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 we broke ours mirrors (oliver)

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MessageSujet: we broke ours mirrors (oliver)   we broke ours mirrors (oliver) EmptySam 9 Juil - 14:36




~ oliver & magda ~

we broke ours mirrors

La petite bande d'une dizaine de pute avait été déposée dans une ruelle, à l'abri des regards indiscrets, elles avaient toute reçu les directives pour cette nuit et Magda - comme d'habitude avait été gardée un peu plus longtemps que les autres tandis que toutes étaient déjà partis écarter les cuisses dans des bagnoles en bord de route. L'adolescente avait reçu des directives supplémentaires par celui, que les autres appelaient connard. Amoureusement aveuglée par le mac, la jeune prostituée ne disait jamais non à rien et elle se contentait d'exécuter le moindre de ses caprices pour lui plaire. La rouquine n'était âgée que de dix-sept ans lorsqu'elle était tombée sur le mauvais gars, au mauvais moment - qui l'avait enrôlé dans le sale métier qu'est la prostitution, trop jeune disaient certains et surtout certaines autres péripatéticiennes plus âgées, jalouse de la jeune fille pour x ou y raisons dont Magda se fichait amplement, elle n'avait bien sûr d'yeux que pour Connor.

Dans la nuit, la rouquine avançait d'un pas gracieux et lent, un pas aux allures de féline - qui lui allait bien, sur le trottoir ses escarpins frappaient le bitume d'un son audible et sec avec toujours le même rythme, tandis que son regard bleu scrutait l'horizon, tournant la tête dès qu'une voiture frôlait le trottoir. Elle n'était pas beaucoup vêtue, elle ne portait qu'une petite robe noire, pas trop courte pour ne pas faire dans la vulgarité mais, assez pour aguicher l'œil des messieurs, une petite veste, assez courte, pour dire de ne pas attraper la crève mais, surtout elle portait une lingerie de choix: dentelle noire, string et porte-jarretelles tenant ses collants noirs et transparents ornés d'une ligne noire au dos, sur ses cuisses. Elle était maquillée, pas tellement, juste assez pour lui donner l'air farouche et peut-être la vieillir un petit peu, également sa tignasse rousse était relevée en une haute queue de cheval - pour faciliter ses mouvements en voiture - elle avait tout prévu: elle avait l'habitude et c'était même presque triste à dire, qu'une gamine de dix-huit piges seulement était déjà habituée au métier..  

La nuit n'était pas couverte mais belle et bien noire, on distinguait - si l'on y prêtait suffisamment attention - les étoiles dans le ciel, bien trop nombreuses pour pouvoir les compter. De ses lèvres rouges entrouvertes, Magda recrachait la fumée toxique de la cigarette qu'elle avait allumée en commençant sa progression sur le trottoir: les clients n'avaient pas l'air de se presser ce soir et elle se contentait de profiter de la vie nocturne tout en fumant une clope - dont elle n'avait même pas besoin, ça la détendait seulement et c'est tout ce qu'elle trouvait comme avantage à fumer. Elle fumait à s'en intoxiquer les poumons, mais elle s'en fichait, elle trouvait que ça faisait bien de fumer et surtout que ça faisait du bien.

Puis, les phares d'une voiture vinrent éclairer la rue dans laquelle la jeune Fanning progressait depuis quelques minutes déjà, une caisse pas trop vieille mais, pas trop récente non plus, le truc qui fait du bruit en approchant tu sais ? L'automobile roulait au pas et la jeune prostituée se retournant vers cette dernière pour en scruter l'intérieur fût d'abord éblouie avant d'y voir clair: un homme d'une quarantaine d'années peut-être, aux cheveux commençant à tendre vers le gris était au volant, il avait une clope au bec et reluquait la jeune femme de haut en bas. Le premier sentiment de la rousse était le dégoût - un rapide coup d'œil en arrière, vers une autre caisse garée plus bas dans la rue - dont les feux étaient éteins et dont on devinait une silhouette masculine assise côté conducteur à l'intérieur - suffit à la remettre en confiance. Le client avait baissé la vitre et avec un sourire aguicheur, Magda s'était penchée vers l'habitacle, offrant au passage une vue généreuse sur son décolleté au conducteur. « Bonsoir ma jolie, tu me l'a fait à combien la pipe ? » Professionnelle jusqu'au bout, l'adolescente se courbait un peu plus pour faire jouer ses atouts en sa faveur, tout en répondant suave: « 25 dollars darling mais, tu m'as l'air plutôt bien membré, je peux te faire la prestation entière pour légèrement plus.. » Un sourire séducteur et un clin d'œil, l'affaire était bouclée.

