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| open hands are hard to hold onto anyway (BB) | |
| Auteur | Message |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Lun 21 Nov - 19:22 | |
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Betty « Boo » Bowers you thought by now you'd have it figured out. © creditimage|tumblr, babine. ≡ PRÉNOM(S) Betty. Comme Betty Boop, le fameux personnage à qui tu es toujours comparée, bien que la ressemblance ne s'en tient qu'au prénom. Toutefois, on te surnomme « Boo », surnom qui te colle à la peau depuis ton enfance. C'est Bee, Beatrice, ta grande soeur qui l'a instigué et aujourd'hui, même si elle ne fait plus vraiment partie de ta vie, le surnom lui, il ne s'est jamais envolé. ≡ NOM Bowers. Tu te rappelles qu'au primaire, les autres vous appelaient Bee et Boo, les BB sisters. À la blague, ta soeur disait tout le temps que ce serait le nom de votre duo, lorsque vous seriez célèbre, malgré sa voix nasillarde et ta timidité légendaire vous empêchant de devenir un jour de grandes chanteuses, mais hey, ça n'a jamais empêcher Bee de rêver. ≡ ÂGE Vingt-et-un ans déjà. Physiquement, tu ne les fais pas vraiment. Tu es petite, trop petite, avec une bouille d'ange et un regard enfantin. Mentalement toutefois, tu es plus mature. Tu es plus sage. Ou peut-être simplement plus sale, plus détruite qu'une simple gamine de vingt-et-un ans. Et comme ça, tu te promènes entre la gamine dont tu as l'air et cette vielle âme que tu possèdes, tentant de prendre le mieux de chaque côté pour y trouver un juste milieu. Difficile, voire même impossible. ≡ LIEU DE NAISSANCE Tu es née, comme ta soeur avant toi, à Goliad, une petite ville au Texas où la population atteint à peine le 2000 personnes. Le genre d'endroit où tout le monde sait tout de tout le monde, sauf les gros secrets qui font mal, évidemment. ≡ NATIONALITÉ Tu es américaine et comme tant d'autres avant toi, you have a dream. ≡ ORIGINE Bien que née et élevée aux États-Unis, ta mère est la fille d'un homme français et d'une femme canadienne, qui ensemble ont décidé par un drôle de hasard que de vivre aux États-Unis était la meilleure idée possible. Clairement, ils n'avaient pas prévu Donald Trump. Ta mère a d'ailleurs grandi en parlant français couramment, chose qu'elle a essayé de vous transmettre. Si ta soeur n'avait aucun intérêt pour la langue de Molière, tu en es devenue passionnée à un jeune âge. ≡ ÉTUDES, EMPLOI Tu as fais tes études en enseignement du français, langue seconde. Toutefois, tu n'as pas l'intention de devenir enseignante à Savannah. Tu es arrivée il y a quelques jours à peine et tu cherches un emploi, n'importe quoi qui te tomberait sous la main dans le délai le plus bref puisque tu ne sais pas combien de temps tu vas pouvoir te permettre le minuscule logement que tu loues si tu ne commences pas à travailler genre, hier. ≡ STATUT CIVIL Tu es célibataire et honnêtement, tu l'as été pratiquement toute ta courte vie. Tu ne fais pas confiance aux hommes, comment le pourrais-tu après tout? Alors tu te contentes de vivre ta vie, de profiter des petites choses, ces choses qui n'ont rien à avoir avec l'amour ou les hommes ou pire encore, le sexe. ≡ CARACTÈRE discrète, timide, anxieuse, généreuse, bienveillante, attentive, observatrice, effacée, curieuse, brillante, perfectionniste, talentueuse, silencieuse, persévérante, perdue, brisée, incomplète. ≡ GROUPE alize, de ceux qui continuent d'avancer malgré un passé lourd, un passé qui les a brisé plus qu'ils ne sont en mesure de l'admettre. | Votre pire souvenir? Ce n'est pas qu'un seul souvenir, ce n'est pas qu'un seul moment. Ce sont des années qui t'ont été volé et que tu ne retrouveras jamais. Ça a commencé tranquillement, après le départ de ta soeur. Le jour où elle t'a tourné le dos, sans même te prévenir, sans te préparer à ce qui allait se passer. Et puis tu as compris, le pourquoi du comment. Quand ses mains à lui, trop grosses, trop sales, ont découvert des parties de ton corps à toi, trop doux, trop petit, trop fragile. Tu as grandi, ton corps a changé, mais lui, il n'a jamais cessé de le découvrir, de le maltraiter, de l'abuser, sans que rien ni personne ne puisse l'empêcher. Et tu en as voulu au monde, à Bee, à tes parents, à toi-même de ne rien dire, de ne rien faire. Les années ont passé et tu viens de te libérer. Mais les démons, ils te suivent, que tu le veuilles ou non.
