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 de la merde, de la grosse merde (serebra)

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MessageSujet: de la merde, de la grosse merde (serebra)    de la merde, de la grosse merde (serebra)  EmptyMer 22 Mar - 20:39

Barbra arrivait à hauteur de l’appartement de Serena. Serena. Sa meilleure amie aujourd’hui. La seule à qui elle pouvait se confier. Elle se sentit coupable. Et puis plus. Elle pouvait faire ce qu’elle voulait non ? Elle n’avait jamais dit qu’elle était une gentille fille. Elle était maître de son corps et si elle voulait se taper Seven. Ou n’importe qui. Elle avait le droit. Elle avait le droit sur son corps. Elle pouvait faire ce qu’elle voulait non ? Alors elle essayait de refreiner cette culpabilité au fond d’elle. Elle voulait juste être heureuse, elle voulait juste sentir le bien être d’être. Sa mère était morte. Et elle avait sombré. Elle sombrait encore. Mais elle avait besoin de se confier, de raconter les conneries qu’elle avait faites. Elle savait que Serena l’écouterait. Elle savait que Serena ne la jugerait pas. En tout cas elle l’espérait… Elle arrivait face à la porte. Ne toqua pas. Ne sonna pas. Resta là planter. Elle pouvait encore repartir et boire, fumer, pour oublier, pour éteindre cette petite flamme, l’ange qui se posait sur son épaule gauche. Elle avait toujours suivi le diable de toute manière. Pourquoi ? Pourquoi aujourd’hui décidait-elle d’entendre l’ange, sa conscience qu’elle croyait morte. Elle sonna, poussé par sa conscience personnifiée, comme si elle avait pris le contrôle de son bras. Elle attendit que la porte s’ouvre pour laisser échapper sa phrase. Elle pouvait encore faire demi-tour parler du beau temps mais non elle voulait le dire, elle voulait lâcher le poids. Sa mère était morte. Elle n’a rien dit. Elle a ignoré Joe. Joe qui l’aime, en tout cas elle le pense, Joe qui essaye d’être romantique… Elle a couché avec Seven. Sans avoir une pensée pour maia. Elle qui avait promis de ne plus le faire. Parce qu’elle avait oublié pendant ce temps, la souffrance qu’elle essayé de nier. Elle avait faire une connerie, non des conneries. « J’ai fait de la merde ». Elle ne pouvait pas repartir en arrière ; elle n’en avait pas envie. En fait elle ne savait plus ce qu’elle voulait. Elle avait toujours éprouvé pour Joe un sentiment étrange, une complicité magique, direct, et ils avaient finalement céder après de multiples difficultés. Mais pouvait-il avoir un avenir ? Avec Jimmy … Jimmy c’était des hauts et des bas constamment.et puis il y avait léo, léo qui lui permettait de voir qu’il y avait peut-être une autre manière de voir la vie, autre chose derrière les bos… elle ne savait pas si serena pouvait l’aider, mais elle savait que serena comprenait la psychologie de barbra. Barbra cette blonde qui ne répondait qu’à elle-même. Elle n’était pas du genre à avoir une famille, un petit mari et une maison. Barbra vivait dans l’excès. Constamment. « DE LA GROSSE MERDE …. Je crois »
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Serena Gianelli

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MessageSujet: Re: de la merde, de la grosse merde (serebra)    de la merde, de la grosse merde (serebra)  EmptyMar 28 Mar - 0:04