Client garé, Magda à bord du véhicule - à l'arrière pour la facilité des mouvements. La pute s'exécutait, des gestes fluides et mécaniques, effet assuré sur l'homme mur qui se mettait à pousser des râles, il était temps de passer aux choses sérieuses - après avoir pris les précautions nécessaire, Magda se laissait pénétrer, sans y prendre plaisir mais pour le client il fallait bien simuler, alors elle s'était mise à gémir en cadence avec les coups de reins. Elle se savait observé et ça suffisait à l'exciter suffisamment pour finir sa prestation.  

Cette-nuit trois clients se succédèrent, éreintée, l'heure de remballer bagages approchait. La jeune femme récupérait les derniers billets d'un client, qu'elle glissait ensuite dans son sac - dans lequel d'autres vêtements plus confortables l'attendaient - elle allait devoir donner un bon paquet de ce qu'elle avait récolté à Barnes mais, qu'importe. Il allait être satisfait de son travail et c'est ce qui comptait pour l'amoureuse.. Au moment où la voiture du dernier client s'en allait, une voix masculine dans son dos s'élevait: la belle sursautait légèrement, surprise, tout en se retournant pour faire face à son interlocuteur..



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MessageSujet: Re: we broke ours mirrors (oliver)   we broke ours mirrors (oliver) EmptyDim 24 Juil - 0:10




~ oliver & magda ~

we broke ours mirrors

Plus d'une semaine s'était écoulé depuis que Blake Stevens était descendu de mon yacht, plus de 7 jours, une éternité et alors qu'elle m'avait laissé sous entendre que j'aurais très rapidement de ses nouvelles, je me trouvais dépourvu, un bien pour un mal. Bien sur que la jeune femme me manquait mais je ne me sentais pas digne d'être avec une femme ainsi, depuis les dix années qui s'étaient écoulé j'avais changé. Alors que je portais un uniforme ou du moins une plaque, défendant mes citoyens et étant le garant des valeurs que représentait ce badge, j'avais l'impression de ne plus en être digne, de n'être plus rien. Mais dés lors si je n'avais plus ça, que me restait-il ? A part reprendre la société de mon paternel que je ne voulais pas, je soupirais à cette idée. Pendant plusieurs jours je m'étais remis en question, demandant trois jours de récupération pour réfléchir, et avaient passé la plupart de ce temps libre entre bar et boite de nuit à me bourrer la gueule, me réveiller avec une barre au milieu du crâne. Me foutant un bon coup de pied au cul pour aller courir, parcourant de long kilomètre, mes pas m'avaient guidé deux fois au cimetière, sur la tombe d'eva je m'étais recueilli mais aussi sur celui de ma propre sœur, deux femmes qui avaient compter dans ma vie comme jamais, l'une me manquant plus que l'autre, qu'elle me pardonne si elle entends ça. La famille c'est autre chose qu'une femme, ce n'est pas Eva même si cette fille m'a changé en bien m'a fait prendre conscience d'un tas de chose, la disparition d'Hope a été pire, je perdais ma sœur, celle a qui je confiais tous mes désarrois, m'engueuler mais aussi me réconcilier autour d'un pot de crème glacé et d'une série qu'elle choisissait. Je n'ai jamais eut le courage ni l'occasion de lui parler de mon geste, d'avoir vengé la femme que j'aimais mais d'avoir perdu mon âme au passage, si il existait réellement le paradis ou un lieu dans le même genre, j'espère vraiment qu'elle n'a pas ses yeux posés sur moi parce qu'elle serait bien déçu. Je me déçois, me dégoûte même, il faut regarder les choses en face comment pourrais-je continuer de sauver mes concitoyens, de porter cette plaque alors que je suis un criminel, la vérité c'est que je n'ai pas d'autres choix que de me taire. Encore plus maintenant, après de long jours à songer je décidais pourtant de retourner au travail, tout simplement parce que c'est le seul endroit qui enlève mes pensées sombres c'est ce bureau, c'est ses dossiers qui s'empilent sur mon bureau, ses criminelles qui faut arrêter. Ses derniers temps c'est une affaire de prostitution qui était au centre de nos occupations, le maire nous mettant un peu la pression puisque ce réseau commençait à prendre de l'ampleur, et ça gâchait l'image de la ville. Il n'avait pas tord mais il n'imaginait pas le travail que ça demandait, le problème avec ce genre d'affaire c'est que les filles sont souvent des femmes sous l'emprise d'un mac, sans papier, vendu par l'intermédiaire d'on ne sait qui, et elles étaient souvent remplacé, de plus en plus jeune. Il fallait planquait pour observer les clients, les prostituées ou péripatéticienne comme il faut le dire.

Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi une femme se laissait faire, salir son corps pour quelques dollars dont la moitié ou plus ira dans les mains d'un homme, se faisait insulter, tombant sur des hommes aux pratiques assez douteuse, à l'heure d'aujourd'hui il n'y a plus rien d'excitant là-dedans et le tarif est bien trop coûteux quand on sait que certaines étudiantes font ça juste pour pouvoir se payer une chambre universitaire. Et ses hommes, des morts de faim qui ont besoin de verser quelques dollars pour qu'une femme veuille bien coucher avec eux ? Si c'est pas lamentable on est au vingt et un éme siècle allez dans un bar, ou une boite de nuit si vous avez un physique assez normal ou avantageux vous ne rentrerez certainement pas seul chez vous. Pourtant ce genre de bisness continuait de fonctionner, il fallait agir, j'élaborais un plan avec l'aide d'autres supérieurs, prenant plusieurs quartiers, les affections furent donnés à chacun pour planquer et agir sur le client et la prostituée. Je décidais d'aller sur le terrain seul, tandis que les autres agents étaient par équipe de deux, je me positionnais sur une place de parking guettant une petite place entre deux immeubles et des ruelles, j'observais sous mes yeux se jouer un défilé de femmes et d'hommes, mais aucun ne fit quoi que ce soit sur place, ne me laissant pas la possibilité d'arrêter quoi que ce soit, j'avais un partenaire dans quelques rues plus loin qui agirait si besoin .

Puis soudainement une voiture s'arrêta je pu remarquer une femme pénétrer dans la voiture, exécuter des techniques sexuelles avant de récupérer de l'argent, elle sortit du véhicule, une jeune femme qui était même une jeune adolescente qui était loin d'être majeure, je ne pouvais comprendre pourquoi une femme pouvait s'infliger ça, se laisser salir par des gros porcs. J'attrapais mon talkie-walkie « Oli pour Matt' t'as une berline bleu foncé qui va passer devant toi immatriculer BX 523 ZA, tu me l’emmènes au poste et l'interroge s'te plait. » mon appel durant seulement une vingtaine de secondes la pédale de l'appareil de communication relâché j'entendais la confirmation de mon partenaire avant de me diriger sur l'autre cible. Juste le temps que la voiture parte avant de ne pas laissait s'échapper la jeune femme, elle avait à peine fait quelques pas, me tournant le dos quand les paroles sortirent de mes commissures. « Police, les mains en l'air pas de geste brusque. »



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MessageSujet: Re: we broke ours mirrors (oliver)   we broke ours mirrors (oliver) EmptyMer 17 Aoû - 19:54




~ oliver & magda ~

we broke ours mirrors


« Police, les mains en l'air pas de geste brusque. » Lui criait-on presque, dans la pénombre. D'abord surprise par cette rencontre soudaine avec un membre de la police, la belle s’exécutait tout en pivotant lentement sur ses hauts talons, les mains bien en évidence au niveau de ses oreilles. Putain. Barnes allait péter un câble. Tendue, elle se décrispait peu à peu en soufflant rageusement:  « Putain. Vous auriez pas pu en surprendre une autre ! » Non. Elle ne niait pas, à quoi bon, c'était évident: elle avait été prise en flag (si l'on considérait la prostitution comme un délit - au yeux de la loi ça l'était apparemment). La belle se voyait déjà passer toute une batterie de test et rester au commissariat pour la soirée, c'était déjà presque écrit - ils ne l'a relâcheraient pas sans avoir obtenu ce qu'ils voulaient d'elle.

Puis lorsque la rouquine se retrouva face au policier et que ses prunelles bleues rencontrèrent les siennes se fût le choc, voire même la stupeur. Relaissant tomber ses bras le long de son corps et manquant de faire tomber son sac où l'attendait une tenue plus de son âge (on va dire ça comme ça), la gamine fût la première à desserrer les lèvres: « Oliver ? Mais.. » Ensuite la boule au ventre: la peur. Ils étaient tout les deux aussi surpris l'un que l'autre - certainement que le jeune homme ne s'y attendait pas et pour cause, il connaissait Magda - même si ça faisait un bout qu'ils ne s'étaient pas croisés - cousins de par leurs pères respectifs, ils avaient partagé un bon nombre de repas de famille assis à la même table. S'appréciant même l'un l'autre, comme on apprécie normalement un membre de sa famille. Et comme tout membre de cette grande famille, il n'était pas sans savoir que les Fanning étaient de grands religieux, pratiquant et se joignant à la messe tout les dimanches. Les Fanning étaient connus pour leur vocation au Seigneur et ces autres conneries - comme le diraient leurs quatre gosses. Toujours propres sur eux et certainement pas dans les problèmes, Magda encore plus que les autres soignait son apparence, et leurrait tout le monde en passant pour la petite fille de bourgeoisie modèle - alors qu'elle n'en était rien, pas même une once. Elle était fichtrement tout le contraire et ô combien elle aimait ça. Faire la pute pour les beaux yeux de Barnes, de son Barnes. Ça l'excitait, ça lui plaisait: les vices s'emparent d'elle depuis ses années lycée, ça a commencé avec le tabac, l'alcool puis ça a suivi avec l'herbe et le sexe - si Dieu existe, seul lui sait combien elle aime ça.

