vingt-cinquième heure (sid)

sidney kasabian

c'est nous les ringards de demain

tumblr, applestorm

identité

≡ PRÉNOM sidney pour taper dans l'anglophone et le laisser s'fondre dans la masse, mais tout le monde l'a toujours appelé sid de toute manière.
≡ NOM kasabian qui sonne pas bien d'ici mais on s'en fout, c'est quand même dans l'décor depuis des années. c'est des gens bien les kasabian, des gens qu'on qualifie de braves et méritants. puis y a sid, l'oiseau qui s'est sûrement pris une branche dans la gueule en tombant du nid.
≡ ÂGE déjà vingt-quatre piges et encore la tronche d'un sale gosse, éternel adolescent qui grandira probablement jamais.
≡ LIEU DE NAISSANCE c'est savannah qui l'a vu naître et grandir – sûrement qu'elle sera aussi aux premières loges pour le voir mourir.
≡ NATIONALITÉ on n'peut plus américain sur les papiers.
≡ ORIGINE ses racines arméniennes se devinent aisément, aussi bien sur ses traits que dans la tonalité de son patronyme.
≡ ÉTUDES, EMPLOI sans ambition aucune, pas de plan pour sortir de sa médiocrité, il s'est orienté vers une formation au hasard. juste pour avoir du taf, un salaire. mécano, plus par défaut que par réelle vocation, il s'en accommode pas trop mal quand même. au moins, il a de quoi payer à bouffer et le loyer. à côté d'ça, il est caricaturiste anonyme pour un journal peu connu. parce que c'est ça qu'il aime, dans le fond. il voudrait faire du dessin sa vie, faire de sa vie un dessin, mais il est bon qu'à s'faire gommer.
≡ STATUT CIVIL ah, quel merdier. célibataire à tendance boulet, pourtant raide dingue d'une sauvageonne depuis trop d'années. mais c'est mieux de pas en parler, c'est mieux d'oublier. savoir fermer sa gueule et faire semblant d'pas en crever.
≡ CARACTÈRE protecteur, maladroit, attentionné, bordélique, altruiste, jaloux, vif d'esprit, têtu, lâche, tolérant, immature, curieux, possessif, blagueur, flemmard, idéaliste, paumé.
≡ GROUPE alize.

ft. micky ayoub

Votre pire souvenir ? Son regard fou, ses yeux injectés de sang, ses cheveux en bataille, ses doigts qui tremblent. Sa mère, en pleine crise. Qui hurle et qui hurle, la voix qui s'en brise, les cordes vocales qui semblent s'en déchirer. Ses mains qui agrippent sa tête alors qu'elle leur gueule de se taire, de partir, d'la laisser tranquille. Et Sid, du haut de ses sept ans, qui comprend rien. Effrayé. Effaré. Planté face à elle, à s'demander pourquoi elle fait ça quand son père n'est pas là, à avoir envie de l'aider sans savoir comment. Et sa main qui se tend. Ses mots qui s'échappent, tremblants, pour lui dire ça va aller, maman. Elle pose ses prunelles dans les siennes. Et ce qu'il voit, c'est pas sa mère. C'est autre chose. C'est la maladie. C'est la maladie quand elle lui attrape le bras et qu'elle se met à le secouer violemment. C'est la maladie quand elle lui crie qu'elle sait qui il est, ce qu'il essaie de faire, que ça marchera pas. C'est la maladie quand elle le gifle en lui disant d'arrêter de pleurer, qu'il l'aura pas comme ça. C'est la maladie quand elle l'envoie valser sur le sol, continuant de hurler, se détournant une seconde. C'est la maladie qui le pousse à se planquer, prostré dans un placard, retenant des sanglots qui lui entravent la gorge. C'est la maladie, que son père lui a dit quand il est rentré. C'est la maladie, que sa mère a murmuré en le prenant dans ses bras plus tard, des larmes roulant sur ses joues. C'est la maladie. Et il en a toujours autant la trouille, de cette saloperie.

Quelles sont les personnes en qui vous avez le plus confiance ? Son père. Même si leur relation n'est pas au beau fixe, même s'ils se fuient mutuellement et n'sont pas foutus de tenir une conversation de plus de trois minutes. Ç'a toujours un peu été comme ça, entre eux. Compliqué. Pudique. Tacite. Mais Sid sait qu'il peut compter sur lui au moindre problème, qu'il sera toujours là s'il a besoin. Il aimerait juste qu'il soit là, même quand y a pas besoin. Et puis y a Mads. C'est son binôme. Toujours fourrés ensemble depuis qu'ils sont gosses, ils passent leur temps à zoner et s'engueuler pour rien, pires qu'un vieux couple. Il a une totale confiance en elle, et il aime penser que l'inverse est vraie aussi. La vérité, c'est surtout qu'elle est ancrée dans son cœur depuis trop longtemps déjà, mais il a pas les couilles de lui dire. Et il a pas les couilles de l'oublier non plus. Forcément, il est frustré.

