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Invité ☽ ☾
| Sujet: Come closer. Mer 9 Nov - 1:43 | |
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Dunn, Maia Bref la vie m'emmerde cordialement, voilà ma profession de foi. w-eirdcrap|tumblr PRÉNOM|NOM Maia (Gigi) Dunn. Comme Dave Dunn. Véritable enfoiré de première, avocat des tribunaux de grande instance de Richmond Hill mais également député à la Commission Parlementaire de la Justice. AGE|LIEU DE NAISSANCE Vingt-deux balais. Née à St Joseph’s Candler, à Savannah même. NATIONALITE|ORIGINE Anglo-américaine de part les ancêtres de sa vielle, anciens colons de Savannah. Son père, rien d’autre qu’un bon vieux ‘ricain qui va souvent téter sa goutte auprès de ses parents, riche truc du cul de Saint-Louis. Ce qui fait d’elle une véritable américaine élevé aux OGM, aux chattes épilées et aux seins en plastiques. ETUDES|EMPLOI Autrefois ancienne étudiante en photographie, gosse de riche qui évoluait dans une vie pavée de mensonges et de décadence emplie de faux semblant, à ce jour, appartenant à un groupe, sans trop savoir comment, elle a prit le micro et esquisse des notes aux sons hésitants. Bancales et sans douceurs, de sa voix brisée qui par moment n’atteint pas le bon timbre ni le bon accent. STATUT CIVIL Souvent compliquée, naïve petite fille érotomane infidèle qui n’a de cesse de tomber amoureuse, d’harceler et de se traîner dans la merde pour mieux chérir l’objet de ses fantasmes inavoués.
CARACTERE Versatile / Frivole / (In)toxiquée / Naïve / Femme-enfant. C’est une femme. C’est une gosse aux étranges élans d’adolescente. Elle pleure. Souvent. Elle rit. Parfois. Pour un rien. Pour une colère. Dérisoire. Désabusée, le visage barré d’un sourire navrant, elle regarde le monde tourner sans trop en comprendre le sens. Borderline qui s’accepte, écorchée vif qui idéalise les gens et les choses. Qui croit et qui fait confiance. Qui voit les jours sombres devenir plus lumineux, d’espérer que dure toujours l’amitié. D’encenser un nouvel amour rencontré et d’admirer un presque parfait inconnu. Tanguer et se balancer au gré des marées. Ne pas comprendre cette colère. Tantôt dévastatrice, tantôt mélancolique. Et rester totalement désabusée. Désabusée devant ces jours de soleil blanc, écrasant le coeur. Ces jours d’air lourd, de moiteur collante. Ces jours ou tout est effort et volonté. Où tout est rendu difficile. Ces jours où l’âme elle même se sent mal. Affolée par les vagues de colère de la nature humaine qui submergent les digues. Déferlement de mots, grondement assourdissant. Déluge que rien ne tarit si ce n’est cette main tendue que l’on chérit. Fidèle petite fille, emprisonnant cette main dans une amitié indéfectible, sincère, le nez toujours en l’air, à regarder et compter les étoiles. A travers la lentille de son objectif et d’emprisonner choses et gens sur du papier glacier quand l’orage passe. Ou le nez dans la poudre éphémère de ses paradis artificiels et de s’y accrocher parce que c’est addictif. Ne vivre que pour elle. Aveuglée par sa magie qui ne fait qu’amplifier son envie de continuer.