« Appelle pas les parents s'tplait Oliver. » Ses mots étaient sorti comme un appel au secours. La rouquine risquait que son secret voit le jour - déjà Oliver était une personne au courant de trop - si ses parents l’apprenaient elle allait finir sa vie cloîtrée dans un couvant et peut-être même que son père oserait lever la main sur elle. C'était or de question que ses parents l'apprennent, seulement elle ne pouvait pas monnayer avec le policier, jamais ô grand jamais elle ne vendrait Connor pour sauver sa peau, d'ailleurs s'inquiétait-il ? Sûrement, il aimait pas que les flics touchent à ses putes - surtout pas à bambi comme il aimait appeler Magda. Mais, c'est pas pour autant qu'il se risquerait à sortir de sa bagnole, il l'attendrait peut-être mais, c'est tout ce qu'elle pouvait espérer de celui que les putes appelaient connard.

Il était bien la dernière personne qu'elle voulait voir aujourd'hui - bien sûr qu'elle aurait souhaité le revoir mais, pas là, pas dans cette tenue, pas dans ces conditions. Qu'allait-il penser d'elle maintenant ? Au fond Magda s'en fichait mais, c'était Oliver, un cousin qu'elle considérait presque comme l'un de ses frères avant que leurs familles ne s'éloignent un peu ces dernières années. Du coup, ce qu'il penserait d'elle la toucherait évidemment bien plus que si ce n'était qu'une tierce personne. L'envie de se fumer une clope se faisait sentir, c'était comme si soudainement une ampoule s'était allumée dans son cerveau - sans doute était-ce le cas d'ailleurs parce que Magda en devenait dépendante alors qu'au départ ce n'était que pour faire comme tout le monde et parce que ça faisait bien. « Et puis merde. » Rageait-elle entre ses dents tout en fouillant dans son sac, sortant cigarette et briquet, autant qu'il encaisse les chocs maintenant, la cigarette comparée au reste passerait inaperçue. La gamine glissait la clope entre ses lèvres puis l'allumait, tirant dessus, elle se sentait déjà presque soulagée - bien sûr ce n'était que dans la tête tout ça. Saloperie de clope.

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MessageSujet: Re: we broke ours mirrors (oliver)   we broke ours mirrors (oliver) EmptyLun 22 Aoû - 22:56