Avez-vous perdu un être cher au cours de votre vie ? Ouais, sa mère. Oh elle est pas morte, elle est même bien vivante, enfermée là-bas. Chez les fous. Il l'a perdue et il saurait même pas dire quand, parce qu'il a l'impression qu'ça s'est fait par intermittences. Parfois elle était là, parfois non. Parfois il avait sa maman, parfois il avait un monstre. Il avait l'impression d'la perdre chaque fois qu'elle partait en crise, chaque fois qu'elle se mettait à disjoncter sous ses yeux. Et puis il a fini par la perdre pour de bon, quand les médicaments n'ont plus suffi, quand son état n'a fait que s'aggraver. Il l'a perdue, quand elle a été internée. Incapable de lui rendre visite, incapable d'entrer dans ce foutu hôpital. En la perdant elle, il a perdu son père aussi. Il s'est noyé dans le boulot pour tenir le coup, et Sid s'est retrouvé seul. Alors parfois, il se sent orphelin, alors qu'ses deux parents sont bien en vie. Y a pas besoin d'la mort pour perdre les gens. C'est sûrement ça, le plus triste.

anecdotes.

(001), sid, il a toujours rêvé d'avoir des frères et sœurs. il s'dit qu'il aurait été moins seul, moins paumé avec sa mère internée et son père accro au boulot. mais y a jamais eu que lui et il a fallu s'en contenter, il a fallu apprendre à faire avec. c'est dur de pas s'faire bouffer par la solitude ; parfois il pense y arriver et parfois il a l'impression d'être aussi esseulé que son vieux. c'est moche. (002), depuis qu'il est gamin, il a cet attrait particulier pour le dessin. toujours un crayon et du papier entre les doigts, il a pris l'habitude de reproduire les visages des gens qui passent et s'amuser à faire des minis bandes dessinées. ses caricatures sont publiées dans un journal que personne ne lit, et ses portraits s'entassent un peu partout dans un joyeux bordel. y a qu'un visage qui revient plus que les autres, qu'un visage qui le hante mais dont il planque chacun d'ses croquis. faudrait pas qu'elle leur tombe dessus, mads. (003), pour le trouver, c'pas bien compliqué. il traîne souvent dans la rue à fouiner et marcher sans but précis, un peu comme un vagabond, ou un clochard – on a déjà cru plusieurs fois qu'il faisait la manche, alors que c'était pas le cas. sinon suffit d'aller au bar. il boit beaucoup et il fume comme un pompier, mais dans l'fond c'est plutôt l’ambiance qui lui plaît. c'est l'un des seuls endroits où il se sent à peu près bien. entouré par tous les déchets d'la société. (004), très mauvais séducteur, il a jamais été foutu de draguer correctement. quand il a un peu de succès, c'est généralement que sa cible l'a trouvé drôle avec ses maladresses, ou qu'elle a juste pitié de lui. il préfère croire à la première option, c'est mieux pour son ego déjà pas bien élevé, m'voyez. (005), quand il s'met derrière les fourneaux, il sort toujours des plats réussis. sa grand-mère lui a tout appris et lui a refilé toutes les vieilles recettes arméniennes de la famille, qu'il s'applique à reproduire dans les règles de l'art. il a même un tablier qu'il s'applique à mettre chaque fois, c'est presque ridicule. (006), sa mère, elle a un truc qui tourne pas rond, un truc qui lui fait perdre la raison et qui a mangé la lumière dans ses yeux. schizophrénie. sid en a une peur bleue, il l'a vue faire des crises et il en a même fait les frais, alors il a toujours été un peu effrayé par sa propre mère – même s'il l'aime de tout son cœur. maintenant, il a surtout peur d'finir comme elle. terrorisé à l'idée d'être un détraqué. (007), faut croire qu'sa crise d'ado n'est pas vraiment passée. fervent joueur de jeux vidéos, il dégomme du zombie en gueulant devant son écran et ça l'éclate. il vit dans un bordel assez effarant, au sens propre comme au sens figuré. complètement nul avec les filles, nul dans les relations humaines en général, aucun sens des responsabilités et aucune envie d'y faire face. pas d'thunes, pas d'ambition, pas d'plan. il se lève sans trop savoir pourquoi et il reste dans sa médiocrité de type moyen, en s'disant qu'il verra bien demain. (008), p't'être qu'il en a pas l'air, mais il a un sens de la justice assez aiguisé et certains principes bien intégrés. sûrement qu'avoir un père flic l'a fait pencher dans cette direction. forcément, quand il voit un truc qu'il juge mal, injuste ou dégueulasse, il a tendance à intervenir. et puis ça lui donne une vision bien précise de la société, qu'il dépeint dans ses caricatures. trop lâche pour faire entendre sa voix, pas assez pour faire comme s'il n'en avait rien à foutre. (009), avec sa dégaine de zonard des rues, on a tendance à le prendre pour un type louche et on vient souvent lui demander des trucs bizarres, qui le laissent confus et gêné. il est pas un ange mais c'est franchement pas un voyou non plus. pourtant c'est ce qu'on croit, quand on voit son look de gosse des rues et sa gueule de gangster discount, qui traîne dans des sales coins à pas d'heure. lui, il comprend pas. ça l'dépasse un peu. (010), sid, quand on l'connaît, on voit que c'est un bon gars. malgré son humour douteux et sa lâcheté chronique, malgré sa décontraction presque énervante et ses habitudes d'ado attardé. c'pas un mauvais bougre. il est même gentil, plus qu'on pourrait l'croire. mais faut s'méfier de l'eau qui dort. parce qu'il a beau s'mettre rarement en colère pour de bon, quand c'est le cas, c'est jamais beau à voir. il cache juste ses tourments derrière un sourire penché et un nuage de fumée.