GROUPE Alizé = Better place
Votre pire souvenir ? C’est une chose qui est présente dans sa mère. C’est ce que lui répétait sans cesse cette femme qui, autrefois, ressemblait à une jeune femme pleine vie. C’était bien avant. Avant la maladie. Mentale. Celle d’une boulimie qui lui grignote doucement la vie. Brindille fragile, dégoût dans le regard, caresse hésitante dans une chevelure opaline si semblable à la sienne. Autrefois. Belle femme paumée au bras d’un homme qui se voulait pour épouse une personne bien moins cultivée que lui pour mieux l’exposer. L’exploiter en toute impunité. Sans amour ni tendresse. Alors elle s’est laissée phagocyter par cet illustre homme intelligent. Lui qui voit les femmes comme des machines aveugles et sourdes en cruauté féconde. C’était une obligation. De par ses parents. Pour la bienséance : une femme pour pérenniser la lignée de Dunn. Alors il s’est dégoté une bobo illuminée. Vegan et intègre, une douce illuminée autrefois souriante et forte pour finir malmenée au coté d’un mari rustre et violent. Seule et désabusée, pour faire face à cette chose grandissante en elle. Soumise au caprice d’un gamin, engendrant un progéniture bien loin de lui plaire, la gamine n’a eu comme image paternelle que celle d'homme sectaire et aigre. Lui, témoignant tendresse et amour à coup de poings et claques déliées sur le beau visage de sa mère. Colère grandissante, avilissante, sans aucun retour possible, la gamine n’a que onze ans quand elle le voit faire pour la première fois. La première d’une longue série. Le regard sombre. Le rictus mauvais et la main reposant sur le chemisier déboutonné de sa mère. De cette pauvre femme au regard perdu alors qu’elle regarde sa môme sur le pas de la porte de la cuisine. Blême et carminée, sa lèvre a tressauté. Rien qu’une seule fois. Qu’une seule fois pour demander à sa fille unique de les laisser tranquille. « ton père et moi avons des choses à régler. ». « alors c’est ça l’amour ? ». « ça n’existe pas ce genre de chose. rien que des futilités de petite fille. » « maman, tu m’aimes ? » « … »
Quelles sont les personnes en qui vous avez le plus confiance ? L’hardiesse facile, Maia aime facilement et accorde sa confiance rapidement. Excluant ses parents du tableau, ses amis, comme une deuxième famille, elle voue une confiance aveugle en chacun d’eux, du groupe, même de Jimmy. Malgré ses mots parfois blessant. De son rejet constant. Toujours blessant. Pourtant il y a les autres. Même si elle ne sait pas trop ce qu’elle fait là, gravitant autour d’eux, appartenant à un univers diamétralement opposé. Il y a Joe. Celui qu’elle placerait en premier sur son échelle sentimentale. Parce qu’entre eux ça forme un tout. Ca ne s’explique pas. C’est simple. C’est doux. Comme la présence rassurante d’un frère. D’un membre de sa propre famille. Ou encore Seven. Entre pyrex et rêves oniriques. A la frontière du réel. Dans ses paradis artificiels, quand elle s’assoit à ses cotés, consommant dans une atmosphère embrumée, le coeur léger. C’est chaud. Ca fait mal et parfois ça coince. Sans trop savoir pourquoi. Et puis Trix’ ou encore sa belle Barbra. Amitié fidèle. Raccrochées par un fils, elle voit tout par elle, la dévore du regard pour mieux s’imprégner de son aura tellement elle éblouit malgré ses bleus à l’âme. Malgré ses recoins sombres. Il y a aussi son prof ou encore cette fille qu’elle a rencontré par hasard, un soir. Impossible de se souvenir de son nom. Ou encore son ancien correspondant de Torronto. Et encore tellement d'autres qu'elle ne s'en souvient plus vraiment. « certainement une véritable tare de croire et de faire confiance à n’importe qui. »