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La prostitution  est une forme d'échange économico-sexuel ponctuelle, explicite et préalablement négociée. Bien que pratiquée par les membres des deux sexes, elle est majoritairement exercée par les femmes auprès d'hommes. Le statut légal de la prostitution varie selon les pays et peut également être classé de l'illégalité aux activités légales professionnelles. En 2010, les revenus annuels de la prostitution sont estimés à plus de 187 milliards de dollars. Un à deux millions de femmes dans le monde sont vendues chaque année comme des objets sexuels pour la prostitution par des réseaux internationaux, la majeure partie venant de pays pauvres pour être exploitées dans des pays riches.
Certaines juridictions interdisent l'acte de prostitution (l'échange de services sexuels pour de l'argent) ; d'autres pays n'interdisent pas la prostitution, mais interdisent les activités typiquement associées avec la prostitution (la sollicitation dans un lieu public, l'exploitation d'un bordel, le fait de fournir des locaux pour la pratique de la prostitution, le proxénétisme, etc), ce qui rend difficile de se livrer à la prostitution sans enfreindre la loi ; tandis que dans un petit nombre de pays la prostitution est légale et réglementée.Dans les pays qui permettent la prostitution, on peut distinguer deux situations différentes : les pays où la prostitution est légale seulement parce qu'il n'y a pas une loi spécifique qui interdit l'acte (en général ce sont des pays qui interdisent la prostitution organisée), et les pays où la prostitution est légale et réglementée : ici il y a une loi spécifique qui autorise explicitement la pratique si certaines conditions sont respectées (par exemple si la prostituée est enregistrée auprès de l'organisme compétent, si elle subit des contrôles de santé réguliers, etc. ; en général ce sont des pays qui permettent les maisons closes). Les références associées à chaque pays pointent soit sur un article précisant l'existence de la prostitution dans le pays, soit sur des références légales.Certaines femmes sont forcées, par le trafic d'êtres humains, à se prostituer. Dans le cadre spécifique de la prostitution forcée, des réseaux criminels peuvent utiliser des techniques de contrainte comme la confiscation de papiers d'identité, le chantage familial, la surveillance par des souteneurs. Il arrive que les prostituées soient l'objet de trafic et soient vendues. Elles peuvent également être droguées de force afin d'être plus faciles à surveiller. Les destinations les plus communes pour les victimes de la traite des êtres humains sont la Thaïlande, le Japon, Israël, la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Italie, la Turquie et les États-Unis, selon un rapport de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime. Beaucoup de femmes, dans le cadre de cette activité, émigrent vers des pays parfois très éloignés. Les principales sources de traite de personnes comprennent la Thaïlande, la Chine, le Nigeria, l'Albanie, la Bulgarie, la Biélorussie, la Moldavie et l'Ukraine.
En Amérique, en en ce qui me concerne dans notre état, la prostitution était illégale, j'avais intégré ce corps pour faire appliquer la loi et supprimer les criminels comme les petits délinquants, la prostitution donnait une mauvaise image à la ville, et d'un point de vu personnel je ne comprenais pas comment un homme même mort de faim puisse vouloir se glisser entre les glisses de ce genre de femme qui en voit défiler à la pelle. Qui plus est, payer pour un besoin naturel, dans le monde où nous vivons, on n'a pas vraiment besoin d'aller à la rencontre d'une de ses femmes attendant au bord d'une route ou dans l'ombre d'une ruelle prête à monter dans une voiture. Il suffisait simplement de se rendre dans un lieu animé comme un bar ou une discothèque, offrir quelques verres, jouer de son charme et parfois même pas pour emballer une de ses femmes. Ça revient moins cher.
« Putain. Vous auriez pas pu en surprendre une autre ! » me balance la jeune femme, c'est pas comme si j'avais choisi, bon oui un peu, si je m'étais positionné en sous-marin c'était bien pour mettre la main sur l'une de ses femmes. Elles prenaient un peu trop d'ampleur à mon goût, peux-être qu'en montrant un peu plus notre intérêt pour supprimer ce travail, les macs ainsi que leurs filles abandonnerait ou se montrerait un peu moins dans nos ruelles. Étais-ce trop utopique ? Certainement. On voyait de plus en plus de jeunes femmes n'ayant parfois même pas la majorité se salir, et me dites pas qu'elles apprécient ça, au départ peux-être mais à force de pratiquer et pratiquer , c'est lassant, et même dégoûtant. Encore plus quand on ne laisse pas forcément le choix à ses femmes, les privant de leurs papiers, inventant des promesses qu'ils ne tiendront pas, vendant parfois même ses femmes comme des esclaves, dans des clubs privés ou des particuliers. Il est très difficiles d'attraper ce genre de prostitution.« Oliver ? Mais.. » sa voix retentit à mon oreille, puis mon regard se pose sur cette jeune demoiselle qui est devenu femme sans que je m'en rende compte, une de mes cousines : Magda, j'ai l'impression d'être en plein rêve ou plutôt en plein cauchemar, voilà une situation quelque peu incongru dont j'ignore quel sera l'issue, je dois me montrer impartial, qu'elle soit de ma famille ou non. « Putin Magda, c'est pas possible … » soupirais-je avant de rajouter « Depuis quand ? » que ça soit sa première fois ou non importe pas vraiment en fait, le fait est qu'elle vend son corps pour de l'argent ? Mais pourquoi ? Ce qui me choque le plus c'est qu'elle puisse agir ainsi avec l'éducation qu'on lui a inculqué, les Fanning vont à l'église tous les dimanches, des catholiques purs, si ses parents apprenaient ça je pense qu'ils feraient une attaque cardiaque, la tuerait ou alors l'enverrait en pension, j'ignore qu'elle est la bonne solution la dedans. Elle n'est même pas majeur, tant de question se bouscule dans ma tête, je ne bouge pas d'un pouce, le canon de mon pistolet toujours braqué sur elle. « Appelle pas les parents s'tplait Oliver. » je peux entendre et voir la détresse en sa personne, l'idée est tentante mais que penserait-il d'elle ? Si je parvenais à la convaincre de ne pas recommencer, il ne serait alors pas nécessaire que la famille soit au courant. « Tu mériterais que je le fasse … qu'est-ce qui te prends ? Pourquoi tu fais ça ? » demandais-je le ton dur et froid avec la jeune femme ce qui en temps normal n'est pas le cas, c'est ma cousine, elle est un peu comme ma sœur aussi ça me tue de la voir faire ses conneries qui lui apporteront rien sinon des soucis, des soucis que je peux lui apporter d'une manière ou d'une autre. Et pour l'heure j'ignore encore ce que je vais faire. Elle finit par sortir une clope et je m'approche un peu plus d'elle, range mon pistolet dans l’étui, avant de lui piquer une cigarette, ça fait longtemps que je n'ai pas fumé mais là j'en ressens le besoin, c'est stupide, comme si tout cet amas de produit chimique serait bon pour apaiser quoi que ce soit, je tire une taffe, la fumée s'en dégage. « Et puis tu fumes en plus, à croire que je ne te connais définitivement plus. » concluais-je l'air complètement dépité.