PRÉNOM, PSEUDO marion
ÂGE 20
PAYS francia

AUTRE COMPTE 7 le plus bô des yobbos, lola la princesse
AVATAR micky ayoub

MOT DE LA FIN C'EST LA FAUTE DE MISS FRITE, J'VOUS LE JURE vingt-cinquième heure (sid) 1094223471

Code:: merci de respecter la casse.
<pp>MICKY AYOUB</pp> sidney kasabian

aux heures laissées passer

18:27
Planté devant l'enceinte de l'hôpital psychiatrique, Sid s'acharne sur sa clope comme un forcené. Il tourne en rond, frotte ses mains contre son crâne rasé, lance un sourire figé aux gens qui passent devant lui. Comment ils font, eux, pour y arriver ? C'est la question qu'il s'pose depuis des années et il a jamais trouvé la réponse, pourtant c'est pas faute d'avoir cherché. Il est pas foutu d'entrer dans c't'endroit. Ça lui fout les nerfs en pelote et il a les poils qui se hérissent, il devient une pile électrique alors qu'il est l'genre de type capable de passer douze heures assis sans broncher. Mais là, c'est différent. Là, il a l'impression d'avoir dix ans. Il voudrait juste être un adulte, un vrai, quelqu'un qui est capable d'assumer. Quelqu'un qui pourrait passer ces foutues portes sans trembler, arpenter les couloirs la tête haute et profiter d'la visite à sa mère. Mais il peut pas. Ça l'paralyse, cette idée d'la voir là, dans cet endroit. Coincée parmi les tarés, probablement médicamentée. Il y est allé une fois, une seule, accompagné d'son père. C'était comme faire face à une étrangère. Pourtant elle était calme et c'est sûrement l'mieux, parce qu'y avait pas d'risque de la voir en crise, par d'risque d'en faire les frais. Il se souvient quand elle était encore à la maison, quand il n'était qu'un p'tit garçon. Quand elle s'mettait à parler seule, jusqu'à en hurler parfois. Quand il l'a vue pleurer à s'en déshydrater, quand elle a brandi un couteau en manquant d'le trancher au passage, quand elle s'arrachait les cheveux et quand elle s'est retrouvée écorchée, étalée sur une pile d'assiettes cassées. Les souvenirs remontent chaque fois qu'il vient ici et ça fait comme une putain d'barrière, ça l'empêche d'entrer, ça l'empêche d'y aller. Et ça l'tue putain – ça l'tue. Il voudrait être un bon fils, il voudrait lui montrer qu'il a beau être grand maintenant, il l'aime toujours autant. Il voudrait lui dire qu'elle sera toujours sa mère et qu'personne la remplacera jamais, mais c'trop compliqué. Il sait pas comment faire. Alors il s'console en essayant d'se convaincre qu'elle sait déjà tout ça, qu'elle a pas besoin de l'entendre tellement ça coule de source. Qu'elle a beau être internée, elle sait qu'son fils cessera jamais de l'aimer. Pourtant il l'abandonne encore et encore, chaque fois qu'il s'pointe là et qu'il trépigne comme un lion en cage. Il est qu'un pauvre lâche pas capable de faire c'qui est bien, tout juste bon à s'faire bouffer par la culpabilité. Putain. Sa clope s'écrase contre le béton puis sous sa semelle, et il fout un coup d'pied dans le vide à défaut de pouvoir s'frapper lui-même. C'qu'il peut être con.