Avez-vous perdu un être cher au cours de votre vie ? Physiquement. Non. Personne n’est mort. Ni ses parents, ni ses grand-parents. Ou encore ses cousins. Mais il y a maintenant plusieurs années, Maia à perdu son ancrage. Sa bouée. Son attache dans cette mer de tourment, lorsque celle-ci se déchaine, hostile et violente. L’esprit de sa mère est partie se réfugier quelque part. Loin. S’oubliant dans une douce folie qu’elle arpente dans son petit 9m2. Tout de blanc vêtue, muselée dans la psychiatrie et la folie de son être. « tu sais, on raconte que la folie, c’est héréditaire. p’être que t’es folle ? ». = You are a memoryI. Maia est fille unique. II. Son prère, Dave Dunn, ‘ricain votant pour le parti républicain, fidèle fervent de Donald Trump, fils unique d’une riche famille, il est l’image même du misogyne, du mec qui a réussi sans personne et qui n’a jamais voulu avoir d’enfant. III. Il a rencontré sa femme à un vernissage. Elle était belle. Elle était blonde. Elle était artiste bobo, une femme simple mais sans trop d’envergure. Une aubaine. IV. Mariage d’intérêt, sans amour, sans passion, juste quelques étreintes froides dans un lit trop grand, dans des draps trop froids. Dave troc ses habits de gentlemen pour celui d’un homme rustre et violent. Ne supportant pas de voir une femme au dessus de lui, il lui apprend ou se trouve sa place : à la maison, remplissant ses taches de femme d’intérieure, bien loin de ses lubies d’évasions et artistiques. Heureusement que la gosse ne tarde pas à arriver. V. Maia déboule dans un univers mis sous papier glacé. Bébé vagissant et turbulent, bien loin de plaire au patriarche de la famille, ce dernier accorde peu d’intérêt à ce nourrisson. Une fille. Déception amer, il voit en sa femme la fautive toute désignée. La prenant à partie, la rabaissant pour son incapacité à lui donner un fils. VI. Désintérêt pour sa michtonne qui chiale souvent pour un rien, Dave se perd facilement et souvent entre les cuisses de ses stagiaire et plus communément entre celles de sa secrétaire. Cliché, pourtant elle lui correspond. Aussi lubrique et libertine que lui qui aime la soumission. Gros poisson blindé de fric, le talon fiché dans le cuire de la belle berline familiale quand lui prend l’envie de la culbuté, jupe retroussée, mouillant les sièges de son excitation d’une baise vite fait bien faite. VII. Maia grandit dans la solitude et le silence pesant d’un appartement trop grand. Sa mère comme unique compagnie, elle n’est qu’une ombre parmi les ombres. Silencieuse, elle glisse entre les murs et se terre dans un profond mutisme lorsque son mari entre à la maison. VIII. La gamine apprend le paino, le solfège le dessin, l’art et son essence même. Sa mère l’y oblige, véhiculant au travers du corps fluet de sa gosse sa passion et ses envies. Ensemble elles prennent plaisir à s’échafauder des histoires, s’évader loin de l’appartement et de l’atmosphère hostile. Véritable bouffée d’oxygène, simple prétexte à une femme qui à besoin de prendre la tangente, Maia voit en elle un lien indéfectible. IX. N’accordant que peut d’importance à cette homme qui ne lui adresse que très rarement la parole, pourtant en mal d’affection, plus d’une fois Maia tente d’attirer l’attention sur elle. Colères, crises et pleures, juste des caprices bon à faire se tourner vers elle les prunelles sombres de son paternel. X. Claques et punitions pour perturber ainsi le quotidien de cet homme sombre et austère, sa mère s’interpose pour la première fois. Elle a six ans. XI. Les bleus rythmes la vie des Dunn. XII. Maia se désintéresse peu à peu de sa famille et de l’art que lui a transmit sa mère. Ne leur accordant que peu de crédit, s’émancipant seule dans sa chambre d’un rose criard, elle s’enferme sur elle même, aveugle et sourde à l’environnement qui l’entoure, considérant sa famille faite de choses normales et banales. XIII. Elle est échevelée. Chevelure désappointée, regard écarquillé, elle est cette biche brise dans les faisceaux lumineux d’une voiture qui déboule à toute vitesse sur elle. Vautrée sur l’îlot centrale de la cuisine, sa joue s’écrasant sur le marbre froid, pantalon baissé et cette poigne violente dans ses cheveux. XIV. « Ton père et moi avons des choses à régler. » XV. Première scène. Violente et mordante. Emplit de larmes et de bleus carminés. Femme battue, sa mère s’enferre dans ses silences, sombrant doucement dans la dépression et l’anorexie. XVI. Maia grandit trop vite, trop loin du milieu qu’on lui impose. Elle s’évade, se désintéresse de cette famille, préférant traîner avec ses amis, ses gosses de riches qui lui ressemble et qui ont le monde à leurs pieds. Pour quelque billets. Pour quelques joints. Dans un