s’il ne voulait pas perdre le garage. Le russe s’était donné du mal à se reconstruire, et même s’il n’y était pas parvenu totalement, il aspirait à ne plus penser à ce qu’il avait quitté en Russie, et les horreurs qu’il avait fuites. C’était ainsi, et il ne pouvait que regretter le temps où il profitait de tout, y compris de certains plaisirs. Même la femme mariée avec laquelle il entretenait une relation régulière, sans doute parce qu’elle avait tout dévoilé à son mari, et qu’il semblait bon à Callen de s’effacer un minimum, surtout si la brune espérait donner une nouvelle chance à leur couple. A vrai dire le garagiste n’en savait rien et ne comptait pas se prendre la tête pour ces choses là, l’essentiel demeurant dans la prise de plaisir, sans rien de plus. Ils s’étaient mis d’accord sur ce point, bien que le russe ait toujours mis un point d’honneur à bien préciser les termes du contrat quant à la relation qui les liait. Sans doute était-ce mieux au final ? il avait surtout l’impression de s’embarquer dans quelque chose de trop sérieux qui le surpassait, alors qu’il voulait juste enchainer les conquêtes. Le garagiste avait émis un soupir, avant de s’étirer. Un regard sur sa montre le fit un peu plus déprimer. Il en avait tout bonnement assez de ne plus être mécanicien, certes il avait signé pour plus de responsabilités, pour être son propre patron et ne plus subir le moindre ordre, mais dans ses rêves les plus fous, il avait espéré pouvoir avoir les doigts dans le cambouis. Désillusion. Ecrasant son poing sur le bureau, Callen n’avait pu que se lever et allumer la radio. Il avait l’habitude d’écouter une station sur laquelle une animatrice radio tenait une chronique toujours très… amusante ? le mot était-il approprié ? il n’en savait fichtre rien. sauf que là, l’émission avait déjà commencé et les paroles prononcées par la demoiselle ne lui étaient nullement étrangères, lui rappelant vaguement une situation qu’il avait connue. A vrai dire, plus les minutes défilaient, plus il se rendait compte que c’était la scène de dépannage qui était dépeinte. Sa mâchoire se serra, il ne pouvait pas en supporter davantage. Le garagiste s’empara du téléphone et composa le numéro de la fameuse station de radio et demanda qu’on lui passe la fameuse Jaelyn en question. Il se moquait éperdument de passer à l’antenne. « croyez-vous réellement que cet homme était le pire des goujats ? parce qu’il ne vous a forcé à rien, d’après ce que vous dites ? » , commença-t-il, sans prendre la peine de se présenter. Non, il était trop en rage pour se montrer courtois. D’ailleurs, connaissait-il réellement ce mot ? non…