Quelles sont les personnes en qui vous avez le plus confiance ? La confiance n'est pas quelque chose qui te vient facilement dans la vie. Mais y'a toujours eu Bee. Même quand elle est partie, elle était toujours là. Elle est la personne pour qui tu donnerais ta vie, celle pour qui tu serais prête à tout. Ton sosie et ton contraire en même temps. Tu as besoin d'elle, maintenant plus que jamais.
Avez-vous perdu un être cher au cours de votre vie ? Pas vraiment. Bee est partie, mais elle n'est pas perdue. Elle est quelque part dans cette ville et tu comptes bien la retrouver. Jusqu'à maintenant, tu n'as pas eu à faire face à la mort. Personne autour de toi n'est décédé. Personne n'a connu de fin tragique et personne n'a souffert incroyablement. Sauf peut-être Bee. Et peut-être toi. Mais pas au point de se perdre, pas au point d'en mourir. |
(one.) bee parlait trop fort, tu ne parlais presque pas. bee prenait toute la place, tu étais une pro à la cachette, le jeu préféré des enfants invisibles. on pourrait croire que ça t'aurait dérangé gamine, de devoir t'effacer derrière le caractère flamboyant de ton aînée, mais ce n'était pas du tout ton cas. tu n'étais pas obligée de t'effacer, mais c'était ce que tu voulais, ce que tu aimais. être discrète, douce, un contraste vibrant avec ta soeur exubérante, loud. des contraires parfaits, un duo toujours fourré ensemble, l'une n'allant pas sans l'autre. c'était ainsi, du moins jusqu'à tes huit ans. avant, la vie était rose. c'est après ça que la noirceur a fait son apparition, un gros nuage noir dont vous ne pouviez pas vous débarasser. (two.) tu n'as jamais été le genre de personne à demander de l'attention. pourtant, tu as toujours eu besoin de l'attention de ta grande soeur. quand elle a cessé de te la donner, quand elle a changé, soudainement, sans que tu ne sois en mesure d'en comprendre la cause, tu t'es soudainement mise à rechercher son attention. tu ne faisais rien de très grand, rien de très grave. rien qui n'aurait pu alarmer tes parents, mais juste assez pour que ta soeur s'arrête une fois de temps en temps, et quand elle s'occupait de toi, il n'y avait rien de plus beau, rien de plus grand. et chaque fois, tu te disais que ça redeviendrait comme avant. qu'à force de passer de beaux moments avec toi, elle oublierait le reste de ses tourments qu'elle savait si bien cacher. sauf que ça ne durait jamais bien longtemps. une fois le weekend terminé, elle redevenait distante, différente. elle fuyait. ce que tu ne savais pas encore à ce moment, c'est que c'est lui qu'elle fuyait. (three.) tu ne peux pas oublier. tu n'es plus en mesure de ne pas sentir ses mains sur ton corps. de ne pas sentir son corps écrasé le tien alors qu'il t'ordonne d'être silencieuse, de te laisser faire, que ça va être plus facile ainsi. que putain, t'aime pas et puis, t'es tellement bonne. les moments où ton oncle abusait de toi sont devenus les moments que tu craignais les plus, les moments qui régnaient le reste de ton quotidien et pourtant, personne ne savait. tu ne pouvais le dire, tu ne savais comment le dire. tout ce que tu savais, c'est que bee avant toi n'y avait pas échapper et que toi non plus, tu ne t'en sauverais pas. tu ne sais pas comment tu as fais, mais pendant six ans, tu as enduré. tu as subi. tu as fermé ta gueule et tu as appris à ignorer autant qu'on peut ignorer de se faire abuser ainsi par quelqu'un qui est censé être de la famille. bullshit (four.) contrairement à la croyance populaire des enfants abusés, ta vie ne tournait pas autour des abus. en réalité, tu essayais de bloquer le plus possible les souvenirs de ces moments passés, de ces moments à venir en t'occupant. en faisant du bien autour de toi. tu avais quinze ans lorsque tu as commencé à faire du bénévolat auprès d'un organisme offrant différents ateliers d'arts pour des jeunes adolescents et adultes atteints d'une déficience physique ou intellectuelle. tu as d'abord tenté le théâtre, mais c'est en danse que tu t'es sentie la plus utile, la plus vivante, la plus naturelle. en tant que bénévole, tu te devais d'accompagner les jeunes demandant le plus de soutien et d'intervention. tu étais là pour aider, mais tu recevais encore plus que tu ne donnais au sein de l'organisme. grâce aux différents spectacles de fin d'année, tu as su sortir de ta coquille et te découvrir une passion sur la scène. rien qui ne te mènerait