monde teinté de pyrex, entre alcool et drogues douces, Maia s’y traine, s’y vautre et lèche cette poudre sur les lèvres de son amie. Première expérience. XVII. Elle n’a que quinze ans, mais ça lui plait. Son ventre se contracte et une douloureuse pulsation naît entre ses cuisses lorsqu’elle se penche pour l’embrasser. Lorsqu’elle s’assied sur ses cuisses, jupe retroussée, la main sous une brassière à toucher une poitrine qui n’est pas la sienne. Lorsque la main de cette belle Saline frôle sa culotte de coton. Les gémissements sont dures et le plaisir inédit. Loin de s’éveiller à l’intérêt que pourrait lui apporter un homme, ses sentiments, ses désirs, ne sont dirigés que vers cette chevelure d’ébène et ces cuisses cuivrées qui s’écartent facilement sous ses doigts, humides et impatients. XVIII. Touchés innocents, toutes deux dans la même institution, tout est bon pour se retrouver. A la sortie des cours, en soirées, chez elle. Souvent chez elle. Dans sa chambre. Si grande et aux parents souvent absent. Pourtant Saline semble se désintéresser de cette bouche carminée, de cette belle garce de langue, curieuse qui souvent vient heurter les contours doux et chauds de ses lèvres, de ses replis, souples et humides. XIX. Maia est bien avec elle. Elle est paumée, elle oublie un peu le quotidien de la maison. Des cris silencieux de ses parents. Les ombres et marques creusants un peu plus cette femme autrefois si pleine de vie. Sa mère. Une loque qui subsiste dans les méandres brisées de son esprit. XX. Elle la quitte, elle, Maia, sa petite amie, pour des mains plus virils. Maia la voit. Avec ces hommes qui ne l’intéresse pas. Parce que qu’en on se met avec un homme, c’est pour la vie. C’est parce qu’on l’aime. N’est-ce pas ? Alors la gosse replonge dans ses travers, dans ses soirées, dans la lueurs incandescentes de quelques clopes vite fumées à l’arrière du lycée, dans des bouteilles vite sifflées sur le parking d’une sauterie de skin party. XXI. Un soir, maman est assise dans la chambre d’amis. Ses tableaux éventrée, elle regarde le vide. Pull trop grand sur son corps décharné, l’ecchymose violine se détache de sa clavicule. Couleur criarde sur cette peau d’albâtre. Le regard paumé, l’étreinte avec sa gosse est froide. La fin d’une vie en communauté. « Alors c’est ça l’amour ? ». « Ca n’existe pas ce genre de chose. Rien que des futilités de petite fille. » « Maman, tu m’aimes ? » « … » XXII. Un jour, elle n’est plus là. C'est arrivé comme ça. Maia est seule dans l’appartement. Le silence la rongeant lentement. Sa mère. Plus qu’une douce illuminée internée. Elle régresse. Elle s’affame. Elle se meurt. Son père. L’illustre inconnu qui passe plus de temps à Richmond Hill qu’ici a foutu le camp. Elle. Son seul et unique enfant. Déshéritée, plus q’un vague souvenir, l’appartement vendue, il lui demande de quitter les lieux. XXIII. Majeur mais sans un sous en poche, elle squatte, s’invite et se fait oublier quelques temps chez des amis. XXIV. Spirale infernale, repliée sur elle même, seule et abandonné, ces visites à l’hôpital psychiatrique se soldant par une névrose grandissante face au regard fantomatique et décharné de sa génitrice. Gribouillant sur ses feuilles blanches des dessins enfantins, la chevelure en désordre et terne, l’oeil perché. XXV. « Tu sais, on raconte que la folie, c’est héréditaire. P’être que t’es folle ? ». XXVI. Refuge dans des paradis artificiels, refusant de regarder la vérité en face et de se prendre en main, Maia s’engouffre sur une route loin des dictâtes de la sociétés, envoyant joyeusement se faire foutre le politiquement correcte et les faux semblants. Le démon est là, il l’a envahi, anéantissant ses cellules et prenant possession de son corps. Sans aucun remord. XXVII. Solitude mordante, elle a commencé à traîner, a ressembler à ces mômes qui errent sans but dans les rues, le regard hagard tout en continuant à capturer le monde au travers de son objectif. Un souvenir du passé. XXVIII. Elle est bourrée. Elle est chez une amie. Enfin une connaissance. Une amie d’une amie. Quelque chose comme ça. Elle est coincée contre un mur, son corps écrasé par les lignes durs d’un mec. Rencontré comme