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MessageSujet: Re: we broke ours mirrors (oliver)   we broke ours mirrors (oliver) EmptyDim 28 Aoû - 15:57




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« Putain Magda, c'est pas possible … » le cousin de la rouquine, soupirait, visiblement désarçonné et sans doute troublé de cette découverte qui devait être une horrible découverte pour lui - du moins tout autant que Magdalene pouvait être effrayée de s'être fait surprendre par un garçon de la famille. Sa voix lui parvenait de loin, déjà devant ses yeux - pourtant ouverts - défilait une multitude de scénarios aussi terrible les uns que les autres,  que deviendrait-elle si ses parents venaient à l'apprendre ? Si la famille entière l'apprenait ? La belle ne prononçait pas un mot, angoissée elle dissimulait sa frayeur par la colère, le dénis.. « Depuis quand ? » nouvelles paroles qui résonnèrent dans son crâne comme dans une coquille vide - pire, comme dans une grotte, dans laquelle l'écho se répercutait sans fin.

Avec un effort qui lui avait parût sur-humain, la gamine été parvenue à river ses prunelles d'acier dans celles toutes aussi froides d'Oliver de quatorze-ans son aîné. Le canon d'une arme à feu était encore pointée sur son front, et elle ne savait même pas comment elle avait réussi à rester debout, droite sur ses jambes, les pieds profondément enfoncés dans le sol. La rouquine se sentait presque ridicule, elle se sentait mise à nue - et ce n'était pas due à sa tenue légère et affriolante, non - quelqu'un de proche avait réussi à pénétrer son jardin secret, le plus grand secret de toute sa vie.. et pourtant qu'Oliver l'apprenne n'était pas ce qui l'inquiétait le plus finalement, elle était évidemment très angoissée à l'idée que sa famille soit mise au courant mais surtout - et ça personne ne le comprendrait sauf Magda - elle avait peur de perdre Barnes, parce que n'étant pas majeure (et même si elle l'était) elle n'aurait pas le droit de faire ce que bon lui semblait: elle serait privée de sortie à vie - et encore ça ce n'était rien à côté de ce qui l'attendrait réellement. Elle résonnait comme une gosse amoureuse.. et est-ce qu'on pouvait lui en vouloir pour ça ? Alors elle avait presque supplié le policier, lui demandant de ne pas appeler ses parents - ignorant les remarques qu'il avait pu faire précédemment, elle ne l'avait écouté que d'une oreille, trop préoccupée à l'idée.. « Tu mériterais que je le fasse … qu'est-ce qui te prends ? Pourquoi tu fais ça ? » Son cœur palpitait de peur, derrière son maquillage, ses traits blanchissaient, mal à l'aise elle avait tiré une clope de son paquet, rageusement, jurant même. Amenant la cigarette à ses lèvres avec réconfort elle tirait dessus pour en aspirer les vapeurs intoxicantes, ce geste pourtant idiot lui permettait de se détendre, de s'apaiser, histoire de calmer son esprit agité. Ne s'attendant pas à ce qu'Oliver lui pique une cigarette, elle n'avait pas eût de mouvements de recul, elle s'était contentée de l'observer ranger son arme dans son étui, accrochée solidement à sa ceinture - dans un soupir la belle soufflait la fumée blanchâtre dans le vent.

« Et puis tu fumes en plus, à croire que je ne te connais définitivement plus. » Haussant les épaules, la gamine rétorquait sèchement: « Toi aussi tu fume, je l'ignorais, est-ce que ça change la personne que tu es ? » Froide, ses yeux bleus sur ceux du flic, elle tirait nerveusement sur sa clope avant de détourner ses prunelles dans une autre direction - ne pouvant supporter le nouveau regard qu'il portait sur elle. Mal à l'aise, gênée elle n'aspirait qu'à une chose: rejoindre des vêtements plus confortables que ceux d'une prostituée - mieux, oublier cette soirée, comme si rien ne c'était jamais passé. Nerveuse elle prononçait: « J'suis sérieuse Oliver, faut pas que t'appelles les parents, tout ce que tu veux mais pas ça. » Pourtant elle savait qu'elle ne pourrait pas tout faire pour sauver sa peau, pas en dépit de celle de Barnes - idée inconcevable - elle allait devoir trouver une solution. Elle voulait prévenir son mac de ne pas rester dans le coin, qu'elle connaissait le flic et qu'elle s'en tirerait (elle n'en était pas sûre pour autant) mais, utiliser son smartphone et composer le numéro du mac près d'un agent de police, pourrait sérieusement le mettre en danger. Il allait falloir qu'il comprenne par lui-même - ou peut-être l'abandonnerait-il avant.. La gamine de dix-huit ans tirait avec rage sur sa clope, ses mains tremblaient - difficile de le cacher à Oliver - qui l'avait peut-être déjà remarqué, sa faiblesse jouerait-elle en sa faveur ? Il fallait essayer.