18:58
« Vous êtes bien sur le répondeur d'Ari Kasabian, laissez-moi un message et j'vous rappellerai dès que j'pourrai. » Bip. Soupir. Fait chier. « Ouais, p'pa, c'moi. Sid. » Il sait pas pourquoi il se sent obligé de le préciser à chaque fois, comme si son père pouvait finir par oublier qui est son fils unique. C'est p't'être bien de ça dont il a peur, à vrai dire. « Euh... Juste pour savoir comment tu vas, tout ça. » Pause. Tu parles, ils prennent jamais des nouvelles l'un de l'autre, ils s'appellent que pour les besoins précis. C'est pathétique. « J'suis devant l'hôpital, là. J'vais voir m'man. » S'il l'affirme sur un message vocal, il sera obligé de l'faire, non ? Non. Il dit toujours ça à son père, et ils savent tous les deux qu'il le fait jamais. Ils savent tous les deux qu'il fait rien d'autre que zoner autour du bâtiment, sans oser y entrer. « Bref..voilà. Salut. » Quel message pourri. Il sait même pas pourquoi il a appelé au final, il tombe toujours sur l'répondeur, de toute façon. Parfois il s'demande si son vieux est toujours occupé au commissariat, ou si c'est juste qu'il filtre ses appels. Il préfère croire la première option, mais quelque part, il a l'impression qu'c'est la seconde. P't'être parce que ça fait trop mal de savoir qu'ils sont déchirés depuis des années, pas foutus d'se parler. Ou p't'être parce que Kasabian senior en a marre d'se coltiner un loser en guise de progéniture. Sid le blâme pas tellement : il le sait bien, qu'il est con.

19:42
Y a un énième portrait qui prend forme sous ses doigts et il veut le finir avant qu'il fasse noir, avant d'se faire aveugler par la lumière des lampadaires. Des traits fins, un regard sombre, une moue boudeuse et une crinière en vrac. Toujours la même. Toujours en train d'tourner dans sa tête, coincée quelque part dans sa gorge pour l'empêcher d'respirer, incrustée dans son cœur pour lui remplir les veines à chaque battement. Elle est jolie Mads, tellement qu'il a l'impression d'pas si bien la dessiner. Pas comme il le voudrait. Pourtant il devrait être rodé depuis l'temps – ça fait plus de dix ans. Mais non. Y a un truc qui manque. Il sait pas dire quoi, il sait pas si c'est lui qui devient fou à force de refaire le même visage sans relâche, ou si c'est juste qu'il peut pas arriver à égaler sa beauté. Il en sait foutrement rien et ça l'énerve, parce que t'façon il devrait pas être en train d'la dessiner, là. Ni jamais d'ailleurs, mais ça c'est même plus la peine d'espérer, c'est trop tard, c'est plié, R.I.P. Mais là, c'est pas l'bon moment. Là, il devrait assumer au moins une chose dans sa vie et combattre la trouille qui l'prend aux tripes pour avancer jusqu'à la chambre deux-cent cinquante-trois. Il croit même qu'il va y arriver quand il se lève et avance jusqu'aux portes automatisées, d'un pas plus déterminé que jamais. Mais y a une nana qui sort et dans ses yeux c'est mort. Dans ses yeux c'est l'désespoir, c'est tous ses cauchemars qui se reflètent. Elle tourne la tête vers lui et elle lui sourit, malgré la fatigue qui lui encrasse les traits. « Vous auriez une clope à m'dépanner ? » Il dit rien. Il hoche vaguement la tête et sort son paquet pour lui tendre, l'impression qu'une enclume s'est calée au creux d'ses entrailles. Elle en prend une puis lui rend, avec un murmure en guise de remerciement. Et Sid, il s'dit qu'il peut pas. Il veut pas ressortir dans l'même état. Il a trop peur d'finir zombie, alors il préfère rester con. Tant pis.