bien loin, mais juste assez pour te rendre moins gênée et seulement ça en soit, c'était pratiquement un miracle. (five.) tu étais une élève sérieuse, une élève studieuse. si tes interactions sociales laissaient parfois à désirer - enfant, bee te sauvait souvent la mise avec les autres gamins et honnêtement, tu ne te souviens pas avoir eu une autre meilleure amie qu'elle - tu comprenais bien les livres et eux ne se moquaient pas de toi en retour. tu aimais les langues plus que les mathématiques, mais ce qui ne te venait pas naturellement, tu le travaillais plus fort ne serait-ce que pour exceller. c'est un peu pour cette raison que tu as décidé de te tourner vers l'enseignement. l'école, c'était un domaine familier pour toi. quelque chose de rassurant, quelque chose dans lequel tu excellais. aujourd'hui pourtant, tu n'es plus certaine qu'être enseignante, c'est ce qu'il y a de mieux qui t'attend dans la vie. alors tu fais autre chose. en attendant de savoir. savoir quoi? tu n'en as pas la moindre idée encore. (six.) tu n'as jamais été en couple, si on oublie les relations insignifiantes à l'école primaire. tu n'as jamais été assez proche d'un garçon pour que ça puisse se rendre jusque là et c'est exactement ce que tu veux. tu imagines déjà ta soeur te dire que tu dois te décoincer que god, on a qu'une vie à vivre, tu devrais pas laisser tes fantômes du passé t'empêcher de découvrir ce que la vie, ce que les hommes peuvent offrir quand ils sont bons. mais jusqu'à maintenant, tu en es tout simplement incapable. tu préfères vivre dans le déni de ton problème. te convaincre encore et encore qu'il vaut mieux être seul que mal-accompagné. que putain, si on écoute bien les films et les émissions et toutes les chansons d'amours dépressives, tu peux pas manquer quelque chose de si merveilleux que ça en te refermant ainsi. jour après jour, tu te convaincs que tu prends la bonne décision. et quand tu oublies, tu recommences à te parler jusqu'à ce que tu te souviennes. encore et encore. (seven.) tu te demandes si bee te ressemble toujours autant. ou plutôt si toi tu lui ressembles toujours autant. plus jeune, vous vous amusiez à vous faire passer pour des jumelles, malgré les trois années qui vous séparaient. vous êtes mêmes parvenus à convaincre vos parents une fois que l'une était l'autre et vice versa. tu t'en rappelles comme si c'était hier, vous avez passé une semaine entière à vous en vanter, à prétendre être les deux meilleures actrices de la ville - probablement les seules mêmes, vu la population - et tu te souviens que tes parents n'arrivaient pas à y croire. c'était rester un running gag entre vous jusqu'au départ de bee. après, c'était délicat de parler d'elle, peu importe la situation. et quand ton oncle a commencé son petit jeu avec toi, c'est devenu difficile de te parler tout simplement. la belle ambiance. (eight.) tu vis encore de l'anxiété, régulièrement. la nuit, tu ne dors que très peu et tu vis sans cesse à moitié-éveillée. il t'arrive aussi de faire des crises d'angoisse lorsque quelqu'un s'approche de toi trop brusquement, ou même simplement lorsque quelqu'un te touche. gamine, tu étais une enfant très tactile, très sensorielle, mais depuis ton oncle, tu as une aversion envers toute forme de toucher, ce qui peut parfois surprendre lorsqu'on ne te connaît pas. avant de partir du texas, tu as rencontré ton médecin de famille qui t'a prescrit une médication contre l'anxiété que tu prends depuis quelques semaines. tu ne trouves pas cela particulièrement efficace, mais tu continues de la prendre, dans l'espoir qu'un jour tes cauchemars disparaissent, ne serait-ce qu'un peu. (nine.) tu es partie avec presque rien. deux sacs remplis de linges, une boîte pleine de livres et tes maigres économies d'années de gardiennage et des quelques mois que tu as travaillé au bistro du coin. en gros: juste assez pour pouvoir payer le premier et le dernier mois de ton loyer ainsi que de quoi le remplir - lit, table, four et frigidaire, la base quoi - mais rien de plus. l'urgence du moment: trouver ta soeur et un emploi. peu importe l'ordre. dans les deux cas; plus vite c'est fait, mieux tu vas te porter. du moins, c'est ce que tu espères. (ten.) tu dessines. pour oublier que tu vas mal, quand tu vas bien, quand tu es en colère, peu importe. dessiner, ça te permet de te recentrer. de te concentrer uniquement sur les coups de crayon que tu déposes sur le papier, ça te force à imaginer la suite des choses, à te plonger corps et âme dans les couleurs de ce monde imaginaire, un monde à la fois plus beau et aussi plus fou, plus grand et plus fort que cette réalité à laquelle tu dois faire face tous les jours. tu as toujours un cahier avec toi, quelques crayons de seconde main, rien de bien fancy, mais juste ce qu'il te faut pour te permettre de t'envoler, ne serait-ce qu'un peu. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Lun 21 Nov - 19:23 | |