« Alors quoi maintenant ? Tu vas me traîner au commissariat, dans cette tenue ? Me passer les menottes ? Oliver sans déconner, laisse-moi partir.. » Toujours aussi angoissée, la rouquine était également très agacée et énervée, ses nerfs jouaient avec elle et Oliver avait beau être son cousin il n'en était pas moins flic et s'il le voulait il serait capable de jouer avec ses nerfs, espérant la faire craquer - Magda se jurait de ne pas plier et de ne jamais céder. Redoutant sa fin de soirée. « J'te promet que je vais bien, je fais pas ça pour l'argent - j'en ai pas besoin, tu le sais bien.. j't'en supplie je fais rien de mal, laisse moi rentrer chez moi Oliver..! » Elle perdait patience à mesure que le policier fumait sa cigarette, elle ignorait totalement ce qui allait se passer par la suite et elle commençait à sérieusement paniquer - et pourtant elle devait tenir bon. Arrivant déjà au bout de sa précieuse cigarette, elle souhaitait en fumer une autre, maladroite à cause de sa nervosité, son sac se renversait par terre, exposant de la lingerie, des vêtements et des préservatifs au sol - parmi ce bordel, les clopes, son briquet et son smartphone dont elle se saisissait en premier afin de les enfuir dans son sac, suivi du reste, elle paraissait complètement désorientée et perdue - sa peur grandissante la paralysait - elle était à deux doigts de la crise de nerfs, d'angoisse ou de larmes, elle ne savait plus trop.. la pression s'était écroulée sur ses épaules, elle tirait une nouvelle cigarette, ayant fumée la première comme un pompier. Espérant que la deuxième, l'aiderait sérieusement à redescendre en pression.

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MessageSujet: Re: we broke ours mirrors (oliver)   we broke ours mirrors (oliver) EmptyVen 9 Sep - 22:39




~ oliver & magda ~

we broke ours mirrors

Tomber face à un membre de ma famille même éloigné au cour de mon temps de travail n'est pas chose aisé, surtout quand celle-ci commet un délit, ce qui me laisse dans une situation bancale, je n'ai pas beaucoup de choix qui s'offre à moi, soit faire comme si je n'ai rien vu, en fermant donc les yeux ou dans le cas contraire, aller jusqu'au bout de la procédure adapter à l'infraction. Pour l'instant j'ignorais la décision que j'allais prendre, mon cerveau agissait comme une machine à vapeur, et de l'autre je restais sur les fesses. Magda se prostituer, je l'avais suivi et prit en flag, je ne pouvais pas nier l'évidence, elle que j'avais connu bébé et que j'avais vu grandir, souvent même garder pour dépanner les parents de celle-ci afin qu'ils aillent se ressourcer en amoureux devant un bon vieux film romantique, accompagné d'un dîner en amoureux. Autant vous dire que de l'eau avait coulé sous les ponts depuis ce temps là, il paraît si proche mais en réalité il est beaucoup plus lointain que j'en ai l'impression. La rouquine qui se trouvait face à moi avait beau avoir une tenue des plus dégradante c'est comme si son image sonnait faux avec le costume, même pas majeur qu'elle offrait son corps à un certain nombre de passant, du moins ça c'est l'idée que je me fais, les questions percutent mon encéphale et je n'arrive pas à me résoudre à me taire. Je tente d'avoir des réponses sur le temps de son activité mais rien aucune réponse ne sort de sa bouche quand bien même je lui demande pourquoi elle fait ça et qu'elle mériterait que j'appelle ses parents, rien de chez rien, seulement sa cigarette qu'elle porte à ses lèvres pour en aspirer de l'Acroléine , du Formaldéhyde , Monoxyde de carbone, Ammoniac ,Oxydes d'azote, Pyridine ,Dioxyde de soufre ,Phénol ,Toluène acide cyanhydrique ,benzène et Acrylonitrile tout un tas de substance toxique, cancérigène, corrosif, un tas de substance qui sert d'herbicide, de carburant à fusée et j'en passe. Tout ça entasser dans un tube de plastique dont la jeune femme supprimer en quelques secondes, il me semble n'avoir encore jamais vu une personne fumer aussi rapidement une cigarette, je charrie la jeune femme sur cette addiction et là je finis enfin par entendre de nouveau sa voix, moi qui pensait lui avoir couper la langue, en voilà une de bonne nouvelle.  « Toi aussi tu fume, je l'ignorais, est-ce que ça change la personne que tu es ? » alors que j'aspire une petit portion, la fumée pénétrant mon œsophage, laissant un arrière goût pas agréable, je me demande comment font les gens pour fumer ça tous les jours, ça dépend peux-être ou en tout cas c'est l'impression que ça donne mais ça revient beaucoup trop cher, quand à sa réponse aussi froide qu'elsa la reine des neiges, je fronce mes sourcils et sur un ton assez dur et autoritaire je balance. « Premièrement je fume une fois tous les dix de l'an, deuxièmement moi je suis un adulte et pas une adolescente qui veut se faire remarquer. » bien sur comme tout jeune j'ai essayé de fumer mais je n'ai jamais aimé ça, fumé un joint ou deux ça m'est arrivé mais ça reste là, mon plaisir a plus été la cocaïne pour faire la fête tout le long de la nuit ou tenir 24 heures sans dormir enfin depuis dix ans maintenant je fais partie des forces de l'ordre et bien que je me suis permis un ou deux écarts, la peur de me faire prendre par une test de dépistage a eut le dessus sur moi et j'ai vite arrêté. « J'suis sérieuse Oliver, faut pas que t'appelles les parents, tout ce que tu veux mais pas ça. » je ne cesse d'observer la jeune femme, entre son mal à l'aise, son gêne et sa nervosité j'avoue que je prends un malin plaisir à être dans ma position. Je ne dis pas un mot, prenant doucement le temps d'absorber toutes ses substances entre mes doigts tandis que la jeune femme se pose mille et une question, appeler ses parents aurait pu être une bonne idée sauf que je pense qu'une adolescente n'a que faire d'une grosse engueulade, me croirait-il seulement ? Là aussi, il n'y a pas de raison qui mette en doute ma parole mais on sait jamais, une idée me vint alors, peux-être dur mais qu'importe.