J’ai fait de la merde.” La silhouette de Barbra sur le pas de sa porte. Des mots qu’elle n’aurait pas associé aussi vivement à la belle. “DE LA GROSSE MERDE …. Je crois.” Enfin si. Peut-être. Peut-être bien que cette réaction, brûlante, presque hurlante : c’est Barbra. Serena se décala pour la laisser entrer, qu’elle fasse comme chez elle. “Avant de t’accabler.... Raconte.” L’italienne sortit immédiatement de ses placards café et tequila pour lui laisser le choix.
Même si son amie a l’habitude de vivre avec l’intensité de dix tempêtes, c’était rare qu’elle lâche tout d’un coup. Surtout sans coup de semonce. Ou alors, elle n’avait rien vu. Il y a un feu si ardent au creux des os de Barbra que ça a toujours déplu à Serena qu’elle se laisse griller par d’autres comme si elle n’était qu’une pause-cigarette dans leur vie. Pourtant, elles n’en ont jamais parlé. Inconsciemment ou pas, elle espérait que lorsqu’elle en aurait besoin, Barbra viendrait jusqu’à elle. Parce que Serena a des choses à lui dire. Des choses, qui, elle le souhaite, briseront certaines croyances greffées depuis trop longtemps chez sa blonde de copine. Avec ses principes humanistes, Serena voit très bien quand l’exigence et la quête de perfection bouffent trop les gens. L’auto-destruction enclenchée par les éducations trop brutales qui pèsent sur les enfants puis entravent les adultes. Mais comme tout le monde, elle a ses préférences. Plus que d’autres, elle aimerait voir une Barbra épanouie et en paix avec elle-même. Un jour. Pour une fois. Parce que même si elle rit ou crie pour prouver qu’elle existe par elle-même, y a du plomb qui la retient quelque part, malgré tout, malgré elle. Elle est pas psy Serena, elle ne fait que ressentir. Mais à côté de Barbra, elle sait que cette dernière ressent trop pour tout le monde. Ça pourrait la consumer. Et peut-être que c’est ça aujourd’hui. Peut-être que y a son instinct de survie qui cogne plus fort que d’habitude. Dans un nouvel extrême chaotique. Alors quand elle s’installe sur son lit clic-clac à côté d’elle, l’italienne a terriblement envie de lui dire quelques petites choses un peu absolues. Be easy on your soul. Mais avant tout, avant plus, elle va se contenter de l’écouter se libérer. Que ses pensées déchirantes s’évadent à travers ses mots froissés par les tourments. Serena les séchera et les pansera autant de fois qu’il le faudra, autant de temps qu’elle le pourra. Que les bouts de coeur aiguisés et affûtés de Barbra s’adoucissent peut-être enfin. Puisqu’elles sont à nouveau dans la vie de l’une et l’autre, elles ont tous les droits pour être dans leurs propres peaux. Peu importe les écorchures. Elles sont là pour ça. Voir les vérités et les chérir. Se remettre dans le chemin de l’essentiel et balancer le reste. Même si ça fait mal. Même si elles se trompent. “Dis-moi ce que tu crois avoir fait.
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MessageSujet: Re: de la merde, de la grosse merde (serebra)    de la merde, de la grosse merde (serebra)  EmptyLun 10 Avr - 13:36


Serena la laissa pénétrait dans son appartement. Laissé l’ouragan tout saccagé sur son passage. C’était bien une amie d’enfance qui pouvait faire ça. Barbra avait rarement confiance. Toujours peur des coups dans le dos, des secrets révélés. Elle cachait tout d’ailleurs. Elle aimé le drame. Elle le créé. Elle vivait en pensant à elle et c’était tout. “Avant de t’accabler.... Raconte.” Toujours là pour croire en elle, croire au bon côté de Barbra. Elle l’avait connu quand elle n’était pas encore devenue Barbie, pas encore devenue une bos, pas encore trop mal tournée. Mais pourtant elle savait qu’elle avait mal tournée. Elle savait néanmoins que Serena la comprenait e ne la jugerait pas pour les ondes d’ombre de sa vie. “Dis-moi ce que tu crois avoir fait.” Elle s’était réveillée, emplie de honte. Elle. Celle qui ne culpabilisait jamais. Mais pour une fois, elle avait fait souffrir quelqu’un qui lui était proche. Joe. Leur histoire. Une amitié. Suivi d’une coucherie avorté. Suivi d’un malaise. Suivi de sentiments. De putain de sentiments qui s’étaient introduits dans sa vie. Joe c’était son meilleur ami, sa bouée, son rock. Il avait été là pour elle, même alors qu’elle s’engueulait avec Jimmy. Ils auraient pu fonctionner. Mais non. Barbra avait fait sa Barbra, avait céder à ses caprices, à ses envies. Barbra aimait trop plaire. C’était ça qui l’animait elle avait besoin du regard, du désir des autres sur elle. Et Joe n’avait pas suffi. Personne ne pourrait jamais lui suffire. Elle avait trop soif du regard de l’autre sur elle. Peu importe si cela faisait d’elle une fille non fréquentable. « Joe. Je … » elle n’avait jamais dit qu’ils étaient ensemble. C’était rester un secret, entre eux. Une relation cachée loin des regards. « On était en quelques sortes ensemble… » elle n’avait pas l’habitude de se lier ainsi à quelqu’un de la sorte. Ils avaient eu tellement de non-dits entre eux. Tellement de cachoteries qu’elle ne savait plus elle-même. « mais ma mère… » sa mère ce n’était pas une excuse. Sa mère était morte et elle avait perdue pied. Elle ne lui avait même pas dit. A serena. Elle ne l’avait dit à personne. A l’exception de léo et de JJ. Une confidence alors que qu’elle se croyait condamné. Alors même que Serena avait connu sa mère, elle savait les souffrances qu'elle lui avait causé... Elle avait fait de la merde. Et elle le savait. Elle ne pourrait se rattraper elle avait perdu son meilleur ami. Joe.
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Serena Gianelli