| les liens coquins ici. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Lun 21 Nov - 19:23 | |
| les rps de la mort dans ce coin là. c'est à vous. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mar 22 Nov - 11:03 | |
| moi je veux j'adore ta Boo et au vu de ce que j'ai lu, y a grand moyen de se trouver un truc de la mort qui tue bon le seul truc dont va falloir tenir compte, c'est que Boo a débarqué fraichement en ville, c'est ça ? mais j'ai déjà une petite idée, qui pourrait en soit tenir la route, qu'importe le moment où Boo est arrivée à Savannah Boo a été abusée par son oncle et en fait encore des cauchemars aujourd'hui, c'est la même pour Lish sauf qu'elle c'était son père adoptif du coup, leur première rencontre (et on peut même la jouer en rp si tu veux ) aurait pu se faire sur un toit, où dans un parc, qu'importe la nuit, parce que justement ni l'une ni l'autre n'arriver à trouver le sommeil et bam elles sont tombées l'une sur l'autre bon forcément, première fois qu'elles se croisent, elles vont pas déballer leur vie comme ça, mais elles auraient pu se soutenir l'une l'autre, voir que quelque chose n'allait pas et vu qu'elles ont vécu la même chose, bah elles auraient pas tarder à comprendre le pourquoi du comment, etc... pas sur d'être hyper claire bref, et donc elles pourraient être devenues des amies nocturnes, qui ne se voient que lorsque la nuit est tombée et que le sommeil veut pas venir |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mar 22 Nov - 18:10 | |
| heeeeeeeey. j'aime beaucoup beaucoup ton idée. et comme tu dis, le fait que Boo vient d'arriver en ville ne change pas grand chose puisque je suis totalement pour l'idée de faire leur première rencontre en rp, si l'envie te dit toujours. je me disais que ce pourrait être dans un parc, avec une Boo qui cherche à se familiariser avec les lieux tout en cherchant sa soeur à toute heure du jour et de la nuit. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mar 22 Nov - 19:16 | |
| haaan j'suis trop contente que l'idée te plaise yeaaah, dans ce cas on peut totalement lancer le rp de leur première rencontre en plus si Betty est du genre à chercher sa soeur jour et nuit, on peut parfaitement faire la rencontre dans le parc de nuit (genre Betty aurait pu penser que sa soeur pourrait se pointer à ce moment là ouais j'anticipe un peu, mais c'est pas obligatoire hein ) enfin voilà, du coup si t'es partante pour un rp |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mar 22 Nov - 19:20 | |
| ça me va parfaitement. et peut-être même que de dos, rapidement à regarder lish, elle aurait pu croire que c'est bee qui l'a finalement retrouvé ou je sais pas, et du coup, ça fait une première rencontre pleine de malaise et de mal de vivre qu'on dit pas, mais qu'on ressent. (scusez, je m'emporte à mon tour ahaha.) du coup pour le rp, tu veux le commencer ou je le fais? ça ne me dérange pas dans les deux cas. |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mar 22 Nov - 19:25 | |
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Invité ☽ ☾
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mar 22 Nov - 19:29 | |
| d'accord |
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1000 x 0 = kurt ▹ posts envoyés : 897 ▹ points : 2 ▹ pseudo : fitotime ▹ crédits : hoodwink (avatar) - tumblr (gifs) - saez (texte) ▹ avatar : jaw ▹ signe particulier : légèrement alcoolique
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| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) Mer 23 Nov - 10:46 | |
| *vient laisser sa marque*VOILA ! :jedediah: |
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| Sujet: Re: open hands are hard to hold onto anyway (BB) | |
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| | | | open hands are hard to hold onto anyway (BB) | |
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