« Alors quoi maintenant ? Tu vas me traîner au commissariat, dans cette tenue ? Me passer les menottes ? Oliver sans déconner, laisse-moi partir.. »  elle avait l'air très agacée, une chose était sur elle ne partirait pas libre, rejoindre son mac ou que sais-je encore, si je me permettais de la laisser libre, je passerais pour quoi moi ? Quand bien même mon arme était rentré dans son étui, si elle tentait de fuir elle finirait aussi vite à terre qu'Harry Potter attrape un vif d'or. « J'te promet que je vais bien, je fais pas ça pour l'argent - j'en ai pas besoin, tu le sais bien.. j't'en supplie je fais rien de mal, laisse moi rentrer chez moi Oliver..! » elle commençait enfin à parler du pourquoi être sur un trottoir néanmoins, elle n'avait pas répondu entièrement à la question, si elle ne faisait pas ça pour l'argent, pour quoi alors ? Parce qu'elle aimait ça le sexe avec des étrangers ? Je tentais d'éteindre ses pensées répugnantes, surtout quand ça concerne un membre de la famille, une cousine c'était tout aussi importante qu'une sœur, c'est ainsi que je le vois dans mon esprit en tout cas. Il semble que à l'inverse nous ne partagions pas les mêmes sentiments puisqu'en temps que cousins on se fait confiance, du moins moi je pensais pouvoir, cependant depuis le début elle ne me livrait rien quand bien même je lui demandais. Elle renversa son sac où son contenu ce renversa, entre capote et compagnie, je ne m'abaissais même pas pour l'aider, c'était sa merde à elle de gérer ça. Ressortant même une cigarette une fois le tout ranger, d'un mouvement de pouce je fis voler le mégot avant de me rapprocher encore plus de la jeune femme, en dix secondes elle se retrouva plaqué contre le mur, les menottes aux poignets, je retirais la nouvelle cigarette de la demoiselle de sa bouche pour la jeter à terre avant de la faire entrer à l'arrière de mon véhicule. « J'espère que tu vas apprécier ta nuit en cellule, avec un peu de chance ça te remettra du plomb dans la tête. » lançais-je, entrant enfin moi-même dans mon véhicule prenant la route du commissariat, que j'atteignis en 5 minutes. Je faisais avancer la jeune femme tout en la tenant par la chaîne des menottes, arriver devant la cage comme on l’appelait je la poussais dedans en retirant l'objet de son emprisonnement. Elle allait se sentir à son aise là-dedans, plusieurs filles y étaient présentes, ça allait du petit vol à la prostitution en allant à bien pire. Des membres attendant d'être transférer le lendemain au tribunal ou au pénitencier ou ceux qui ressortirait libre.

« tu te sens dans ton élément j'espère ? »



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