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MessageSujet: Re: de la merde, de la grosse merde (serebra)    de la merde, de la grosse merde (serebra)  EmptyJeu 4 Mai - 23:02


Les femmes et leur furie. Les femmes et leur chaos. Il paraîtrait que c’est pour ça que les météorologues affublent les ouragans et cyclones de prénoms féminins. Barbra. Aussi puissante que dévastatrice. Ou du moins c’est la façon dont son coeur bat. À outrance. Avec extravagance. Pour mieux planter les griffes de l’addiction à sa présence dévorante, abrasive mais irradiante. Barbra et son besoin de saccager pour exister, réclamer son droit d’être. Peu importe le prix et les conséquences. Serena l’a découverte comme ça. Elle a appris à faire avec ce calque posé en surimpression sur la belle blonde, voilant les souvenirs qui dessinent une amie d’enfance aux traits différents de maintenant. Mais elle l’aime comme ça. Elle aime aussi cette facette. Et ce n’est pas la seule. Chercher à définir ou réduire Barbra à quelques adjectifs est un jeu dangereux. Le soleil risquerait de s’écraser sur terre. Et ceux qui s’y sont essayés souffrent peut-être encore même du retour de flamme. Probablement en position foetale, planqué au fond d’une ombre moins cuisante. Mais quand c’est elle qui tremble, il faut avouer que l’angoisse s’insinue lentement dans les veines de Serena. Elle veut la voir toujours aussi expressive, toujours aussi déraisonnable, une Barbra qui prend toute la place, ronge les coeurs, bouffe les corps, vrille les sens, une Barbra dont on ne peut détourner le regard parce qu’elle vit trop. Même si ça fait mal.
Joe. Je …” Toute son attention se suspend à ces mots, aux syllabes, à chaque lettre, inquiète. “On était en quelque sorte ensemble…” Puis surprise. Elle n’avait pas du tout imaginé ça pour expliquer l’état de Barbra. Ni même quoi que ce soit avec Joe. Jimmy et Leo oui. “Bah c’est bien, une bonne chose… non ?” Mais elle en parle au passé alors l’italienne remballe la suite au fond d’sa gorge. Souffle patient. “Mais ma mère...” Jusqu’à ce dernier terme. Le fard qui tombe de Barbie. Et ce sont les sourcils de Serena qui se froncent. Parce que cette femme a brillé par l’absence depuis toujours. Y a l’amour, la haine et puis le juste milieu, le rien, le vide : l’indifférence. Donné par un parent, ça creuse un gouffre dans l’essence des enfants. Dès gamine, Serena n’appréciait pas venir chez Barbra pour sentir le froid et le défaut d’une attache, d’un lien. L’abandon alors même qu’il n’y avait jamais eu de possession, ni de foyer. Y a les empreintes de places manquantes inscrites dans le coeur de Barbra. Alors y avait eu toujours ce malaise. De voir son amie démunie de tout ce qu’elle-même connaissait. Et il suffit d’une seule référence à cette femme pour étrangler à nouveau le coeur de Serena. Comme avant. “Qu’est-ce qu’il y a avec ta mère ?Qu’est-ce qu’elle n’a pas fait ? Elle se penche vers la bbo pour capter son attention, peut-être un peu forcer le passage aussi. “Barbra, c’est quoi le rapport entre Joe et ta mère ?” Les ponts-levis et la garde trop souvent levée chez son amie vacillent à cet instant. Elle perçoit même l’éboulement à venir, la sensibilité qui effrite leurs peaux et la confusion qui percute la raison. “Barbra…” Le murmure qui s’étire doucement pour lui dire de prendre son temps, elle bougera pas, elle sera là.
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MessageSujet: Re: de la merde, de la grosse merde (serebra)    de la merde, de la grosse merde (serebra)  EmptyVen 12 Mai - 15:37