20:01
Les visites sont terminées. Il a foiré. Ou réussi ? Il sait pas trop, ça dépend du point d'vue mais c'est probablement un peu les deux. Maintenant il peut plus y aller même s'il trouvait le courage de l'faire, alors il a plus d'raison de camper là. Il a plus qu'à s'tirer. Cigarette entre les lèvres, il sort son portable de sa poche et ouvre la conversation de textos avec Mads.

À : Mads
yo viens chez oim stp jm'ennuie

De : Mads
j'y suis déjà

À : Mads
ah ok j'arrive

De : Mads
t'es qu'un con

Il sait. Mais quand c'est elle qui l'dit, ça l'fait sourire.
Être un raté, c'est plus facile quand y a quelqu'un à vos côtés.

Invité Invité ☽ ☾

MAIIIS EUUUG toi aussi t'as le don pour les perso qui déchirent vingt-cinquième heure (sid) 3184084084

trop trop troooop hâte d'en savoir plus et surtout de découvrir mads & sid vingt-cinquième heure (sid) 659403233

Invité Invité ☽ ☾

encore un perso pour poster 100 messages par jour j'suis sûre
(re)bienvenue

pfffffffff ok c'est beaucoup trop classe j'ai hate de voir ~~stalker~~ vos rp vingt-cinquième heure (sid) 659403233

Invité Invité ☽ ☾

le pseudo, toi et puis ce personnage qui a l'air de tout déchirer que des bons choix amigo
rebienvenue

#fragile #victime

JE KIFFE DE OUF CE PERSO, et votre lien avec MADS et faut qu'on se trouve un lien et puis j'te kiffe voilà vingt-cinquième heure (sid) 306237145

:love: :love: :love: :love: vingt-cinquième heure (sid) 309481704

damdam, mawww t'es trop cutie pie vingt-cinquième heure (sid) 3358714544

cimer, et t'inquiètes tu les découvriras bien vite vingt-cinquième heure (sid) 2957034826

KEUR SUR TOI I love you

ace, merde stoppez-tout, j'suis découverte, t'as trouvé mon stratagème infaillible pornstach

merciiiiii crazylove

anca, ma p'tite stalkeuse favorite mad

merci mon chat vingt-cinquième heure (sid) 3184084084

ellie, comment t'es adorable olalala, merci gah

mads, #tepu #ingrate vingt-cinquième heure (sid) 1094223471

leo, OUAIS J'VEUX DES LIENS niark

mucho looooooove vingt-cinquième heure (sid) 2735968492

Invité Invité ☽ ☾

t'envoie du lourd encore mon chat vingt-cinquième heure (sid) 4021671171

(re) bienvenue à la maison vingt-cinquième heure (sid) 2201788331

Invité Invité ☽ ☾

Ouuh de retour :)
(Re)bienvenue. vingt-cinquième heure (sid) 195239296

june, aooon merci c'est trop gentil ça aaaah

callum, cimer miss bitch discount vingt-cinquième heure (sid) 2957034826

(oui t'as pas le bon compte, ET ALORS ? FUCK LA POLICE :justin:)

Invité Invité ☽ ☾

Je vais être obligée de faire des bannières à JJ là. Ya rien de discount chez Trix bande de degueulasses vingt-cinquième heure (sid) 2731752206

j'm'en fous, tu fais c'que tu veux à jj t'sais, tant que j'suis pas impliqué vingt-cinquième heure (sid) 1094223471

allez, rage pas parce que t'es sponsorisée par liddl stp, on t'en veux pas tu sais heartbeat

Invité Invité ☽ ☾

Félicitations !

comme d'habitude, c'est une perfection

tu as réussi la difficile épreuve de la fiche de présentation et nous t'en félicitons tous. tu fais partie maintenant et à jamais de we are broken et tu peux en être fière, tout comme nous (a) tous d'abord, tu iras créer ta fiche de liens pour te faire une tonne d'amis, si cela n'est pas déjà fait. cette partie est obligatoire tout comme tu vas devoir te trouver un métier et un logement. tu peux bien entendu passer par la partie détente où tu pourras sans modération, flooder à tout va et te faire une tonne de friends, ouais ouais, c'est top ! ne pas oublier la partie rp, parce que c'est ce qui compte le plus par ici. le principal, c'est que tu t'amuses et que ton séjour parmi nous soit des plus agréable. n'oublie pas aussi de remplir entièrement ton profil sous risque de recevoir un petit mp de notre part te le rappelant. amuse toi bien !

cimer mon p'tit chat vingt-cinquième heure (sid) 309481704

Contenu sponsorisé ☽ ☾