ça. A moins que ce ne soit le copain d’une amie. Elle ne sait plus. Elle s’accroche. Elle ressent. Contre son bassin. Ca la rend fébrile. Ca la rend moite et totalement indécente. Paumée, elle se laisse guidée, enfermée dans une chambre pour mieux embrasser cette bouche obsédante. Elle se fait docile et soumise à ses bons plaisirs, comme sa mère, subissant des caresses dénudées de sens. Un première fois sordide. Bâclée. A cette instant le prince charmant ressemble plus à un crapaud. Pourtant elle sourit quand il lui demande si ça lui a plu. « Ouais. C’était bien. » Elle demande s’ils vont se revoir. Il hausse les épaules. Un de ces quatre. Peut-être. Peut-être que non finalement. XXIX. Gamine naïve, elle cherche à s’accrocher. Au premier venu, au premier regard, à la première photo. Dépendance affective, elle a un jour capturé une image. Elle était belle, blonde. Comme sa mère. Autrefois. Elle était éclatante. Parce qu’elle souriait. Parce qu’elle éblouissant malgré la nuit, malgré la saleté des murs accrochés aux ruelles sombres de Savannah. Un bijou qu’elle a voulu partager. XXX. « Moi c’est Maia. J’peux m’assoir à coté de toi ? » Une routine. Elle assise contre elle. Contre son corps chaud, lui communiquant des sentiments. Un baume sur ses sentiments bafoués. Ne plus avoir l’impression d’être seule. Respirer l’odeur de cette chevelure et ne plus la quitter. S’immiscer dans sa vie et s’y accrocher parce que pour la première fois, il fait bon d’être secouer par un sentiment d’appartenance. XXXI. Une routine. Elle assise contre elle. Contre son corps chaud, lui communiquant des sentiments. Un baume sur ses sentiments bafoués. Ne plus avoir l’impression d’être seule. Respirer l’odeur de cette chevelure et ne plus la quitter. S’immiscer dans sa vie et s’y accrocher parce que pour la première fois, il fait bon d’être secouer par un sentiment d’appartenance. XXXII. Barbra.
☆ ☆ ☆BEHIND THE DOORPRÉNOM|PSEUDO babycake alias popo, pau' ou bien pauline. AGE vingt-six ans. PAYS la france. AUTRE COMPTE nop. AVATAR charlotte mckee. MOT DE LA FIN vous êtes badass... je suis une faible créature, j'aime les illuminés . - Code:
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<pp>charlotte mckee</pp> maia dunn
Dernière édition par Maia Dunn le Sam 12 Nov - 12:58, édité 9 fois |
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1000 x 0 = kurt ▹ posts envoyés : 897 ▹ points : 2 ▹ pseudo : fitotime ▹ crédits : hoodwink (avatar) - tumblr (gifs) - saez (texte) ▹ avatar : jaw ▹ signe particulier : légèrement alcoolique
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| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 8:23 | |
| (si mon message dérange n'hésite pas à me le dire je supprimerais) GOSH, ton perso à l'air tellement cool Bienvenue à toi, si tu as la moindre question, n'hésite pas Bon courage pour ta fiche !! |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 10:10 | |
| bienvenuue |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 11:59 | |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 12:17 | |
| Merci pour vos messages les tits loups J'espère ne pas trop traîner pour la suite, généralement, la première partie est toujours la plus simple... |
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Penne-gorgonzola ▹ posts envoyés : 841 ▹ points : 3 ▹ pseudo : Baalsamine ▹ crédits : wild heart & anesidora ▹ avatar : Kiana Ledé
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| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 12:38 | |
| aaaw j'adore le début j'ai hate hate hate d'en savoir plus <3 courage pour la suite bella ! |
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Invité ☽ ☾
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 16:26 | |
| Merci les filles pour votre message Penelope.T'es belle toi... J'espère que la suite te plaira |
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Coyote ▹ posts envoyés : 2611 ▹ points : 52 ▹ pseudo : marion ▹ crédits : lunar (av) + miserunt la kassos (gif) ▹ avatar : micky ayoub ▹ signe particulier : allure de zonard et pieds qui traînent, trop de couches de tissu pour couvrir ses épaules voûtées, l'air toujours un peu usé.