. “Bah c’est bien, une bonne chose… non ?” ca aurait pu. Mais cela ne l’était pas. Il y avait trop entre eux. Trop de différence peut-être. Trop de passé. Trop de confiance aussi. Des non-dits avaient pourtant pourri cette relation. Une relation cachée n’est jamais une bonne relation. Une relation cachée ne peut jamais déboucher sur quelque chose de bien. Mais elle ne l’avait pas dit. Elle s’était laissée croire que l’excitation que procurait le secret était la seule raison. Elle s’était laissée croire qu’ils se cachaient pour la facilité. Parce que cela créerait trop de conflit. Jimmy et elle. Cela avait toujours été intense. Une sorte de propriété s’était installé. Elle ne l’aurait jamais pardonné de se mettre en couple avec maïa. C’était impossible. Une fille inconnue encore mais une amie c’était comme une trahison. Alors, pour éviter les drames, pour éviter l’implosion du groupe. Le secret l’avait emporté.
Mais cela aurait pu se passer. Cela aurait pu fonctionner par une infime chance. Mais sa mère s’était pointer pour tout faire foirer. Comme d’habitude.
“Qu’est-ce qu’il y a avec ta mère ?” C’était plus difficile avec Serena. Parce qu’elle connaissait sa mère. Elle connaissait l’absence de cette mère qui n’en avait jamais été une. Les larmes lui vinrent à couler. Elle ne pleurait pas sa mère, non elle pleurait le bordel qu’elle avait foutu en crevant.. “Barbra, c’est quoi le rapport entre Joe et ta mère ?”
. “Barbra…”
Elle la regarda, plonge ses yeux dans les siens pour essayer de trouver le courage qu’elle veut lui donner, pour sentir cette confiance qu’elle a pour elle. Serena. Le seul fantôme de son passé qui ne la hante pas. « Elle est morte Sé »… comme si cela rendait tout cela réellement. « Elle est morte cette conne » c’était cru mais elle avait tellement de haine pour sa mère que rien faire d’autres… « J’ai. Joe il a pas compris. Il sait pas. Mais J’ai … couché avec Seven. » Elle pose alors sa tête dans ses mains, prêt à perdre de pieds, comme si cela allait résoudre son problème. Comme une petite enfant qui se cache dans le bêtise qu’elle a faite. « est-ce que je suis comme elle sé ? comme ma mère ? » une pute, une fille qui abandonne, qui se fou de tout ….
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Serena Gianelli

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MessageSujet: Re: de la merde, de la grosse merde (serebra)    de la merde, de la grosse merde (serebra)  EmptyJeu 18 Mai - 18:26


Le surnom de son enfance coule amèrement entre ses mots. Ça fait mal. Surtout quand c’est rattaché à cette bombe. Sa mère est morte. Et qu’on lui retire la cause de ses maux les plus enracinés, Barbra perd pieds. “Elle est morte cette conne.” C’est comme si il fallait qu’elle le répète assez, avec un peu plus de virulence à chaque fois pour y croire. “J’ai. Joe il a pas compris. Il sait pas. Mais J’ai … couché avec Seven.” Il lui faut quelques secondes pour connecter les points. Qu’est-ce qu’il ne sait pas ? Que sa mère est morte ? Que c’est à cause de ça qu’elle a eu besoin de dégager la douleur de son être en allant voir Seven ? Serena suppose. Et si Joe tient un temps soit peu à Barbra, si il a appris, ça fait forcément mal. Elle comprend alors. Que pour Barbra tout semble tomber en lambeaux. Ça lui serre le coeur. “Est-ce que je suis comme elle Sé ? Comme ma mère ?” Rectification. Ça lui lapide le coeur. L’italienne ne retient pas ses bras et enlace rapidement son amie, comme si elle devait la rattraper avec qu’elle ne s’écrase. Et elle la serre contre elle, refusera de la lâcher. Parce qu’elle sait ce qui se cache derrière le mot “mère” pour Barbra. Rien de joli, rien de doux, rien de bon. Que des hématomes sur la confiance. Des trous dans l’estime. Des cicatrices à l’espoir. Ses boyaux vrillent dans son ventre, tellement elle déteste ça Serena. “Tu ne serais pas là, dans cet état, si tu étais comme elle Barbra.” Elle resserre un peu plus son étreinte autour de la blonde, autour de celle dont elle répète le nom inlassablement pour gommer la barbie. Etouffer les peurs sous la chaleur, recoudre les failles pour que rien ne se brise. Elle espère souvent réussir à faire tout ça Serena. En quelques mots et quelques gestes. Ceux qui comptent et se suffisent à eux-mêmes. Le reste sera dérisoire. “Va lui parler. Va parler à Joe.”, qu’elle murmure. “Raconte-lui ce qui se passe et laisse-lui le temps de comprendre, de refaire son chemin vers toi.” Ça peut prendre du temps. Ça peut ne rien faire avancer. Tout dépendra de lui. Combien il tient à elle. La vivacité de son coeur. “J’dis pas que ça sera facile et je suis désolée, mais si tu veux donner une chance à ce qui compte pour toi, faut être honnête Barbra.
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