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Invité ☽ ☾
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 19:42 | |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 19:49 | |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 20:01 | |
| ah .... bonjour je me présente, mathilde, je mets toujours les pieds dans le plat avec une infinie délicatesse, ravie de te rencontrer
oui alors non en effet, je n'avais pas lu tes réponses aux questions encore, juste la première partie, et du coup oui je n'ai pas du tout saisit que c'était maia je dois l'avouer en effet je ne m'attendais pas du tout à une petite fille riche et qui fait toujours partie de ce milieu là évoluer dans la bande du coup pour le moment je suis un peu perplexe sachant que pour son métier en plus, elle doit faire partie du groupe de musique qu'ils ont, donc soit chanter, soit jouer d'un instrument, je ne sais pas si tu avais vu ? |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 20:05 | |
| Effectivement, je me doutais bien... Sisisi j'avais tout bien lu et tout et tout et bien compris mais bon, j'ai pris une direction bien merdique à vrai dire lol. Alors j'ai pas tout mis dans le début de fiche et peut-être que ça peut porter à confusion, mais je te mpotte |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Mer 9 Nov - 21:33 | |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Sam 12 Nov - 12:51 | |
| Sidney.N'écoute pas Mahtie, c'est la vieillesse précoce, communément aussi appelée alzheimer, qui commence ! /sourire angélique ceci, ma chose blonde, est bien la Maia des Bo Merci pour ton message ! Callen.Merci merci :love: Cecilia.T'es une boulette, mais une boulette toute mignonne Je m'excuse encore pour le quiproquo sur ce début de fiche |
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Invité ☽ ☾
| Sujet: Re: Come closer. Sam 12 Nov - 18:55 | |
| sale gosse
Félicitations !
bon je suis bien contente qu'on ait réussi à lever ce petit quiproquos et que tout soit rentré dans l'ordre du coup en plus ta fiche est juste super bien, j'adore ta plume, c'était un vrai plaisir de te lire et pis ton histoire est beaucoup trop triste en tout cas c'est nickel, j'aime beaucoup ce que tu as fait de maia, on retrouve vachement bien sa douceur et son côté perdue dans la vie, alors c'est tout parfait
tu as réussi la difficile épreuve de la fiche de présentation et nous t'en félicitons tous. tu fais partie maintenant et à jamais de we are broken et tu peux en être fière, tout comme nous (a) tous d'abord, tu iras créer ta fiche de liens pour te faire une tonne d'amis, si cela n'est pas déjà fait. cette partie est obligatoire tout comme tu vas devoir te trouver un métier. tu peux bien entendu passer par la partie détente où tu pourras sans modération, flooder à tout va et te faire une tonne de friends, ouais ouais, c'est top ! ne pas oublier la partie rp, parce que c'est ce qui compte le plus par ici. le principal, c'est que tu t'amuses et que ton séjour parmi nous soit des plus agréable. n'oublie pas aussi de remplir entièrement ton profil sous risque de recevoir un petit mp de notre part te le rappelant. amuse toi bien ! |
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| Sujet: Re: Come closer. | |
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